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eux mêmes où naquit la religion du « Prince de la
vie
»… Qu’on ne croie pas, d’ailleurs, que l’attitude presque constamment
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l ? Non, car le christianisme se passe dans cette
vie
ou bien n’est pas du christianisme. Et l’on serait en droit de préten
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eront des réalités artificielles qui énervent nos
vies
de soucis dégradants. J’ai fait lire ce livre à des gens de toutes co
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qui vous saisit le cœur, à chaque page. Toute une
vie
de femme se déroule sur un rythme large à travers une humanité viveme
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temps de sa misère. Puis une grâce vient dans sa
vie
et désormais l’accompagne en secret tout au long de cette chronique.
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manciers du Nord, que d’introduire la durée d’une
vie
comme protagoniste du drame.) Des fragments émouvants du journal de S
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réaliste » de Hildur Dixelius a su voir dans la «
vie
courante » de ses héros des drames singuliers, de bizarres et profond
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l sait aimer. Et sur ce monde, qu’il est, sur ces
vies
douloureuses, banales ou touchantes, mal engagées ou menacées, harmon
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onterai pas « l’histoire ». Cette chronique d’une
vie
de femme n’est pas de celles qui se résument. Il y a là vingt figures
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les fortunes et bonnes fortunes, et traversant la
vie
dans un murmure flatteur, comme on peut le voir au cinéma. C’est agré
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mpensations illusoires au morne train-train de la
vie
. Ainsi le public perd l’habitude de demander aux écrivains autre chos
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est en communion avec les soucis de la nation, sa
vie
réelle et sa nature profonde. Mais un tel redressement de la culture
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urs, sinon les phantasmes d’un rêve, d’un rêve de
vie
tendue, disciplinée, cruelle, c’est vrai, rêve pourtant, grande image
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les relations qu’elle établit entre le rêve et la
vie
réelle. » Or notre époque, plus que toute autre semble-t-il, s’est at
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vis de la psychanalyse. Les interprétations de la
vie
onirique, qu’il nous propose, sont infiniment plus larges que celles
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croissant de citoyens qualifiés participent à la
vie
publique. Celle-ci n’est plus l’affaire exclusive des cliques de poli
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avec les scléroses et les vieilles rancunes de la
vie
politique européenne : ce secret réside peut-être dans le fait très s
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principe de la discussion, indispensable à toute
vie
démocratique. Le fait qu’il n’y a que deux partis, et que ces deux pa
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pas de pays moderne où la religion tienne dans la
vie
publique une place plus importante et plus visible. Il faut être un E
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pprécier diversement cette interpénétration de la
vie
ecclésiastique et de la vie publique (dans un pays, remarquons-le, où
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nterpénétration de la vie ecclésiastique et de la
vie
publique (dans un pays, remarquons-le, où les Églises ont toujours ét
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s’expliquent lorsqu’on découvre la réalité de la
vie
communautaire dans les paroisses. Devenir membre d’une Église, en Amé
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donner tout leur sens à certains incidents de la
vie
politique américaine. Imaginez, par exemple, le gouverneur d’un des g
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prière, pouvaient s’y joindre. j. « Religion et
vie
publique aux États-Unis », Journal de Genève, Genève, n° 41, 18 févri
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ui le nom d’Europe a représenté la beauté dans la
vie
, l’intelligence, les secrets d’un bonheur conquis sur le destin, et m
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s sans prix, de libertés, de foi, et de formes de
vie
, cette idée par exemple ne l’effleure pas. Il n’y a pour lui qu’un se
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à concevoir que le maintien du statu quo, que la
vie
, la durée de notre Europe divisée, devant toutes les menaces que vous
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garde ou un poste avancé de la France ? Il vit sa
vie
locale, adossé au Jura, s’approche assez de Genève pour lui vendre se
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t il a créé l’animation politique nécessaire à la
vie
de la Constitution, tandis que d’autre part il figurait le pendant li
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« Ne jugeons point de la fonction de Dieu dans la
vie
humaine par la croyance ou l’incroyance des hommes, mais par les sign
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ns de quelques-uns d’entre eux — comme l’Arbre de
Vie
de la Genèse — se voient interprétés dans la logique de cette phénomé
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tion du Christ interprétées comme promesses d’une
vie
future, et par là même, dit Ansermet, abandonnant notre bas monde à s
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e “tout ou rien” » : « Personne, au courant de la
vie
intellectuelle suisse des trente dernières années, n’osera nier [de]
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ins (Nabokov, Musil, Pasternak), mais aussi de la
vie
et des œuvres de Kierkegaard et de Nietzsche, que la dialectique de l
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té par l’obstacle qui le nie, se retrouve dans la
vie
du couple le plus « fidèle ». S’il est vrai que la passion cherche l’
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ent de résoudre les principaux problèmes de notre
vie
moderne selon leur « mérite », c’est-à-dire leur nature et leur conte