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e : « Liberté ou chômage ? » et « Loisir ou temps
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? » 9. On sait que M. Jean-Richard Bloch intitula Destin du siècle
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e faire croire. Une révolution n’agit pas dans le
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, mais contre quelque chose : elle se fera contre ces faits. Elle sera
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qui n’implique pas la négation du loisir, qui ne
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pas le loisir de toute signification positive mais bien au contraire
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lasse possédante en vienne par fatigue à décréter
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les loisirs que ses ancêtres consacraient à la création de leur puiss
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ce, mais la création. Nous n’avons pas le goût du
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. Par cet acte, travail et loisir retrouveront leur commun sens : dans
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ar l’État, d’autre part, il ne peut créer dans le
vide
, et sa création, quelle qu’elle soit, se répercute et prend toute sa
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t fatalement ce que j’appellerais un sentiment de
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social. C’est une sorte d’angoisse diffuse d’où naît l’appel à une co
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her d’une Grèce que nous dirions « atomisée ». Le
vide
social créé par l’individualisme est toujours un appel à l’État dicta
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vidu ne s’oppose à l’État qu’à la manière dont le
vide
s’oppose au plein : plus le vide est absolu, plus l’appel est puissan
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manière dont le vide s’oppose au plein : plus le
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est absolu, plus l’appel est puissant. À bien des égards, l’étatisme
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e sous son propre poids. De nouveau se reforme un
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social, une angoisse, un appel à une communauté. L’anarchie et la tyr