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rase où rebondit un ballon. Si l’on considère la
vie
sociale comme un jeu sérieux dont on respecte les règles, non plus co
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le tout ». Le sport comme un apprentissage de la
vie
: tout servira plus tard : Ô garçons, il y a un brin du myrte civiqu
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ort ainsi compris, plus que l’apprentissage de la
vie
, est l’apprentissage de la guerre, dira-t-on. M. de Montherlant répon
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forme. Honorons les saints pour l’exemple de leur
vie
: mais Christ est le seul médiateur à qui doit s’adresser le culte, e
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il a eu l’occasion de partager les conditions de
vie
et qui nous parlèrent l’un de la Réalité prolétarienne, l’autre de la
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e ? Par ces trois mots commence le drame de toute
vie
. Ha ! Qui je suis ? Mais je le sens très bien ! je sens très bien cet
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ître. Reste le monde, — les choses, les faits, la
vie
, comme ils disent. Je me suis abandonné au jeu du hasard, jusqu’au jo
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e, tout ce qui sourd en moi de trop grand pour ma
vie
— toute ma joie ! » Ce n’était plus une douleur rare que j’aimais da
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n ; c’est un mélange à doses égales de mort et de
vie
. Et c’est à l’intelligence de faire primer la vie, puisque n’est pas
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vie. Et c’est à l’intelligence de faire primer la
vie
, puisque n’est pas encore parfait cet instinct qui est la Vertu. Ma v
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r cette Vertu ; de me replacer dans le sens de ma
vie
; de rendre toutes mes forces complices de mon destin. D’abord donc,
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che particulièrement à retrouver ces limites : la
vie
moderne, mécanique, nous les fait oublier, d’où cette fatigue général
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pparaît parfois comme un arrêt artificiel dans ma
vie
, une vue stupide sur mon état qui peut m’être dangereuse. (On donne c
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dans un débat étranger à ce véritable débat de ma
vie
: comment surmonter un malaise sans cesse renaissant, comment m’adapt
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se que moi, je vais m’oublier, me perdre dans une
vie
nouvelle : (Créer, c’est se surpasser). J’entends des phrases qu’il n
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laisir ? Êtes-vous belle, mon amie, — et vous, ma
vie
? Certes, mais je vous aime moins que je ne vous désire. (Ce désir qu
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équilibre, ou plutôt, son « mouvement normal » de
vie
. f. « Confession tendancieuse », Les Cahiers du mois, Paris, n° 21-2
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jusque dans la description la plus réaliste de la
vie
animale. Et n’est-ce pas justement parce qu’il est poète qu’il peut a
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nsité de réalisme. Une perpétuelle palpitation de
vie
anime ce livre et lui donne un rythme tel qu’il s’accorde d’emblée av
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es de désir ». Une intelligence si profonde de la
vie
animale suppose entre l’homme et la bête une sympathie que Montherlan
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er à l’esprit, profitant de son désaccord avec la
vie
. Ni métaphysicien, ni logicien, dit-il d’Alban — (de lui-même) — il n
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s dit les choses sentimentales. Le tragique de la
vie
ne lui échappe pas. Il en parle, il le chante avec pathétique. Mais c
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ique une puissance physique, un mouvement vers la
vie
ardente qui peut entraîner l’âme dans un élan de grandeur. N’est-ce p
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nce de l’instinct universel et nous élèvent à une
vie
plus âpre et violemment contractée, par la grâce de l’éternel Désir ?
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est un silence qui s’impose à nos pensées. Ici la
vie
n’a presque plus de sens, comme le fleuve. Elle n’est qu’odeurs, form
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ons un sortilège pénétrant comme cette brume, une
vie
étrangère, une paix qui n’est pas humaine, et qui nous laisse gourds
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qua les rumeurs de villes d’usines. Il y avait la
vie
des hommes pour demain, et il était beau d’y songer un peu avant de n
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politesses, politiques, regards, musiques — cette
vie
rapide dans un décor qui est le rêve éternisé des plus voluptueuses i
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riste de sa technique sert une vision aigüe de la
vie
. La série de gravures sur bois colorées qu’il intitule la cité est un
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e ; l’œuvre n’atteignait pas encore pleinement sa
vie
propre. Depuis, Léon Perrin semble avoir évolué vers une plus grande
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reau, les gages insupportablement familiers d’une
vie
honnête de type courant. Pour dix sous et le prétexte d’un apéro, on
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s ». Ce furent d’abord des images décousues de sa
vie
, brillantes ou misérables, passionnées. Mais bientôt : — « Destin, s’
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. Quand je songe à tous ces gens qui perdent leur
vie
à la gagner9, et leur façon inexplicable de lier des valeurs morales
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ent supérieure à la leur. Ils voudraient que leur
vie
garantît un 5 % régulier de plaisirs, avec assurance contre faillites
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xes, mais cela ne suffit plus à m’en délivrer. Ma
vie
m’a repris, je ne suis pas heureux. Je sais très bien que je devrais
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rophe, soudain plein de mépris et de désespoir, ô
vie
sans faute, vie sans joie… Ah ! plus amère, plus amère encore, saurai
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lein de mépris et de désespoir, ô vie sans faute,
vie
sans joie… Ah ! plus amère, plus amère encore, saurai-je un jour te d
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es, répondit Gérard, malgré les apparences, cette
vie
sentimentale est une des seules réalités qui correspondent encore à l
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le rattachaient aux buts les plus hauts de notre
vie
. Ces citadins blasés s’amusent plus grossièrement que des barbares, i
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ils s’imaginent pouvoir faire une place dans leur
vie
aux “divertissements” entre 10 heures du soir et 4 heures du matin, m
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qu’elle entraîne, nous révèle le sens réel de nos
vies
, et peu à peu, de leurs moindres coïncidences. La fatigue calme son l
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barbarie spirituelle. Il plaisante. Il dit que la
vie
ressemble surtout à un film où les épisodes s’appellent par le simple
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orrespondances, chaque geste, chaque minute d’une
vie
résume cette vie entière et fait allusion à tout ce qu’il y a sous le
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haque geste, chaque minute d’une vie résume cette
vie
entière et fait allusion à tout ce qu’il y a sous le soleil, et même
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. Croyez-moi, ce qu’il faudrait écrire, c’est une
Vie
simultanée de Gérard, qui tiendrait toute en une heure, en un lieu, e
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la mort. La mort absolue, celle qui n’est pas une
vie
nouvelle. La mort dans la transparence glaciale de l’évidence. Un jo
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sagement des odes à la liberté… Et voici dans sa
vie
cette double venue de l’amour et du chant prophétique, confondant leu
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ier — vivra très doucement, inexplicablement, une
vie
monotone de vieux maniaque. Le buisson ardent quitté par le feu se de
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te… Quel est donc ce sommeil « dans la nuit de la
vie
» — et cet aveu mystérieux : « La perfection n’a pas de plainte »… Vi
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leurs chopes. « Gemütlichkeit ». Évidemment : la
vie
normale. Il y a pourtant cette petite chambre… Est-ce que tout cela e
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un matin d’été la grâce tendrement dénouée de ta
vie
comme de cette nuit le jour d’un grand été qui consent… o. « Le pr
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rt de Nietzsche et celui de Schiller. Romancer la
vie
de ces excessifs est assez bien vu ; mais tenter de leur opposer un e
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nterrogation que posent tacitement toute forme de
vie
, et explicitement — croyons-nous — certaines expériences particulière