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aux prises avec les contradictions inouïes de la
vie
, et leur parler du message non moins inouï de la Bible, de cette Bibl
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nouvelle énigme en face des contradictions de la
vie
. Souvent ces deux grandeurs, la vie et la Bible, m’ont fait l’effet —
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ictions de la vie. Souvent ces deux grandeurs, la
vie
et la Bible, m’ont fait l’effet — ne me le font-elles pas encore ? —
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dresser qu’à ces « questions dernières » de notre
vie
, celle devant lesquelles nous fuyons toujours — et c’est là justement
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, que cette foi n’est pas le couronnement de sa «
vie
religieuse », mais le don gratuit que Dieu fait à tout homme qui n’a
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qui se refuse à cette mort, se refuse aussi à la
vie
. Il meurt de ne pas mourir, selon la parole profondément « dialectiqu
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oute recherche. Il est la présupposition de toute
vie
, la synthèse qui précède éternellement nos thèses et nos antithèses,
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e Girard sont de doux ahuris, qui partent dans la
vie
avec une conscience pure et des gants beurre-frais. Ils ne tardent pa
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mmence à s’exprimer dans des revues comme Foi et
Vie
, Le Semeur , Hic et Nunc . Si, par ailleurs, ces jeunes théologien
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évangiles, se réduisait à une contemplation de sa
vie
. Dans cette difficulté, le jeune théologien interroge Calvin. Que tro
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nversement du problème. Calvin ne fonde pas notre
vie
religieuse sur notre amour pour Jésus-Christ — amour dont il nous sai
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analyse détaillée des Stades sur le chemin de la
vie
, dont In Vino Veritas constitue l’introduction, dans l’étude biograph
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vaincra en lisant le petit livre d’Harold Begbie,
Vies
transformées 7, qui raconte les origines du Mouvement et cherche à dé
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concrets, agissant dans le cercle concret de leur
vie
. La seule question qu’il y ait donc lieu de poser est celle-ci : comm
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mension humaine particulièrement émouvante. 7.
Vies
transformées, par Harold Begbie, trad. de l’anglais par D. Junod (La
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») dont Rougemont donne une recension dans Foi et
Vie
en septembre 1931. Kagawa sera également évoqué par Rougemont dans un
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ut-il pour faire un roman ? Des caractères, de la
vie
intérieure, une morale qui mette des obstacles et qui crée des confli
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les et qui crée des conflits dramatiques dans les
vies
les plus dépourvues d’apparences. N’est-ce point-là l’image habituell
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e ? Non, car le christianisme se passe dans cette
vie
ou bien n’est pas le christianisme. Et l’on serait en droit de préten
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qui vous saisit le cœur, à chaque page. Toute une
vie
de femme se déroule sur un rythme large à travers un peuple de person
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emps de son malheur. Puis une grâce vient dans sa
vie
, et désormais l’accompagne en secret tout au long de cette chronique.
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omanciers du Nord que d’introduire la durée d’une
vie
comme protagoniste du drame.) Des fragments du journal de Sara commen
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roulement de cette légende de la vie quotidienne.
Vie
quotidienne, réalisme, pessimisme. Je vois bien les malentendus que f
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ait aimer. Et sur ce monde tel qu’il est, sur ces
vies
douloureuses, banales ou touchantes, mal engagées ou menacées, harmon
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plongées directes qu’elle permet d’opérer dans la
vie
publique et privée du xviie siècle, mais encore parce que, à tout mo
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une intéressante plaquette de H. Dartigue sur la
vie
et l’œuvre de J. Viénot. h. « Une histoire de la Réforme protestante
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r de nos ratiocinations de clercs retraités de la
vie
? Mais le plus curieux de l’affaire, n’est-ce pas que Kierkegaard nou
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ense d’un acte « fou » et revint avec lui dans la
vie
comme si rien ne s’était passé. Voilà le paradoxe des paradoxes : viv
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ard dans Crainte et Tremblement. Qu’est-ce que la
vie
chrétienne ? demande Karl Barth dans Culte raisonnable dont le titre
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uestion : en quoi ma foi doit-elle transformer ma
vie
? Or, toute l’insistance du grand théologien se porte dans ce livre s
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de plus en plus livré à la seule grâce divine. La
vie
chrétienne, c’est simplement la vie humaine éclairée par la foi dans
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ce divine. La vie chrétienne, c’est simplement la
vie
humaine éclairée par la foi dans sa réalité, puis offerte telle quell
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més en quelque essence radieuse et esthétique. La
vie
chrétienne n’est pas une construction qui s’élève au-dessus du reste
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construction qui s’élève au-dessus du reste de la
vie
. C’est toute profane et banale, la vie que chacun doit vivre à sa pla
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este de la vie. C’est toute profane et banale, la
vie
que chacun doit vivre à sa place, et dans sa situation. Mais en quoi
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de la foi », sinon celui qui vit pleinement cette
vie
, toutefois « en vertu de l’absurde », c’est-à-dire en vertu de la tra
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ce, in extremis. Car c’est à chaque instant de la
vie
de la foi que se posent les questions dernières. Mais cette vision d
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t grande question, la question de l’origine de sa
vie
, la question de Dieu. Tous les héros de Dostoïevski apparaissent mala
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e par Kierkegaard, c’est la conception même de la
vie
du chrétien selon Calvin, c’est surtout le simul peccator et justus q
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s d’observation » et l’on essaie d’en tirer de la
vie
. Mais ne serait-ce pas que l’on ne sait plus créer de la vie ? On s’e
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e serait-ce pas que l’on ne sait plus créer de la
vie
? On s’efforce de la décrire, ou pis encore, de l’expliquer… Le roman
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et porte sur lui de grandes ombres. Il y puise sa
vie
secrète, il en reçoit des dimensions nouvelles : mystère, fatalité, p
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nte autres personnages, des foules aux foires, la
vie
commune du bourg et des paroisses. C’est vraiment toute l’humanité su
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ourri depuis cent ans le grand roman occidental :
vies
intérieures profondes, structure sociale stable et puissante, décor n
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Il a tenu, dans notre journal, la rubrique de la
vie
protestante. Ayant fait de solides études à Vienne et en Allemagne, i
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ant d’écrivains, et leur tiennent souvent lieu de
vie
intérieure. Il me reçoit dans la maison de M. Charles Du Bos, à La Ce
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peuvent plus se supporter au bout de trois ans de
vie
commune dans la forêt et qui, Tristan ayant épousé Iseut aux blanches
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ste pas à la facilité, à l’habitude. Exclue de la
vie
conjugale, la passion se réfugie dans l’adultère. Maris et femmes, ch
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royez-vous que cela puisse embellir, faciliter la
vie
commune ? Certes, non. Mais aujourd’hui, les jeunes gens et les jeune
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e du mariage. Croyez-vous que les problèmes de la
vie
sentimentale et sexuelle puissent trouver une solution nouvelle ? Pou
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isse, le bienheureux Nicolas de Flue, qui eut une
vie
extraordinaire. D’abord soldat valeureux, il fut ensuite, pendant dix
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ns qu’une civilisation a la même fragilité qu’une
vie
. Les circonstances qui enverraient les œuvres de Keats et celles de B
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re dans l’adoption bien trop rapide des formes de
vie
politique, sociale et économique, élaborées par l’Europe moderne. Rés
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nis de Rougemont, les deux grands thèmes de votre
vie
ont été l’Amour et l’Europe. Quel était le Denis de Rougemont de ses
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livre fut quelque chose de très important dans ma
vie
. L’opposition entre l’amour-passion et le mariage est au fond le suje
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qui m’a demandé trois mois de travail et toute la
vie
. J’étais devenu, hélas ! aux yeux de beaucoup de gens dans beaucoup d
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on : « Savez-vous que votre livre a transformé ma
vie
! »… Cette idée d’avoir transformé tant de vies m’a beaucoup impressi
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ma vie ! »… Cette idée d’avoir transformé tant de
vies
m’a beaucoup impressionné. J’ai tâché de suivre un peu ce qui se pass
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tâché de suivre un peu ce qui se passait dans la
vie
de ces gens qui m’avaient fait des confidences et je me suis aperçu q
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au mariage solide, fait pour durer sinon toute la
vie
, du moins le plus longtemps possible ; au mariage conçu comme une œuv
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’est que la mort, je m’interroge sur ce qu’est la
vie
. Là, je peux dire quelque chose : c’est un certain laps de temps pend
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ou moins bien, elle peut dire qu’elle a réussi sa
vie
et après cela on ne peut rien lui demander de plus. Et Dieu ? Je publ
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out à ce que le monde ait un sens, à ce que notre
vie
ait un sens, à ce que l’humanité ait un sens, puis ils finissent par
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nder : Qu’est-ce que cela veut dire pour vous, la
vie
, s’il n’y a aucun sens à rien ? Pourquoi ne me comporterais-je pas co
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pas seulement confirmation de l’idéal de toute sa
vie
; les hommes qui demain auront la charge du monde pourront y puiser t
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notre vision de l’histoire et le sens même de la
vie
de l’esprit. 1° Chacun de nos pays a un nord et un midi : dans chacun
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raiment, mais les écoles de pensée, les styles de
vie
. Supprimez les frontières nationales, vous n’appauvrirez en rien l’Eu