1
du monde entier et pour chacun de nous, dans nos
vies
quotidiennes comme dans la vie de l’esprit. Un travail théorique est
2
de nous, dans nos vies quotidiennes comme dans la
vie
de l’esprit. Un travail théorique est certes nécessaire. Des appels é
3
s chacune des cellules vivantes qui font la vraie
vie
de l’Europe : foyers locaux de culture et universités, syndicats et p
4
trêmes avec le concept d’autarcie, a créé dans la
vie
de l’esprit une situation que l’on peut décrire comme suit : la cultu
5
ue toutes les misères et entraves dont souffre la
vie
de l’esprit en Europe se ramènent en dernière analyse à une seule et
6
tout cela tend, pratiquement, à faire dépendre la
vie
de l’esprit d’une économie désorganisée et souvent absurde. Le princi
7
pparaît, qui se pose lui aussi à l’ensemble de la
vie
de l’esprit en Europe : c’est le problème de l’influence américaine.
8
riant mais implacable, matérialisme, dollar-dieu,
vie
simplifiée jusqu’à l’anonymat, règne de la culture de masse, rapports
9
si l’électeur, accessoirement) se préoccupe de sa
vie
personnelle, avant de songer aux réalités électorales. Il demande que
10
onger aux réalités électorales. Il demande que sa
vie
ait un sens. Qu’on lui en donne un sans discussion possible (et c’est
11
ce des problèmes de l’Europe en relation avec nos
vies
quotidiennes ; enfin pas de sentiment européen tant que la masse rest
12
à peu de chercher quel peut être le sens de leur
vie
difficile. Pour eux, cette Europe-là, même unie par en haut, restera
13
rope vraiment unie et forte, c’est vouloir que la
vie
ait un sens en Europe, c’est vouloir la culture, par suite ses condit
14
ectifs L’un des faits les plus frappants de la
vie
musicale actuelle en Europe, c’est que des œuvres de compositeurs cél
15
se, renversons quelques ministères, revenons à la
vie
normale. L’argument est absurde. Mais il sera populaire. Et notre mon
16
t il a créé l’animation politique nécessaire à la
vie
de la Constitution, tandis que d’autre part il figurait le pendant li
17
ais tout ce qui fait pour nous le sens même de la
vie
. L’Europe vaut plus que les Européens En ce mois de juin 1953,
18
à elle seule, car le sens même de chacune de nos
vies
dépend en fait d’une civilisation qui peut périr par notre désunion.
19
nfluentes dans les domaines les plus divers de la
vie
européenne, domaines débordant largement celui de la culture au sens
20
s tout cela, tout ce qui fait le sens même de nos
vies
, si nous persistons à demeurer une vingtaine de nations, de cantons d
21
peut être définie simplement comme ce qui rend la
vie
digne d’être vécue ». On pourrait dire aussi que la culture est l’ens
22
humaines qui ont pour fin de donner un sens à la
vie
. — La politique fait-elle partie de ces activités ? — Oui, en tant qu
23
’elle implique une conception de l’homme et de la
vie
, par suite une conception de l’Europe et de son union propre à favori
24
— Va-t-on soutenir le CEC, afin qu’il dure ? — La
vie
n’est jamais qu’une suite de miracles. 5. Le présent numéro de not
25
aucoup plus que la paix, qui demande un sens à sa
vie
, une direction à son espoir… Et cependant, si les rencontres de Berli
26
t et encore plus. Les gens voulaient la garder en
vie
, ils aimaient leur baleine, mais ils ne savaient plus comment la sati
27
elà même de notre angoisse fondamentale devant la
vie
, le monde et l’inconnu. Et c’est pourquoi sa faim était inextinguible
28
sacrée et intangible réglant chaque détail de la
vie
, à l’ordre total et définitif décrétés par le roi-prêtre ou par le di
29
de ses loisirs, qui deviendront l’essentiel de sa
vie
? Problème immense et tout nouveau, qui viendra se substituer aux pro
30
milliers d’ouvriers et d’ingénieurs gagnent leur
vie
, des paquebots traversent l’Océan, d’énormes capitaux s’amassent... C
31
uite morale. Tout ce qui fait le sens même de nos
vies
. Le dilemme En vérité, l’Europe perdra tout cela, si elle persi
32
Il a commencé par agir dans les domaines de la
vie
culturelle où il semblait possible d’obtenir rapidement des résultats
33
la concevons en Europe : le sens et le sel de nos
vies
, au-delà du machinal et de l’animal. Quels seront les bénéficiaire
34
aît certain, c’est que l’échange est une forme de
vie
culturelle congénitale à l’Occident, mais dans laquelle les Russes ne
35
t de confronter nos conceptions européennes de la
vie
et de la culture avec une conception totalitaire. Or il est clair que
36
le a désigné en la personne de M. Abraham van der
Vies
. Musicologue et metteur en scène réputé, M. van der Vies vient d’occu
37
usicologue et metteur en scène réputé, M. van der
Vies
vient d’occuper pendant cinq ans le poste de directeur de l’Opéra d’A
38
plus large de délégations de représentants de la
vie
sociale et culturelle » serait utile. « M. Macmillan a parlé d’une ré
39
librairies, de musées, ou de lieux célèbres de la
vie
littéraire pourraient être organisées en dehors des séances. Il n’est
40
lète de ce que fut l’apport de l’Occident dans la
vie
russe, il faut y distinguer deux influences particulières, les plus p
41
ans tous les pays d’Europe, domina entièrement la
vie
intellectuelle et artistique de la Russie, de l’avènement d’Élisabeth
42
re proprement dite, pour les hautes régions de la
vie
nationale ; elle n’a pas été capable de pénétrer l’ensemble de la vie
43
n’a pas été capable de pénétrer l’ensemble de la
vie
russe. Une des sources de la révolution est là ; car celle-ci est une
44
tyran dans des marécages malsains, au prix de la
vie
de milliers d’ouvriers. Cette prise de vue remonte à 1809. Bientôt l
45
e et la garantie. Les véritables fondements de la
vie
sociale et culturelle de la Russie, il fallait les chercher, selon eu
46
istoire, écrit-il, prononce sa sentence contre la
vie
spirituelle de l’Europe occidentale. » L’Europe, qu’il découvre penda
47
celle-ci « un acte unanime d’accusation contre la
vie
russe » —, cette censure laisse cependant publier la plupart des œuvr
48
ssemski — en ont été persécutés sans relâche leur
vie
durant, et jusqu’à ce jour, grâce à son influence posthume et aussi à
49
ant aux lettres étrangères qu’aux russes, et à la
vie
artistique de l’Occident qu’à celle de la Russie. Les discussions sur
50
et Tchékhov allaient jouer un rôle actif dans la
vie
littéraire de l’Europe, où la musique, la danse et la technique drama
51
e russes allaient renouveler et même régénérer la
vie
musicale et théâtrale de l’Occident. Mais voici l’été de 1914 : il s
52
enne des festivals de musique, M. Abraham van der
Vies
, est entré en fonction au mois de novembre dernier. Metteur en scène
53
re dernier. Metteur en scène de renom, M. van der
Vies
a été, pendant les cinq dernières années, directeur de l’Opéra nation
54
t de toutes parts sa liberté, sa prospérité et sa
vie
même… Et il est vrai que toutes ces choses — réelles ou mythiques d’a
55
ard il constate leur présence dans le rayon de sa
vie
concrète — mettons l’action des communistes dans sa commune, une augm
56
, dans tel milieu professionnel, et enfin dans la
vie
de chacun. Intégrer l’homme dans la communauté Montrer ce qu’es
57
enseignement plus concrètes et plus proches de la
vie
, qui prennent place à côté des heures et au-delà des périodes scolair
58
e au moyen d’exemples qui touchent directement la
vie
de l’habitant. Ces exemples, il s’agit maintenant de les présenter au
59
e d’un bulletin d’articles et de nouvelles sur la
vie
de la culture en Europe ; et dans un tout autre domaine, ouvrant l’Eu
60
s et documents pittoresques sur les conditions de
vie
en Europe ; état de nos forces et sens de notre évolution. Un des rep
61
Le rôle des festivals dans la
vie
culturelle de l’Europe [Commentaires] (mai 1957)av En lançant une
62
aitait donner aux créateurs et responsables de la
vie
musicale de nos pays l’occasion d’exprimer leurs vues sur « le phénom
63
s festivals tiennent une place importante dans la
vie
de notre temps. ⁂ Quels problèmes ? dira l’amateur qui se contente bi
64
n de la culture : « Le rôle des festivals dans la
vie
culturelle de l’Europe », Genève, numéro spécial, mai 1957, p. 47-51.
65
s implications générales du Marché commun dans la
vie
économique de nos pays, ainsi que les répercussions possibles du trai
66
européen sur les grandes questions intéressant la
vie
du continent, par voie d’appels à l’opinion et aux gouvernements ; et
67
ançais seulement). Le Rôle des festivals dans la
vie
culturelle de l’Europe (en français et en allemand). Annuaire des in
68
nvoqués. Qualités des principales langues dans la
vie
internationale. Bilinguisme ? Etc. Plans de causeries. Nouvelle séri
69
mptes rendus de congrès et les communiqués sur la
vie
des organisations européennes, ceci restant l’affaire des public rela
70
ême : de perdre au nom de nos raisons de vivre la
vie
même. Constitutionnelle. Se préoccuper avant tout des moyens de pres
71
autre part et à l’extrême, de perdre au nom de la
vie
nos raisons de vivre. Culturelle-éducative. Tenter d’éduquer des éli
72
, paraissent en fait aussi contradictoires que la
vie
et les raisons de vivre. Bien réussir s’oppose à réussir à temps. Tro
73
en si les fédéralistes dominaient l’opinion et la
vie
politique. Deux équipes font un match, deux camps une politique, dans
74
l (langues, ressources artistiques, traditions et
vie
intellectuelle). Les considérations d’ordre politique, évidemment val
75
xercent les artistes, plus ou moins séparés de la
vie
commune. Au xxe siècle, la culture tend à devenir une sorte de way o
76
equel la culture serait ce qui donne un sens à la
vie
, la rend digne d’être vécue, « worth living ». Mais ce n’est pas seul
77
nt lui, les réalités spirituelles sont la « vraie
vie
» dont parlait Rimbaud, trois fois cité en épigraphe à ces essais, av
78
odifie avant même qu’on ait pu l’observer dans sa
vie
propre. Nos moyens étaient comparables à ceux de l’homéopathie, perme
79
. Autorité et liberté sont aussi nécessaires à la
vie
de l’Éducation que la diastole et la systole du cœur à la circulation
80
nergie nucléaire, des courants électriques, de la
vie
amoureuse. Cependant le dosage des deux attitudes reste variable, et
81
u contraire sacrifient tout à la préparation à la
vie
sociale : ils veulent des citoyens bien adaptés. Nous voulons plus :
82
ions officielles », de « préparer les jeunes à la
vie
démocratique et à la compréhension internationale ». L’accent est mis
83
aque individu dans toutes les circonstances de sa
vie
. On peut le déplorer ou s’en réjouir, mais il importe d’abord de s’en
84
eignés, à faire face aux problèmes concrets de la
vie
civique. Rien qui relie le civisme à autre chose qu’à la connaissance
85
res relations internationales. Il y consacrera sa
vie
. Ce jeune Polonais sans nation, mais non pas sans patrie, va recevoir
86
e salon des Godebski se trouve être le cœur de la
vie
artistique et littéraire de la capitale. Vuillard, Bonnard et Laprade
87
vers ses notes succinctes sur cette période de sa
vie
, on l’entrevoit chez la comtesse de Castries parlant avec le maréchal
88
tout, est non seulement le pays dont le style de
vie
lui convient le mieux, mais aussi le pays qui offre les meilleures ch
89
tention donnée à la variété des forces animant la
vie
publique : partis, confessions religieuses, syndicats, pressure group
90
accepter de même. Je ne comprenais pas comment la
vie
politique et les nécessités économiques interfèrent avec les principe
91
urs d’une tempête, il eut la seule occasion de sa
vie
d’observer des vaches atteintes du mal de mer.) Il y avait aussi huit
92
rait « l’un des deux jobs les plus étranges de sa
vie
» (il omet de dire ce que fut l’autre) : lecteur à haute voix dans un
93
ent ses vraies couleurs à toute une période de la
vie
de ce « politicien privé » que nous avons vu débuter dans les salons,
94
t déduire que l’action propre de Retinger dans la
vie
syndicale fut conforme à sa vocation la plus constante : établir des
95
e réaffirmer les principes qui avaient conduit sa
vie
et qui devaient inspirer selon lui, toute notre action européenne. Il
96
enne ou la coopération atlantique, à la fin de sa
vie
. Les yeux non avertis ne le distinguaient pas, dans la cohue des Impo
97
miser les apparences, c’est-à-dire le cadre de la
vie
(architecture, urbanisme, costume, moyens de transport, etc.), plus r
98
plus rapidement qu’elle n’égalise les niveaux de
vie
, et sans rapprocher les cultures. Ces dernières manifestent au contra
99
les plus nocifs du nationalisme, de soustraire la
vie
culturelle à l’emprise stérilisante des propagandes politiques, et de
100
bien sélectionnée et de consultation aisée sur la
vie
culturelle de chaque région (activités, œuvres créées, institutions,
101
el et bien, et qui joue un rôle important dans la
vie
de chaque Européen : l’École. Car l’Europe fait des citoyens pour ce
102
présente pas les problèmes vivants et réels de la
vie
publique ; 3° Le besoin partout reconnu d’une éducation civique plus
103
gions naturelles de notre continent reprendraient
vie
. Car voici le raisonnement que je me tiens (sans doute naïf ? pas sûr
104
réalités géographiques, pourrait recommencer une
vie
mieux aménagée (mot à la mode), plus riche et plus diversifiée, j’ins
105
modifier les données initiales “naturelles” de la
vie
, non plus (comme on le faisait il y a quelques siècles) pour répondre
106
rtains et à des nécessités limitées de cette même
vie
— mais comme inspirés de créer une forme d’existence tout artificiell
107
s, de contestations, de créations et de formes de
vie
— disons d’un mot : par sa culture, qui a fait littéralement le tour
108
l’on est en train d’étudier dans le détail64. La
vie
est trop courte, même prolongée comme on nous le promet, jusqu’à une
109
ir les moyens matériels, l’ambiance, le milieu de
vie
, les contacts personnels requis par l’exercice de sa vocation, voilà
110
s trop loin d’une ville de moyenne grandeur et de
vie
culturelle et sociale animée, une ou deux-centaines de maisons famili
111
; responsables des domaines les plus variés de la
vie
publique, économique et sociale, d’autre part. Condition générale d’a
112
nce dans une branche au moins du savoir, ou de la
vie
professionnelle, et démontrer d’une manière convaincante qu’on éprouv
113
les contradictions de leur développement dans la
vie
publique et privée de l’unité culturelle en question. Le problème des
114
ives et personnelles, essentielles au sens de nos
vies
. 64. Ainsi Comenius, dans sa grande utopie pansophique, la Panegersi
115
iels et certaines idéologies, certaines formes de
vie
publique, que cette culture seule expliquait. Alors parut un troisièm
116
ant de styles ou d’écoles dans la recherche de la
vie
meilleure. Le respect mutuel, le dialogue, supposent, à la fois la di
117
ommission va s’occuper des doctrines et formes de
vie
politique de l’Europe, et de leur transposition dans d’autres context
118
royances et leurs options fondamentales devant la
vie
et la nature ne jouaient qu’un rôle négligeable. En vérité, si l’on e
119
e réservé à une élite disposant de loisirs, et la
vie
politique, économique et sociale d’autre part, qu’ils considèrent com
120
dures nécessités concrètes qui sont celles de la
vie
publique et civique — domaine du sérieux. On pourra s’inquiéter aussi
121
c’est la participation active de l’individu à la
vie
commune, qu’il s’agisse du cercle familial, professionnel et communal
122
de conduite, lois et conventions qui régissent la
vie
en société, dans nos démocraties. Tout cela, c’est ce que l’on nomme
123
inculquer à l’élève les lois et conventions de la
vie
sociale et communautaire, mais d’autre part, il doit préparer l’élève
124
l faut caractériser en peu de mots une œuvre, une
vie
, ces réflexes ou tics de langage font préférer régulièrement l’appart
125
ir à leurs citoyens une participation réelle à la
vie
politique qu’ils prétendent monopoliser. Le problème du petit État da
126
devoirs civiques et participer effectivement à la
vie
de la cité ; donc trop grands pour être encore de vraies communautés
127
progressiste française pour la construction d’une
VIe
République. Nous réclamons la création d’États régionaux français. Ce
128
int en moins d’un siècle l’unité de base de toute
vie
sociale et publique en Grèce. Elle donna même son nom à cette forme d
129
e fédération européenne solidement fondée dans la
vie
créatrice et quotidienne des Européens. Nous pensions tous, au lendem
130
lle » et l’État qui agit en son nom dispose de la
vie
et de la mort de ses membres, plus ou moins « citoyens » ou « sujets
131
ilités pratiques de participation du citoyen à la
vie
d’une région de ce type ne seraient pas d’un ordre essentiellement di
132
ent différent de ce qu’elles sont aujourd’hui. La
vie
communale — seule école efficace du civisme — ne serait pas nécessair
133
les provinces et les communes : faute de quoi la
vie
politique abandonne les extrémités pour le centre, et le marasme gagn
134
e est complexe et souple, comme la paix, comme la
vie
. Cette antithèse domine le siècle. Elle est son véritable drame. Tout
135
faudra bien que cela change, si l’on veut que la
vie
continue, mais ce ne sera qu’au prix d’une révolution dont la gauche
136
ler, composer et hiérarchiser les finalités de la
vie
publique — et c’est là sa fonction stratégique — puis l’art de partic
137
raiment, mais des écoles de pensée, des styles de
vie
. Supprimez les frontières nationales, vous n’appauvrirez en rien les
138
De même que le centralisme autoritaire étouffe la
vie
régionale, jusqu’au jour où il provoque des séparatismes.) 4. Ceci ne
139
: — Que faisons-nous là ? Quel est le sens de ma
vie
dans cette société qui n’en est pas une, puisqu’elle n’est plus une c
140
la prospérité des provinces et d’y permettre une
vie
civique digne du nom, une participation réelle. Ainsi : l’État-nation
141
n homme est de savoir quelle est son utopie de la
vie
en général et de lui-même en particulier — mon utopie de l’Europe de
142
tous les étages et dans tous les domaines de leur
vie
publique, en lieu et place des fonctionnaires irresponsables, mais d’
143
À cela je répondrai par une anecdote tirée de la
vie
de Lyautey. On construisait sa résidence de Rabat, et il avait demand
144
moderne en général, mais son goût puissant de la
vie
et son sens du service de la cité n’ont cessé de le ramener aux grand
145
omaines (sauf le religieux, au xxe siècle) de la
vie
publique. Mouvements pendulaires de main-d’œuvre à travers la frontiè
146
uelles sont, parmi les fonctions nécessaires à la
vie
d’une communauté de type européen, celles qui souffrent le plus du fa
147
t claire : il faut susciter la région pour que la
vie
continue, tout simplement. B. Deuxième réponse possible à la questi
148
rêts, des sous-sols, des transports, enfin sur la
vie
et la mort des citoyens, selon qu’ils se conforment ou non aux dogmes
149
la thermodynamique) l’emportera finalement sur la
vie
, mais non pas sur l’esprit créateur. Et nous savons que la terre ayan
150
rvention de l’esprit. Entre ces pôles se passe la
vie
, notre aventure collective et personnelle, éphémère et pourtant décis
151
isme-léninisme et les fascismes, aux dépens de la
vie
civique. La futurologie « scientifique » : un conservatisme utopiq
152
sespoir et à la révolte une pénurie de sens de la
vie
au milieu de la surabondance des machines, des objets offerts et des
153
cteur qu’elle fasse diminuer, c’est la qualité de
vie
. Si bien qu’on peut se demander si le dogme de la croissance industri
154
ce industrielle, qui est contraire aux lois de la
vie
et qui met en péril la vie même, dès qu’on la laisse proliférer sans
155
ntraire aux lois de la vie et qui met en péril la
vie
même, dès qu’on la laisse proliférer sans freins… Il s’agit donc d’éc
156
mêmes de l’invention et de la compréhension de la
vie
. Nos machines et nos raisonnements, nos formes d’art et de gouverneme