1 e son drame. De l’issue de ce drame dépendent nos vies . Car si nous vivons aujourd’hui dans l’angoisse d’une nouvelle guerre

2 conquises, et qui sont la réalité présente de nos vies , bien plus : qui sont le gage d’un avenir meilleur ! » Ce langage seu

3 tre leurs exigences intimes et l’insipidité de la vie défaite de leur cité. (Quelques-uns ont trouvé dans l’armée, et surto

4 À vrai dire, c’est un goût de la lutte contre la vie , avec des camarades donnés par le hasard, qui les jette dans des entr

5 e structure de destinée semble gouverner ces deux vies . Leur vocation s’est marquée dès l’enfance et affirmée pendant l’adol

6 e à ce moment précis, devant la tentation de la «  vie normale » d’un écrivain chargé des honneurs du héros. Au lieu de se r

7 e simplement qu’ils n’ont pas le choix, et que la vie parmi les autres, les civils, s’est révélée pour eux pratiquement int

8 s par la machine qui avait été la passion de leur vie . Mais leur légende prévaut contre le fait. Pendant longtemps on refus

9 qui m’écœure) ; l’action, je l’ai rejetée ; et la vie intellectuelle ; et la vie réceptive des sens ; et les assauts d’espr

10 e l’ai rejetée ; et la vie intellectuelle ; et la vie réceptive des sens ; et les assauts d’esprit. Autant d’échecs, et ma

11 s nécessités de leur défense comme celles de leur vie culturelle, le passé comme l’avenir, la raison comme les rêves. Qu’es

12 u humain à la construction de l’idée européenne ; vie et chaleur lui viendront de la réalité quotidienne. 3° Il ne faut pas

13 ur l’avenir une sorte d’uniformité du cadre de la vie matérielle. Cela risque d’arriver avec la Haute Autorité du charbon e

14 endent leurs particularités ; paradoxe même de la vie , lutte permanente entre deux dynamismes contraires également valables

15 une vingtaine de sujets différents concernant la vie européenne et contenant chacun un thème, quelques arguments, quelques

16 oment un livre qui sera intitulé : Le Sens de nos vies r, et dans lequel j’esquisse une histoire de l’homme européen, ou plu

17 as il ne peut pas mourir ; ou bien il signifie la Vie , l’Éternité, le Total, l’Être en soi, l’Inconnaissable, et, dans ce c

18 l’Évangile), et cela dans le détail intime de sa vie , le Dieu que tant de milliards d’humains souffrants ou méditants, gén

19 ment croyable mais indiscutable au sens de chaque vie , dès que le regard se tourne vers l’homme, vers un homme bien détermi

20 ade d’un palais. Nos modèles d’organisation de la vie sociale ou politique dérivent tous de Rome et de l’Église : au commen

21 aucoup plus que la paix, qui demande un sens à sa vie , une direction à son espoir… Et cependant, si les rencontres de Berli

22 raiment, puisqu’il peut exiger le sacrifice de la vie même du citoyen. Mais que nous offre-t-il en échange de nos vies ? Un

23 toyen. Mais que nous offre-t-il en échange de nos vies  ? Une certaine communion vague et puissante, qui permet à l’individu

24 seulement la mort en masse mais la totalité de la vie des hommes. Voilà le grand dilemme de notre temps. II. Critique fé

25 ionales et des barrières douanières imposées à la vie culturelle de l’Europe et à ses produits. Les États — et demain le Po

26 assent très largement, mais sans lesquelles notre vie ne serait pas concevable. Prendre conscience de l’être suisse, au-del

27 venture, de la Révolution, ou de quelque règle de vie , mais subversive bien entendu. L’un des deux temples de ce culte (l’a

28 s tout savoir sur nos amis, leurs œuvres et leurs vies  : j’avais couru tout droit rue de l’Odéon, comme à la source la plus

29 de l’hérésie, entre l’exigence des Parfaits et la vie réelle des Croyants… Citons-là-dessus l’un des plus sensibles interpr

30 n’occupaient tout de même pas le plus clair de la vie , et n’avaient tout de même pas supprimé toute espèce d’impulsions nat

31 les aider à vivre, mais non pas à comprendre leur vie . Car tous, tant que nous sommes, sans le savoir, menons nos vies de c

32 tant que nous sommes, sans le savoir, menons nos vies de civilisés dans une confusion proprement insensée de religions jama

33 oïsme, mais en vue de prolonger la jeunesse et la vie en économisant le principe vital, plutôt que de conquérir la liberté

34 cabru.) Voici le Service de la Dame : Prenez ma vie en hommage, belle de dure merci, pourvu que vous m’accordiez que par

35 resterait indifférent s’il n’avait gardé dans nos vies , au travers des nombreux avatars dont nous allons décrire la processi

36 nfondre l’amour pour la mort avec l’amour pour la vie . Je voulais donner 150 pages ; j’en fis 400. En cours de route, en ef

37 estreint. D’où l’extrême importance accordée à la vie , à la santé de l’individu, à son confort : médecine, hygiène, vêtemen

38 ion qui se mue en invasion, ce début qui clôt une vie , cette conclusion qui en ouvre une autre, tandis qu’entre les deux s’

39 sses le prennent pour banal. Ils pensent mener la vie normale du genre humain, l’anarchie et la guerre étant des exceptions

40 place dans nos trains locaux ? L’expérience de la vie new-yorkaise, où personne ne vous voit jamais, me propose par contras

41 . 71. M. de Unamuno : Le Sentiment tragique de la vie . 72. Silone : Le Pain et le vin. 73. Dostoïevski : L’Idiot. 74. — Les