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ur, une affaire de la solitude. Une pensée et une
vie
sont aux prises : qu’on les laisse donc seules à ce débat silencieux
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l’effort d’instaurer une économie générale de la
vie
impliquant cette identité et fondant sur elle ses valeurs les plus ha
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L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)d La
vie
d’Arnaud Dandieu s’exprime tout entière dans une doctrine de l’acte c
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taque. Exister en résistant, c’est exclure. Toute
vie
, toute existence individuelle, toute possession, est exclusive ; et c
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a foi — telle que la conçoit Kierkegaard — que la
vie
, la pensée, la souffrance du chrétien soient sous-tendues par des con
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act réel et vital14, et c’est l’éclair dans notre
vie
d’une transcendance, l’amour en actes, l’action directe, réciproque e
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outissent qu’à la plus radicale dévaluation de la
vie
et de la mort que son siècle ait pu concevoir, et qu’il fut seul sans
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é subsiste, sans appui. Tous comptes faits, toute
vie
consumée, toute position rongée et corrodée par le réactif qu’elle se
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bien se rapporter aux facteurs irrationnels de la
vie
», etc. Nietzsche l’a chanté, mais comme un bien perdu. g. « Contre
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claration de ce qu’il tient pour plus vrai que sa
vie
, et à quoi tout le reste s’ordonne, y compris cette justice dont nous
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tensité et de concentration. C’est le temps de sa
vie
! Ce nœud l’attestera. L’innocence du prédestiné, et la malice du pay
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uez-le ! Car il y va de tout, du sens même de nos
vies
! Car vous mourez, nous mourons tous d’ennui, dans un monde où rien n
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se noue. Car vous mourez, nous mourons tous à la
vie
spirituelle, la vie précieuse. Elle n’existe que prise au complexe d’
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ourez, nous mourons tous à la vie spirituelle, la
vie
précieuse. Elle n’existe que prise au complexe d’une âme, dans les dé