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que nous devons envisager les perspectives de la
vie
publique et privée, dans l’état où se trouve la France en 1932. Est-c
2
description méthodique des circonstances de notre
vie
concrète, à seule fin d’en démontrer l’absurdité latente et souvent m
3
ait une méthode d’« observation affectueuse » des
vies
privées. Ah oui ! si la Révolution était faite déjà ! Elle ne l’est g
4
toire s’élabore et s’impose dans le silence d’une
vie
: la loi de Dieu s’oppose à cette loi des hommes qui veut qu’on tue.
5
nsuite parle de la même façon, mais pense à cette
vie
terrestre. Kierkegaard (Journal). La volonté de rupture est l’origi
6
n, dans le travail qu’il fournit pour « gagner sa
vie
», pour assurer sa subsistance matérielle. La dignité du singe alors
7
apparaît très supérieure. Les singes gagnent leur
vie
et ne font pas d’histoires. Ils ne font pas tant de publicité et de p
8
voulu mettre l’esprit au service du « minimum de
vie
» que n’importe quel animal s’assure à moins de frais. Sinistre farce
9
la dignité de l’homme consiste à mettre en jeu sa
vie
, à la risquer jusqu’à la perdre si la mesure de notre acte nous dépas
10
stes partent de la nécessité du gain, — gagner sa
vie
. Nous partons de la liberté du risque, — perdre sa vie. Cette opposit
11
Nous partons de la liberté du risque, — perdre sa
vie
. Cette opposition est tellement radicale, tellement fondamentale, qu’
12
’on limite à la nécessité d’assurer le minimum de
vie
se trouve condamné par là même à ne jamais suffire à cette nécessité
13
le travail-nécessité frappe toutes les règles de
vie
que l’homme essaie de se donner pour justifier à ses propres yeux, vo
14
viendrait donc l’ordre vivant ? On ne crée pas la
vie
en insultant la mort. Il faudra se tourner ailleurs. Il faudra remont
15
térateurs. Première espèce : les romanciers de la
vie
des classes possédantes. Le bourgeois aime leurs œuvres, parce qu’il
16
grugé, il est bon de sentir qu’au-dessus de cette
vie
plane une loi meilleure, un esprit pur, une revanche, dût-on n’y parv
17
aussent des deux premières, ceux qui méprisent la
vie
bourgeoise, l’amour et le mariage bourgeois, l’idéalisme romantique,
18
une bourgeois émancipé ne pourrait pas « vivre sa
vie
». Il se sentirait prisonnier. Il en viendrait peut-être à des actes
19
el ; initiation à la vision constituante de notre
vie
, celle qui unit dans un même regard les apparences actuelles et l’ord
20
préoccupations constantes qu’entraîne toujours la
vie
moderne, … lui ouvrir toutes grandes les fenêtres sur la magie de l’a
21
aux désespérés ? Tous vos livres disent non à la
vie
. C’est facile d’être négatif. Et je n’avais pas besoin qu’on m’y aide
22
onté — ou la générosité de soi — de dire oui à la
vie
. C’est très difficile… J’interromps la citation : dire oui à la vie,
23
ficile… J’interromps la citation : dire oui à la
vie
, c’est surtout une formule nietzschéenne, et qui signifie chez Nietzs
24
nes allusions, je devine qu’il est « seul dans la
vie
». Pourtant, il porte une alliance. Pauvre gaieté de la vie de garçon
25
rtant, il porte une alliance. Pauvre gaieté de la
vie
de garçon, reprise par nécessité… Nous arrivons sur la place de mon v
26
on n’en peut sortir sans quitter, du même pas, la
vie
. C’est pourquoi le drame est sérieux ; et notre vie n’est pas une far
27
e. C’est pourquoi le drame est sérieux ; et notre
vie
n’est pas une farce, pour la simple raison qu’elle est unique, et qu’
28
ction relève de ma vocation, fût-ce au prix de la
vie
de mon individu. 7. Incarnation À la série d’« implications ine
29
c’est-à-dire réduire la distance qui sépare notre
vie
de notre vocation. La foi au Christ, c’est la foi dans la personne pa
30
savoir comment les réunir — ce que ne font ni la
vie
ni la mort, ni Dieu qui ressuscitera les morts20. En vérité, cette il
31
cet abandon un instant, cette mort cachée dans la
vie
, cette insensible et peu croyable distraction du monstre moi, qui suf
32
uelque chose s’est passé, un risque est là, et ma
vie
est en lui. L’ai-je accepté ? Déjà tout recommence. Car la durée n’aj
33
lle ne repose que sur l’espoir du faible : que la
vie
se fasse « toute seule », que l’homme ne soit plus rien qu’un spectat
34
n poursuivre l’éditeur qui publia ce résumé de la
vie
nulle d’un jeune bourgeois ? k. « Maurice Meunier, Idoles, Gallimar
35
eur » : non dans leur pittoresque, mais dans leur
vie
intime, leurs relations. On serait tenté de dire : dans leur personne
36
aujourd’hui presque tous ceux qui entrent dans la
vie
. Mais en parlant d’étude, je fais tort au ton de ce livre, à son char
37
nciers de la nouvelle génération : cet appel à la
vie
communautaire, ce réalisme plein, ce sens du concret spirituel, cette
38
du matérialisme historique. Cette croyance que la
vie
se fera toute seule et que des « lois » inexorables se chargent de tr
39
s découvertes dans le domaine de la nature, de la
vie
, de l’évolution humaine, préparent les adaptations utiles ou rendent
40
et volatil, une entité qui plane au-dessus de nos
vies
, abandonnées, il faut l’avouer, à des soucis d’un tout autre ordre27.
41
ais on exige par surcroît qu’il gagne lui-même sa
vie
. C’est la seule chose qu’on ne lui ait pas apprise. Considérez ce pau
42
intellectuel soucieux d’agir par sa pensée. Cette
vie
« mal compassée » qu’on nomme la vie pratique, avec ses résistances e
43
ensée. Cette vie « mal compassée » qu’on nomme la
vie
pratique, avec ses résistances et ses aspérités, ses rencontres, ses
44
guerre d’usure contre l’inertie fascinante, cette
vie
faite d’embêtements et de fécondes coïncidences est plus conforme aux
45
ion essentielle avec la constitution réelle de la
vie
», Henri de Man y voit « la conception courante des masses populaires
46
nde et efficace des gestes les plus simples de la
vie
. 2. Formule d’une personne « Leur poésie ne commence pas pour e
47
à sa seule leçon, à l’équation fondamentale de sa
vie
, non point certes aux contingences et au décor de son apparition. Aus
48
premier sens. 46. C’est là ce qu’il appelle sa «
vie
intérieure », même s’il est résolument laïque. Rien n’est plus facile
49
tâches, lutte des classes et configuration de la
vie
, sous la même loi supérieure de la fin proposée par le socialisme. I
50
éfinir la culture comme « une forme commune de la
vie
, dont l’activité économique et politique ne constitue qu’une partie t
51
e symbole de l’action — et la configuration de la
vie
, qui requiert surtout la pensée — doivent s’ordonner à une mesure com
52
iers d’une raison brutale : il aura sans doute la
vie
dure, comme tout ce qui est irrationnel, et c’est la faute de la rais
53
our y mettre un minimum d’ordre et permettre à la
vie
de continuer. Il est incontestable que nous avons établi cet ordre :
54
rajeunies. Les vieilles nations mènent encore une
vie
à bien des égards plus facile et plus libre que les nouvelles. Elles
55
guerre une révolution de masses. Elles mènent une
vie
dure et s’en disent fières. Certes, elles ont sacrifié un certain nom
56
emaines qu’il va consacrer à prendre mesure de sa
vie
. Il choisit pour cela de l’écrire, de « jouer sa provision de bon air
57
entre les deux sens du mot « vivre » : gagner sa
vie
et mériter sa vie ; et peut-être entre les deux sens du mot « gagner
58
ns du mot « vivre » : gagner sa vie et mériter sa
vie
; et peut-être entre les deux sens du mot « gagner » : gagner le mond
59
et nous met du coup en présence du concret d’une
vie
située. Il faut s’arrêter, confronter, se reprendre, aussi se méfier
60
« Le Tous contre un » — et de son emprise sur nos
vies
. Critique dont la portée directe et l’évidence insupportable naissent
61
recueillement viril dans le concret intime d’une
vie
, c’est aussi le chemin de l’universel. S’il veut rester vivant, c’est
62
ir, que c’est à nous de recréer un monde où notre
vie
s’accepte. Aux premières pages j’ai pensé : document sur les déceptio
63
dulgence pour les mensonges et les égoïsmes de la
vie
sexuelle, la vision d’une jouissance infinie, tout cela ne fait que d
64
n humain de substituer à la réalité le rêve d’une
vie
plus « heureuse ». C’est encore une aspiration à la vie sublime, tout
65
us « heureuse ». C’est encore une aspiration à la
vie
sublime, tout comme l’autre, mais cette fois du côté animal. C’est un
66
as sur le besoin de camaraderie, de partage et de
vie
commune. » On ricanait quand Berdiaev prophétisait l’apparition proch
67
ou si Staline ne peut le sauver qu’au prix de la
vie
du Dieu qui est en lui, c’est que l’homme est pécheur, et ne peut pas
68
sme digne de ce nom. « La seule société pleine de
vie
et de force, écrit G. Bataille, la seule société libre est la société
69
ale qui donne aux antagonismes fondamentaux de la
vie
une issue explosive constante mais limitée aux formes les plus riches
70
sant à travers la terre entière » et « portant la
vie
au comble de la volonté de puissance et de l’ironie ». Il me paraît q
71
ppelle mes souvenirs, je retrouve partout dans ma
vie
des déterminations non moins précisément « superstitieuses ». En y re
72
ourtant l’empiètement excessif du général dans la
vie
réelle. Telle est notre situation — celle du monde bourgeois-capitali
73
des opinions de son journal, mais à l’aide de sa
vie
concrète. Celui-là seul peut faire sentir à l’écrivain ce qui est sol
74
r. Aller demander à la Nature la révélation d’une
vie
saine et délivrée de toute contrainte mauvaise, c’est trahir cette «
75
ls avaient eu toute la peine que j’ai eue dans ma
vie
, moi, ça serait autrement, je vous assure ! Ils sont trop orgueilleux
76
Nulle fiction ; un journal de méditations dans la
vie
, de rêves dans l’affreuse vie, où l’on condamne avec indifférence, et
77
méditations dans la vie, de rêves dans l’affreuse
vie
, où l’on condamne avec indifférence, et où tout le monde en fait est
78
e, et pratiquent la religion de la lutte et de la
vie
dangereuse : en conclusion, M. Benda fit observer que les anciens éta
79
mort mystique”. L’âme ne vit plus désormais de sa
vie
propre, c’est Dieu qui vit et agit en elle. » Il s’agit, au vrai, de
80
uchent au contraire les fondements mêmes de notre
vie
dans la cité, de notre existence comme « Suisses ». Ils affectent nos
81
l’endroit de ce qui est « germanique » dans notre
vie
confédérale. Réaction de faiblesse, et néfaste à un double titre. Car
82
crois, les écrivains n’ont moins d’action sur la
vie
politique.) Il est clair, et on le dit assez pour que je n’aie pas à
83
nt le mariage, car il n’a pas pour fin suprême la
vie
, mais bien la mort libératrice des liens terrestres : comme l’a magni
84
aut avouer qu’elle joue un rôle restreint dans la
vie
de nos sociétés. Ce qui explique, à mon sens, l’état présent de dé-mo
85
e tout homme doit un jour la connaître, et que la
vie
ne saurait être à plein vécue que par ceux qui « ont passé par là ».
86
inalités s’excluent. De leur coexistence dans nos
vies
surgissent sans fin des problèmes insolubles, et ce conflit menace en
87
ont pas de se produire un jour ou l’autre dans la
vie
du couple. Or c’est de tout cela, justement, que les modernes font dé
88
it un malheur plus beau et plus « vivant » que la
vie
normale, plus exaltant que son « petit bonheur »… Ou l’ennui résigné,
89
assion : tel est le dilemme qu’introduit dans nos
vies
l’idée moderne du bonheur. Cela va de toute manière à la ruine du mar
90
mour fatal quelque révélation, sur lui-même ou la
vie
en général : dernier relent de la mystique primitive. De la poésie à
91
t toujours l’aventure. C’est ce qui va changer ma
vie
, l’enrichir d’imprévu, de risques exaltants, de jouissances toujours
92
et il l’épousera ! Avec elle, ce sera la « vraie
vie
», ce sera l’épanouissement de ce Tristan qu’il porte en soi comme so
93
signifiait « vivre » pour Tristan, car la « vraie
vie
» qu’il appelait, c’était la mort transfigurante. Mais nous avons per
94
ture occidentale, et le fondement solide de toute
vie
personnelle ; selon le second, l’union monogamique serait la forme la
95
poser à l’idéal antisocial de « bonheur » et de «
vie
dangereuse » un idéal collectiviste. Gemeinnutz geht vor Eigennutz !
96
e opinion : « Les crimes sont un tribut payé à la
vie
» (Carpocrates, cf. Schultz, Dokumente der Gnosis). 85. En particuli
97
vre, quand c’est la terre qui est méprisée, et la
vie
qui est la faute à racheter ! Mais tuer l’homme avant qu’il ne se tue
98
t, et après coup, tel que je le reconnais dans ma
vie
. Et ce n’est à aucun degré une solution que je propose. Car outre qu’
99
t la suprême valeur du « stade esthétique » de la
vie
; puis la surmonte en exaltant le mariage, suprême valeur du « stade
100
e que signifie le choix d’une femme pour toute la
vie
, l’on en vient à cette conclusion : choisir une femme, c’est parier.
101
les chances de votre côté — et je suppose que la
vie
vous laisse le temps de calculer — jamais vous ne pourrez prévoir vot
102
la prétention de résoudre d’un coup, en une seule
vie
, le problème de l’adaptation de deux êtres physiques et moraux des pl
103
on en vertu de laquelle on s’engage pour toute la
vie
, « advienne que pourra ». Mais justement cette décision comme telle p
104
té : « c’est vous que je choisis pour partager ma
vie
, et voilà la seule preuve que je vous aime ». (Vraiment, pour dire :
105
revendication fondamentale : leur religion de la
vie
, s’y oppose diamétralement. Ils considèrent la fidélité comme une dis
106
damentale de créateur. Ainsi, dans la plus humble
vie
, la promesse de fidélité introduit une chance de faire œuvre, et d’ac
107
ur toutes. Seul l’irrévocable est sérieux.) Toute
vie
, fût-elle la plus déshéritée, détient sa chance immédiate de grandeur
108
re de l’« instinct de mort » inséparable de toute
vie
créée, et il le transfigure en lui donnant un but essentiellement spi
109
alors une manière de se sauver et d’accéder à une
vie
supérieure, la « joie suprême » d’Isolde agonisante. Fidélité qui con
110
me » d’Isolde agonisante. Fidélité qui consume la
vie
, mais qui consume aussi la faute, et divinise un moi purifié, « innoc
111
a gardé parmi nous que l’illusion d’accéder à une
vie
plus ardente. Mais l’emprise de cette illusion trahit encore l’obscur
112
délité courtoise ; une négation sans retour de la
vie
. Mais la fidélité dans le mariage est au contraire un engagement abso
113
que la fidélité dans le mariage est la loi d’une
vie
nouvelle ; et non point de la vie naturelle (ce serait la polygamie)
114
st la loi d’une vie nouvelle ; et non point de la
vie
naturelle (ce serait la polygamie) — et non plus de la vie pour la mo
115
elle (ce serait la polygamie) — et non plus de la
vie
pour la mort (c’était la passion de Tristan). ⁂ L’amour fidèle de Tri
116
ur fidèle de Tristan détruisait son bonheur et sa
vie
pour témoigner en faveur de la Nuit, c’est-à-dire du moi glorifié. L’
117
ers le Jour afin d’attester notre alliance. ⁂ Une
vie
qui m’est alliée — pour toute la vie, voilà le miracle du mariage. Un
118
iance. ⁂ Une vie qui m’est alliée — pour toute la
vie
, voilà le miracle du mariage. Une vie qui ne veut plus que mon bien,
119
ur toute la vie, voilà le miracle du mariage. Une
vie
qui ne veut plus que mon bien, parce qu’il est confondu avec le sien
120
ndu avec le sien : et si ce n’était pour toute la
vie
, ce serait encore une menace. (Il y a toujours une telle menace dans
121
uit. « Je ne veux pas la mort du pécheur, mais sa
vie
. » ⁂ Éros s’asservit à la mort parce qu’il veut exalter la vie au-des
122
s’asservit à la mort parce qu’il veut exalter la
vie
au-dessus de notre condition finie et limitée de créatures. Ainsi le
123
si le même mouvement qui fait que nous adorons la
vie
nous précipite dans sa négation. C’est la profonde misère, le désespo
124
’exprimant, Agapè l’en délivre. Agapè sait que la
vie
terrestre et temporelle ne mérite pas d’être adorée, ni même tuée, ma
125
nt aussitôt, et par là même, le pire ennemi de la
vie
, la séduction du Rien. Mais dès lors que le Verbe s’est fait chair et
126
l’ascension interminable du Désir qui consume la
vie
, mais ici-bas, dans l’obéissance à la Parole. ⁂ Et qu’aurions-nous al
127
ecret, et d’en attendre un mystérieux surcroît de
vie
. J’essaierai de le faire concevoir par l’examen d’un fait connu. Le
128
grave d’une existence autonome, étrangère, d’une
vie
totale dont il n’a désiré vraiment qu’un illusoire ou fugitif aspect,
129
t lent et difficile, il engage vraiment toute une
vie
, et il n’exige pas moins que cet engagement pour révéler sa vérité. E
130
e. Don Juan, l’homme des coups de foudre et de la
vie
« orageuse », serait une sorte de surhomme, de surmâle. Mythe d’une p
131
là où les religions païennes menaient encore une
vie
secrète. L’amour-passion n’est pas l’amour chrétien, ni même le « sou
132
goût de la guerre procède d’une conception de la
vie
ardente qui est un masque du désir de mort. Dynamisme inverti, et aut
133
e est née ne sauraient proposer comme but à notre
vie
la maîtrise de la Nature, puisque c’est là le but et la fonction orig
134
nos plus belles créations. Mais ce qui produit la
vie
produit aussi la mort. Il suffit qu’un accent se déplace pour que le
135
e des chances nouvelles à la passion. C’est notre
vie
et notre mort. Et c’est pourquoi la crise moderne du mariage est le s
136
ins qui obsède aujourd’hui tant de fronts ? Notre
vie
ne se joue pas dans l’au-delà temporel, mais dans les décisions toujo
137
uire à néant ». Du point de vue du monde et de la
vie
naturelle, Dieu apparaît alors comme « mon ennemi mortel ». Nous nous
138
xtrême de la passion, la mort d’amour, initie une
vie
nouvelle, où la passion ne cesse d’être présente, mais sous l’incogni
139
alut que par cette action d’obéissance qui est la
vie
de fidélité. Vivre alors « comme tout le monde », mais « en vertu de
140
stion qu’elles nous posent et la réponse de notre
vie
.) ⁂ Le second thème que j’esquisserai n’est peut-être pas d’une natur
141
ar la rencontre d’un autre, par l’admission de sa
vie
étrangère, de sa personne à tout jamais distincte, mais qui offre une
142
ité vis-à-vis de leurs sujets, de ce mépris de la
vie
humaine en gros et en détail, de ce refus d’ouvrir leurs frontières,
143
gaspillage lyrique, dans tous les domaines de la
vie
; car notre économie minutieuse des moyens, surestimée par l’École et
144
sionnaire, colonisée, c’est un certain sens de la
vie
, une certaine « conscience » de l’humain, oui, l’âme d’une civilisati
145
e leur nation ce qu’ils attendent eux-mêmes de la
vie
. Ainsi ce ne sont pas seulement les idéaux de progrès collectiviste o