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incapables de dominer, condamnent ce qui fait la
vie
même de la Révolution, c’est-à-dire : la critique violente et constru
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naire est une affirmation toujours nouvelle de la
vie
. Le petit purisme est un danger permanent au sein de la jeunesse inte
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rosser le panorama habilement suggestif, plein de
vie
et de pathétique, d’une époque qui a besoin, plus que de toute autre
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. Prenons par exemple le problème du « minimum de
vie
matérielle » destiné à assurer la liberté de l’homme. Marxistes et ca
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urra jamais fixer absolument ce fameux minimum de
vie
nécessaire ? Il varie dans des proportions considérables selon la val
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a libération de l’homme bénéficiant du minimum de
vie
matérielle restera purement illusoire, puisque l’État, sous sa forme
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faits, nous disons que le problème du minimum de
vie
matérielle ne prend son sens que dans le plan de la personne qui est,
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on cette fois d’une mesure humaine, le minimum de
vie
matérielle qui permet à la personne de courir sa chance. Nous ne pouv
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à jouer un rôle de plus en plus important dans la
vie
politique et intellectuelle de la France et, par là même, à influence
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Il n’y aura plus le frein à l’entraînement de la
vie
citadine ; à cette espèce de centrifugation spirituelle. Rappelons ic
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t, vous louerez un de ces studios bien nus, où la
vie
prend un visage tellement abstrait qu’on n’arrive plus même à s’y aim
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st inspiré surtout des Stades sur le chemin de la
vie
, c’est-à-dire d’un ouvrage qui est à la fois le plus paradoxal, le pl
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les Stadestrois attitudes possibles en face de la
vie
. Le fougueux Victor Erémita symbolise la morale du jeune fou de l’Ecc
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u. C’est pourquoi l’homme n’arrive à Dieu et à la
Vie
qu’en mourant totalement à soi-même. Periissem nisi periissem ! La de
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train d’abdiquer parmi nous devant le culte de la
vie
. « Le christianisme tel que Kierkegaard le représentait, ne peut être
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ne peut être réellement adopté et assimilé par la
vie
humaine ; il reste pour elle un paradoxe étrange et effrayant », s’éc
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x. ⁂ Kierkegaard en tant que chrétien sait que la
vie
de l’homme est au péché. Il sait aussi que le contraire du péché « ce
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dit en une phrase, ou développé pendant toute une
vie
. Aussi bien n’ai-je pas l’intention de l’expliquer, moins encore de l
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oi serait-elle donc négation de la vision ? Ou la
vie
éternelle, négation de l’incarnation ? Nullement, mais accomplissemen
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dans l’absolu, à la frontière de la mort et de la
vie
; et la nier, mais au nom de la foi, c’est du même coup la connaître
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plendeur féconde aux temps du romantisme et de la
vie
de Goethe, qui devait aboutir, en passant par Wagner, à la théorie de
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« Dès l’instant où l’on se récure du frivole, la
vie
devient immensément large. » Que trouvons-nous dans ce volume ? Des p