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t décrit d’une manière saisissante ce que sera la
vie
des ouvriers dans les pays totalitaires du xxe siècle. Dans le même
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indispensables, du point de vue économique, à la
vie
de cette région ; et alors on retombe dans toutes les équivoques de l
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seulement quantitative, et la participation à la
vie
civique. Or, de la région, les gouvernements français n’ont su dire q
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ilitaires, techniques, et à tous les degrés de sa
vie
. Il se trouve pris dans un réseau de nécessités techniques, économiqu
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e internationale, mais trop grands pour animer la
vie
civique, dans leurs régions, leurs provinces, leurs communes. Bien pl
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Tout cela est bel et bon, la croissance, c’est la
vie
, la loi de la vie ; tout le monde est donc pour la croissance économi
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et bon, la croissance, c’est la vie, la loi de la
vie
; tout le monde est donc pour la croissance économique, industrielle,
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u vivant est autoréglée : c’est la même loi de la
vie
qui fait qu’une plante ou un corps animal grandit, s’épanouit, se sta
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ures, comme ferait un corps sans son programme de
vie
: l’individu humain passerait ainsi de 30 cm à 1,75 m en vingt ans, p
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ns s’apercevraient qu’il y a mille choses dans la
vie
beaucoup plus importantes pour eux que gagner de l’argent. Je le vois
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prit communal, de l’esprit d’association et de la
vie
civique. Quelle place donnez-vous à l’urbanisme dans tout cela ? Eh b
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c’est-à-dire toutes les forces en tension dans la
vie
publique. Cela correspondait à la révolution communaliste, à l’esprit
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erminé. Cela correspond à une manière de juger la
vie
où l’homme est une pure et simple carte d’identité, un producteur-con
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à-dessus — qui avait joué un certain rôle dans ma
vie
. Nous avions lancé 21 invitations à dîner dans un restaurant portugai
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rahit quelque chose chez lui. Il a passé toute sa
vie
à une religion [sic] qui n’aurait pas été le christianisme et dont il
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68 : Que faisons-nous là ? Quel est le sens de ma
vie
dans cette société qui n’en est pas une, puisqu’elle n’est plus une c
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a justice, la santé, la liberté, la qualité de la
vie
, l’utilité sociale, se voient sacrifiées sans merci sur l’autel du Pr
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ventait est la tâche singulière de chacune de nos
vies
. La tyrannie se définit alors par rapport à la seule personne, comme
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ment de l’ouvrier d’usine, dont les conditions de
vie
, de dignité, de santé et de loisirs sont à peu près les mêmes à l’Est
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inconscient, de substituer dans le cadre de notre
vie
le minéral, pratiquement immortel (métal, verre, plastique et béton)
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ir, choisissons-nous l’inertie minérale contre la
vie
, toujours mortelle. Le Progrès vénéré par le xixe siècle et réputé i
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u’il peut relier des hommes de toute la terre, la
vie
communautaire concrète est proximiste, c’est-à-dire communale, locale
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prestige deviennent les facteurs essentiels de la
vie
du pays. L’existence de chacun se trouve déterminée par le niveau de
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ution du « plan », mais comme la forme même de la
vie
économique, c’est dire qu’une véritable économie « planée » exclut à
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e que l’erreur moniste projetée sur le plan de la
vie
en société. (Son caractère monstrueux) manifeste la persistance des c
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Chine, mais c’est à Paris que se passe « la vraie
vie
» pour un écrivain. L’ennui, c’est que je n’y connais personne qui to
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nnais personne qui touche de près ou de loin à la
vie
littéraire et à l’édition. Seul espoir : un miracle, autrement dit un
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métier d’éditeur, à Clamart, et j’entrais dans la
vie
littéraire de Paris, mieux encore, dans le mouvement personnaliste, d
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nomène s’est produit à plusieurs reprises dans ma
vie
: voir des lettres en route vers moi, celles que m’apportera demain m
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verains, nos cantons ; et ramener du même coup la
vie
fédérale à la lutte pour « l’indépendance » des cantons contre les «
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tières de notre État, c’est d’une part bloquer la
vie
même du fédéralisme à l’intérieur, et d’autre part faire de notre pay
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s, ni dans les fleuves. Toutes les réalités de la
vie
publique présentent aujourd’hui des aspects continentaux et régionaux
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exigences du rêve continu qui se déroule en toute
vie
d’artiste et qui saisit au vol des surprises de lumière, compose des
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diants hongrois sur l’attitude du croyant dans la
vie
politique, a cette réponse courageuse mais en même temps révélatrice
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r, calculateur, éludant le problème du sens de la
vie
»18 d’une existence amortie comme une dette, d’un bonheur à tempérame
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manières d’évaluer ce qui compte le plus dans la
vie
. II La société industrielle reposait sur un certain nombre de «
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u’il faut que la firme produise toujours plus. La
vie
humaine se voit dès lors subordonnée au rendement. Opposer à cette no
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our être payé, ou à payer pour pouvoir gagner une
vie
qu’il n’aura même plus le temps de vivre ! IV Le nœud du problè
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ra désacralisée comme le profit, orientée vers la
vie
meilleure, vers la satisfaction réelle, non vers l’avidité de consomm
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frigérateurs, mais aussi quant à la qualité de la
vie
, au civisme, et aux vraies libertés. (C’est tout cela que les « grand
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s particulières pour s’occuper d’un secteur de la
vie
publique. S’ils devaient représenter les cantons, il en faudrait 25,
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pour les erreurs de 1848, ils s’imaginent que la
vie
du fédéralisme consiste surtout à défendre les intérêts de leur petit
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se voir réduits à l’uniformité d’abord, puis à la
vie
en uniforme et finalement au « niveau de vie » le plus bas, le niveau
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s une centaine d’années, que le dernier mot de la
vie
, c’est le confort, et que si on éliminait les choses excessives, les
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me objet d’exaltation tout intérieure, voulant la
vie
au lieu de désirer la mort. Cet amour-là n’est pas disert ni exalté m
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s rites judaïques (la circoncision notamment). La
vie
sexuelle n’y joue qu’un rôle quelconque, à peu près invisible et sans
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n, mais vilipendé d’autre part comme ennemi de la
vie
spirituelle, toléré finalement, mais dans les seules limites du maria
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suzerain, ment, se parjure et finalement perd la
vie
même), mais cet asservissement volontaire est aussi source de prouess
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séré dans une société. Il n’est pas un contenu de
vie
mais une négation, une exception faite à tous les contenus de vie. Or
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ation, une exception faite à tous les contenus de
vie
. Or, il faut à une exception quelque chose dont elle soit l’exception
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ursuivre l’impossible, aussi incompatible avec la
vie
vécue, et que J. Huizinga nommait « l’idéal de la luxure ». On pourra
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devez emporter René dans les espaces d’une autre
vie
! À partir de là, tout le xixe siècle sera sentimental, passionné e
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chapper au péché, mais d’intégrer l’érotisme à la
vie
sans qu’il perde cette force qu’il devait au péché ; de lui donner to
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te possible à la couche d’ozone qui protège notre
vie
terrestre contre les rayons ultraviolets ? « Votre pari — dis-je aux
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adicale, il y a deux attitudes opposées devant la
vie
, devant le destin de l’homme sur la terre, il y a deux morales incomp
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xtes Pour l’Europe, réunis par lui à la fin de sa
vie
, je trouve ces mots qu’on ne saurait souhaiter plus éclairants et qui
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rêts et vallées qui relient les hauts lieux de la
vie
musicale. Le circuit le plus intérieur, celui qui pourrait partir de
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pris le mot dans l’ère moderne, est une forme de
vie
et d’activité artistique tout à fait spécifique de la culture europée
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d’une Enquête sur le rôle des festivals dans la
vie
culturelle de l’Europe , publiée en 1957, l’association proposait la
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onfinée dans les salles de concert, séparée de la
vie
, j’entends des cadres architecturaux, des fonctions religieuses et de
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Coudenhove-Kalergi dès 1923. C’est un problème de
vie
ou de mort pour un demi-milliard d’humains, leur culture (dont l’Univ
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. C’est une manière d’être homme et d’orienter la
vie
. C’est une manière aussi de faire vivre l’Europe en vivant sa culture
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s suisses, mais restera longtemps à l’écart de la
vie
de ses voisins francophones : les uns (Vaudois) passés à la Réforme,
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erais encore la liberté : car la liberté c’est la
vie
, et la servitude c’est la mort. La tyrannie est le souverain désordre
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lique aussi, en relation avec ce qui précède, une
vie
culturelle d’une exceptionnelle intensité : cinq universités au xxe
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? C’est la mainmise d’un appareil étatique sur la
vie
d’une nation. C’est la formule napoléonienne de l’État, né de la guer
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tation exacte tirée des Mémoires est : « Toute ma
vie
, je me suis fait une certaine idée de la France. Le sentiment me l’in
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s choses. C’est ça la croissance : un cycle où la
vie
et la mort sont associées. C’est tout à fait abusivement qu’on a tran
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ont des gens honnêtes et détestent mentir dans la
vie
courante ; mais une fois qu’ils sont mis en position de se déclarer l
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s aurons voulu et c’est à chaque seconde de notre
vie
présente que se dessine le futur visage du monde. On ne saurait trouv
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nautaire, fondamental, qui fut la recherche de sa
vie
. Recherche de la personne, de la vocation d’homme. On la retrouve dan
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les urbanistes avancés, est arrivé à la fin de sa
vie
à la conclusion que la ville idéale ne doit pas dépasser 50 000 habit
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m industriel sans vision, ait détruit le cadre de
vie
. En Suisse, la croissance démographique est négative depuis deux ans.
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les centrales. On se livre à des enquêtes sur la
vie
des savants, des personnes, de leurs familles : la société nucléaire
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(On le croyait ce jour-là !) C’est aussi toute la
vie
qui se reprend à vivre, les délais à courir, le sujet à me fuir… Le m
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les cantons suisses, c’est par l’autorité que sa
vie
d’ascète donne au message secret qu’il envoie à la Diète, et dont on
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xtes Pour l’Europe, réunis par lui à la fin de sa
vie
, je trouve ces mots qu’on ne saurait souhaiter plus éclairants, et qu
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les, dont les tensions déterminent le champ de la
vie
spirituelle : universel — particulier mythe — aventure individuelle