1
e parmi les camarades : quand on s’avance dans la
vie
politique sans autre intention claire que de prendre toujours à gauch
2
organisent tout sans satisfaire personne. Dans la
vie
familiale ou individuelle elle-même enfin, tout effort constructif qu
3
nt l’aboutissement fatal serait la ruine de toute
vie
organique et de toute solidarité réelle, comme il était, en régime ca
4
sfaisait pas le besoin qu’on avait créé8. Dans la
vie
de tous les jours, la revendication de l’égalité ne pouvait se tradui
5
s réels, et s’hypnotisa sur l’idée du standing de
vie
, défini par comparaison avec « les autres », déterminé par une série
6
incipes qui sont à la base de l’économie et de la
vie
politique ON sont identiques à ceux qui seront à la base de la vie so
7
sont identiques à ceux qui seront à la base de la
vie
sociale quotidienne. Nous n’établissons pas de distinction théorique
8
théorique et inopérante entre la vie privée et la
vie
publique. Nous n’avons pas deux morales. Tout ce que nous allons dire
9
r morale, crée un abîme entre la vie privée et la
vie
publique. Nous en voyons les conséquences, ces jours-ci. 9. Nous rev
10
rielle ». Nous disons que cet être-là n’a plus de
vie
spirituelle. Car nous croyons que le spirituel, c’est l’engagement to
11
le, dans l’histoire, que l’État ait pu assurer la
vie
d’une collectivité dont chaque membre se déclare irresponsable. Les m
12
straction, et qui s’abstrait ainsi lui-même de la
vie
profonde du peuple et de l’activité créatrice des élites ? Ni le pouv
13
-dire que nous exigerons qu’ils fassent dans leur
vie
la première révolution, la seule totale. La révolution pour nous n’es
14
de personnes qui ont fait la révolution dans leur
vie
, qui souffrent à cause de cela du désordre établi autour d’eux, et qu
15
fre n’est pas un « nombre d’or », un secret de la
vie
, mais une convention de banquiers. Il est contre nature que l’amour,
16
pendent d’une chose morte, quand leur essence est
vie
. Or nous voyons la même erreur héritée par le socialisme. La fausseté
17
des « masses », la culture se trouve isolée de la
vie
populaire et de la politique qui l’exploite. Mais un monde personnali
18
une vue d’ensemble, qui contemplent le jeu de la
vie
et qui y participent, tantôt ici, tantôt [p . 16] là, mais sans se l
19
nsion, sans détriment, bien au contraire, pour la
vie
politique et économique du pays. b) Le conflit spirituel étouffé par
20
ien résolu pour autant, fermente et empoisonne la
vie
morale de la nation. Il devient un foyer de fièvre et un facteur d’én
21
deviennent vraiment les deux pôles de la nouvelle
vie
politique. La carte des partis parlementaires tend à recouvrir de plu
22
te et la gauche deviennent les vrais foyers de la
vie
publique, et si d’autre part leurs mystiques se sont à ce point modif
23
rise de pouvoir légal, qui est le cauchemar de sa
vie
. Après avoir « milité » pendant quarante ans, ce prophète en Chambre
24
’est que nous avons une conception héroïque de la
vie
. Tout dépend de cela. Moi. — Nous y voilà. Je ne vais pas combattre
25
éjugés politiques antédiluviens qui encombrent la
vie
publique et qui empoisonnent la pensée. J’ai à lutter, aussi, contre
26
n’est pas humaine, elle n’a aucune valeur pour la
vie
normale de l’homme. Et ils le disent bien ! C’est une mutilation. C’e
27
de la politique, l’homme se voit entraîné dans la
vie
civique par devoir, au nom des « intérêts » de l’État, ou au nom des
28
ritable. D’où la distinction bien connue entre la
vie
publique et la vie privée. Cette distinction conduit nécessairement à
29
, parce que personne au monde n’a jamais mené une
vie
parfaitement morale, pour renoncer à affirmer les droits de la morale
30
es êtres ignorants des conditions concrètes de la
vie
actuelle, nous les invitons cordialement à participer à notre prochai
31
tent ? Toutes ces questions sont des questions de
vie
ou de mort pour l’ensemble de la nation. Ceux qui leur donneront une
32
que leur rigidité même permet de distinguer de la
vie
organique et de l’activité discontinue et imprévisible de l’esprit. C
33
s mains d’une classe restreinte commande toute la
vie
politique. Il suffira de rappeler les batailles que livrèrent sénateu
34
L’immense majorité des citoyens, n’ayant plus de
vie
propre, délègue en quelque sorte à la vie et à l’action les courtisan
35
plus de vie propre, délègue en quelque sorte à la
vie
et à l’action les courtisans, les « vedettes » du moment. La foule cr
36
te société moribonde, qui a besoin pour sentir la
vie
, de toutes les épices capables, comme on dit, de « réveiller un mort
37
sit65 apporta un incontestable élargissement à la
vie
des hommes de cette époque, dont les échanges avaient été réduits jus
38
Sans doute l’évolution générale des conditions de
vie
tendait-elle à faire des anciens seigneurs de simples usufruitiers du
39
cipales67. Les princes interviennent donc dans la
vie
économique, en luttant contre le protectionnisme municipal, au bénéfi
40
des privilèges, la hausse constante du prix de la
vie
depuis le xviie siècle, tout cela exigeait un changement de plan tot
41
États-nations, incapables de trouver une forme de
vie
commune et féconde. 60. Augmentées encore par la large part de but
42
ns, dogmes sociaux… considérés comme normes de la
vie
politique. Toute déclaration écrite doit à nos yeux jouer le rôle non
43
naugurale pour un principe régulateur donné de la
vie
publique, comme l’ont fait les républicains de la IIIe République pou
44
nnaliste », c’est-à-dire à une fédération dont la
vie
même suppose la libre et pleine expression des diversités. ⁂ Ajoutons