1 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
1 e se livrer à ses déterminants, c’est de mener la vie gratuite que réclament les surréalistes. Le contraire de la liberté.
2 des fourrures, personne ne sait la richesse de ta vie …). J’écris ces choses. Puis, dans un ancien carnet de notes, je retro
3 ent assez précisément la forme d’un entonnoir. La vie serait le liquide tourbillonnant à l’intérieur. Un arrêt (l’auteur se
4 arder vivre, le personnage à douter du sens de sa vie ) et les forces centripètes l’emportent peu à peu, une aspiration vers
5 nsonge », ce choix faux mais bon, nécessaire à la vie , n’est-ce pas être sincère aussi que de s’y prêter ? Or, il vous tire
6 remière fois que certains, peut-être, jouent leur vie . Rien ne paraît plus sinistre à la sincérité presque pure de cet âge.
7 bien quelques voiles à mon dégoût d’un moi que la vie me montrait si désespérément vrai, tyrannique, insuffisant. Mais un p
8 ors qu’une symphonie de joies émanait de toute la vie  : chaque chose proposait une ferveur nouvelle, et chaque être un plus
9 que cette agilité offensive qu’on appelle dans la vie publique arrivisme, et séduction dans les salons. Constater une faib
2 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Avant-propos (décembre 1926)
10 s semble-t-il, notre revue a sa raison d’être. La vie d’aujourd’hui, on le sait, nous oblige à nous affirmer ou à refuser d
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Conte métaphysique : L’individu atteint de strabisme (janvier 1927)
11 é, un ! » Mais l’étoile chantait dans l’axe de sa vie normale et s’approchait en faisant la roue — celle à qui sourit la Fo
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
12 que c’est que la souffrance, ce que c’est que ma vie , ma mort. Mon Dieu, il n’y a plus qu’un glissement gris, sans fin… Il
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’autre œil (février 1927)
13 ncé, qu’on appelle, sans doute par antiphrase, la vie . 6. Revue ou prologue. h. « L’autre œil », Revue de Belles-Lettre
6 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
14  ? »   Nous naissons à quelque chose qui imite la vie dans une époque d’inconcevables compromissions où triomphe sous tous
15 itique, un peu bousculé.) Moi. — Vous disiez, ma vie  ? La Muse (mais oui, la Muse, sortant de derrière un rideau). — J’at
16 es « maudits » ont la grâce, parce qu’ils sont la vie , même quand ils appellent la mort, parce qu’ils ont la passion et l’i
17 11. Les livres les plus répandus à Genève sont Ma vie et mon œuvre de Ford et Mon curé chez les riches. Très loin derrière
7 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
18 nsieur…, la jeunesse est l’âge où l’on atteint la vie . On s’y maintient cinq ans, dix ans au plus. Après, c’est un long adi
19 nts me savaient vierge et c’était la joie de leur vie , car ils aimaient en moi par-dessus tout la vertu que je leur devais.
20 fais grâce, poursuivit-il, de la chronique de ma vie de rat d’hôtel et de sleepings ; encore que… Bref, depuis quelques mo
21 enjolivures où je vois le véritable intérêt de ma vie . C’est vous dire que seule une certaine caresse de l’événement naissa
22 us générale et la moins compromettante, sur cette vie dont le récit n’avait pas laissé que de l’agacer en maint endroit. « 
23 itique, — c’est l’extraordinaire netteté de votre vie . Elle est sans bavures, sans réticences ; elle m’apparaît comme un di
24 donnez la lourdeur de l’expression — une règle de vie . Mais, je vous l’avouerai, ce qui me retient de tirer de votre condui
25 persuadé que moi de l’absurdité radicale de notre vie , la moindre farce, le moindre geste convenu dans le genre « révolté »
8 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
26 usé : — Vous l’abandonnez ? Pour quoi ? — Pour la vie  ! Or je pense, à part moi : j’ai lu ça quelque part. Voyez ma franchi
27 raient-ce les guillemets qui vous choquent ?   La vie  ! — proclamiez-vous… Soit. Mais maintenant je vais me fâcher chaque f
28 a jaillit, s’entrechoque, s’annule. Poussière. Ma vie est ailleurs. L’addition, s’il vous plaît. Il est temps de sortir de
29 e sortir de ce café et de ces jeux, simulacres de vie , qui sont à la vraie vie ce que le flirt est à l’amour. II Sur l’i
30 ces jeux, simulacres de vie, qui sont à la vraie vie ce que le flirt est à l’amour. II Sur l’insuffisance de la littéra
31 e » dont je parviens à tirer quelque bien pour ma vie . Le jour où les soins qu’elle exige me coûteront des sacrifices plus
32 us me demanderez « alors » ce que j’attends de ma vie . Je serais tenté de vous répondre, comme ce sympathique Philippe Soup
33 ction. 16. J’en vois certains qui arrangent leur vie de telle sorte que leurs mémoires seront des romans « bien modernes »
9 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Prison. Ailleurs. Étoile de jour (mars 1929)
34 un matin d’été la grâce tendrement dénouée de ta vie comme de cette nuit le jour d’un grand été   qui consent… Ailleur
10 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
35 sonnes qui ont dit, ne fût-ce qu’une fois en leur vie  : « J’ai horreur de la sentimentalité ».) Nous voici donc en taxi, « 
36 la notion n’en soit toute relative aux modes de «  vie  » bourgeois ; et puis la, comédie n’est pas mon fort, même la triste.
37 a mansarde, et qui n’a pas peur… ⁂ Le reste de la vie , c’est toujours entre deux voyages d’Allemagne. Cela se passe actuell
11 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
38 que réelle, existentielle, la problématique de la vie de l’homme en 1933, assumée dans ses aspects les plus scandaleux, les
12 1935, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). René Guisan : un clerc (1935)
39 ne œuvre en cours, des circonstances d’une humble vie . Il faut décrire ces éléments de sa « personne » en termes d’apparenc
40 que c’est la leçon que nous devons prendre de sa vie  : la leçon toute goethéenne du clerc qui sert sans rien trahir de la
13 1968, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Hölderlin dans le souvenir des noms splendides (1968)
41 iment originel » a pour fonction de « rappeler la vie perdue à une vie magnifiée »26, on peut bien dire qu’elle naît d’une
42 a pour fonction de « rappeler la vie perdue à une vie magnifiée »26, on peut bien dire qu’elle naît d’une nostalgie d’elle-