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e se livrer à ses déterminants, c’est de mener la
vie
gratuite que réclament les surréalistes. Le contraire de la liberté.
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des fourrures, personne ne sait la richesse de ta
vie
…). J’écris ces choses. Puis, dans un ancien carnet de notes, je retro
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ent assez précisément la forme d’un entonnoir. La
vie
serait le liquide tourbillonnant à l’intérieur. Un arrêt (l’auteur se
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arder vivre, le personnage à douter du sens de sa
vie
) et les forces centripètes l’emportent peu à peu, une aspiration vers
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nsonge », ce choix faux mais bon, nécessaire à la
vie
, n’est-ce pas être sincère aussi que de s’y prêter ? Or, il vous tire
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remière fois que certains, peut-être, jouent leur
vie
. Rien ne paraît plus sinistre à la sincérité presque pure de cet âge.
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bien quelques voiles à mon dégoût d’un moi que la
vie
me montrait si désespérément vrai, tyrannique, insuffisant. Mais un p
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ors qu’une symphonie de joies émanait de toute la
vie
: chaque chose proposait une ferveur nouvelle, et chaque être un plus
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que cette agilité offensive qu’on appelle dans la
vie
publique arrivisme, et séduction dans les salons. Constater une faib
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s semble-t-il, notre revue a sa raison d’être. La
vie
d’aujourd’hui, on le sait, nous oblige à nous affirmer ou à refuser d
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é, un ! » Mais l’étoile chantait dans l’axe de sa
vie
normale et s’approchait en faisant la roue — celle à qui sourit la Fo
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que c’est que la souffrance, ce que c’est que ma
vie
, ma mort. Mon Dieu, il n’y a plus qu’un glissement gris, sans fin… Il
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ncé, qu’on appelle, sans doute par antiphrase, la
vie
. 6. Revue ou prologue. h. « L’autre œil », Revue de Belles-Lettre
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? » Nous naissons à quelque chose qui imite la
vie
dans une époque d’inconcevables compromissions où triomphe sous tous
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itique, un peu bousculé.) Moi. — Vous disiez, ma
vie
? La Muse (mais oui, la Muse, sortant de derrière un rideau). — J’at
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es « maudits » ont la grâce, parce qu’ils sont la
vie
, même quand ils appellent la mort, parce qu’ils ont la passion et l’i
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11. Les livres les plus répandus à Genève sont Ma
vie
et mon œuvre de Ford et Mon curé chez les riches. Très loin derrière
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nsieur…, la jeunesse est l’âge où l’on atteint la
vie
. On s’y maintient cinq ans, dix ans au plus. Après, c’est un long adi
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nts me savaient vierge et c’était la joie de leur
vie
, car ils aimaient en moi par-dessus tout la vertu que je leur devais.
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fais grâce, poursuivit-il, de la chronique de ma
vie
de rat d’hôtel et de sleepings ; encore que… Bref, depuis quelques mo
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enjolivures où je vois le véritable intérêt de ma
vie
. C’est vous dire que seule une certaine caresse de l’événement naissa
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us générale et la moins compromettante, sur cette
vie
dont le récit n’avait pas laissé que de l’agacer en maint endroit. «
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itique, — c’est l’extraordinaire netteté de votre
vie
. Elle est sans bavures, sans réticences ; elle m’apparaît comme un di
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donnez la lourdeur de l’expression — une règle de
vie
. Mais, je vous l’avouerai, ce qui me retient de tirer de votre condui
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persuadé que moi de l’absurdité radicale de notre
vie
, la moindre farce, le moindre geste convenu dans le genre « révolté »
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usé : — Vous l’abandonnez ? Pour quoi ? — Pour la
vie
! Or je pense, à part moi : j’ai lu ça quelque part. Voyez ma franchi
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raient-ce les guillemets qui vous choquent ? La
vie
! — proclamiez-vous… Soit. Mais maintenant je vais me fâcher chaque f
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a jaillit, s’entrechoque, s’annule. Poussière. Ma
vie
est ailleurs. L’addition, s’il vous plaît. Il est temps de sortir de
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e sortir de ce café et de ces jeux, simulacres de
vie
, qui sont à la vraie vie ce que le flirt est à l’amour. II Sur l’i
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ces jeux, simulacres de vie, qui sont à la vraie
vie
ce que le flirt est à l’amour. II Sur l’insuffisance de la littéra
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e » dont je parviens à tirer quelque bien pour ma
vie
. Le jour où les soins qu’elle exige me coûteront des sacrifices plus
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us me demanderez « alors » ce que j’attends de ma
vie
. Je serais tenté de vous répondre, comme ce sympathique Philippe Soup
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ction. 16. J’en vois certains qui arrangent leur
vie
de telle sorte que leurs mémoires seront des romans « bien modernes »
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un matin d’été la grâce tendrement dénouée de ta
vie
comme de cette nuit le jour d’un grand été qui consent… Ailleur
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sonnes qui ont dit, ne fût-ce qu’une fois en leur
vie
: « J’ai horreur de la sentimentalité ».) Nous voici donc en taxi, «
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la notion n’en soit toute relative aux modes de «
vie
» bourgeois ; et puis la, comédie n’est pas mon fort, même la triste.
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a mansarde, et qui n’a pas peur… ⁂ Le reste de la
vie
, c’est toujours entre deux voyages d’Allemagne. Cela se passe actuell
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que réelle, existentielle, la problématique de la
vie
de l’homme en 1933, assumée dans ses aspects les plus scandaleux, les
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ne œuvre en cours, des circonstances d’une humble
vie
. Il faut décrire ces éléments de sa « personne » en termes d’apparenc
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que c’est la leçon que nous devons prendre de sa
vie
: la leçon toute goethéenne du clerc qui sert sans rien trahir de la
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iment originel » a pour fonction de « rappeler la
vie
perdue à une vie magnifiée »26, on peut bien dire qu’elle naît d’une
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a pour fonction de « rappeler la vie perdue à une
vie
magnifiée »26, on peut bien dire qu’elle naît d’une nostalgie d’elle-