1 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
1 fait défaut et quelque chose qui vient combler ce vide . Une angoisse qui est un appel, et qui crée sa réponse — en vain. Le
2 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
2 d, un peu ennuyé de me trouver à côté d’une place vide  : la jolie femme qu’on attend dans ces circonstances, une fois de plu
3 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
3 e au centre de la pièce. Il y a là dans un espace vide un piano à l’aile levée, et devant le piano, assis sur un tabouret ba
4 e des reflets sur le parquet, venir par une salle vide où pénètre le ciel pâli. Transparents sous les lumières qui déjà reti
5 . Un peu de nuage flotte sur le bassin, grand œil vide où paraît le vertige. Voici que cèdent les amarres des pelouses, tout
6 uit qui s’évapore et l’aube encore vacillante, le vide absurde où s’en vont nos plaisirs et d’où remonte notre peine. Ah ! s
4 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
7 n dit, qu’une paire de babouches dans une mosquée vide que personne n’a plus l’idée de visiter. » Mais comment ne pas voir q
8 i que ce j’ai vu. On passe une barrière, une cour vide  ; on prend le sentier qui monte en zigzag à travers des jardins dont
9 ba est moins théâtral). D’ailleurs le tombeau est vide . Et les babouches ? Pas de babouches. Je sais bien que ce n’est pas l
10 it Noël, — la plus sombre de l’année par les rues vides sous la pluie étrangère. Une porte basse s’ouvre sur un long corridor
11 t bouteilles sont placées au hasard dans l’espace vide où tourne la fumée des cigares. Assis sur la banquette, quelques boug
12 voici… (Le tombeau de Gül Baba est symboliquement vide . Quant à l’arbre de Noël, il ne devait à nulle pendeloque insolite l’
13 t-Georges, à Bude, est une place vraiment royale. Vide , elle prend toute sa hauteur. Silencieuse, solennelle de nudité, entr
14 .) La liqueur de pêche rend démonstratif, dont on vide trois verres d’un trait en guise de salut. C’est alors que se déplien
15 ns. J’ai traversé l’angoisse lunaire des villages vides aux portes aveugles (j’avais peur du bruit de mes pas). Au hasard, j’
16 t déserte jusqu’à l’horizon. Où vas-tu, les mains vides , faiblement ? Ah ! toutes les actions précises et courageuses, tout c
17 les mystiques appellent leur désert, — cette zone vide qu’il faut traverser avant de parvenir à la Réalité. Entre « déjà plu
18 echerche de Gérard par les rues noires aux palais vides mais hantés, et dans les grands cafés du centre. Quelle autre rencont
5 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
19 mps côtoya une rivière, des forêts. Les rues sont vides jusqu’au cœur de la ville, où l’attend une ample demeure. Et maintena
20 s coudes et des pipes de méditation —, des pièces vides où la Lune avance comme un chat sur le lit conjugal, un salon glacé d
21 Et alors je ris, je ris du plaisir de la matinée vide devant moi. Merveille de penser au fil du désordre lent de la vie d’u
22 ux allées aventureuses. Je sortirai dans les rues vides , je monterai jusqu’au signal, voir le pays sous la lune, je choisirai
23 lle au collier bleu… Tout d’un coup le sommeil me vide les jambes. La nuit se ferme à l’imagination, cette nuit qu’il eût fa
24 l’être, mais seulement une usure des nerfs. Lampe vide , la mèche se consume. Bois du lait, perds du temps, bats les lisières
6 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
25 e injure dans tant de bouches, une injure dans le vide , d’ailleurs, car ceux qui l’utilisent ignorent ce qu’elle désigne. Un