1 l’on parvient dans la grand-rue : comme elle est vide  ! Les toits d’ardoises ne dépassent pas les façades nues, brunies par

2 aux champs Paix du village, silence des rues vides , ouvertes sur le ciel et sur les blés. J’étais là fasciné comme par l

3 es portes et me trouve dans une salle de théâtre, vide de sièges. Groupes de jeunes filles assises sur le parquet, vêtues de

4 rte, ce n’est pas que la synthèse s’opère dans le vide , ou au ciel des Idées, — car là sans doute toutes les synthèses imagi

5 haut… L’œil est impérieux, mais impérieux dans le vide , semble-t-il, car il fixe on ne sait quel objet imaginaire bien au-de

6 épondis : Je n’ai pas vingt ans et mon tiroir est vide , mais je verrai… Quelques années plus tard, me voici devant Paulhan :

7 u’à l’irrémédiable et dangereux ennui, jusqu’à ce vide de l’âme inoccupée qui appelle les tempêtes et les révolutions. Le ch