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ion païenne. a. « Le temps des fanatiques », La
Vie
protestante, Genève, 25 novembre 1938, p. 1. Le texte est précédé de
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e compter, parmi les amis et collaborateurs de la
Vie
protestante, M. Denis de Rougemont, le jeune auteur romand dont la ré
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veille d’une guerre civile. Quant au reste de la
vie
de Nicolas, on l’ignore très généralement. Il n’en va pas de même che
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a ferme, au Ranft. Il y mènera jusqu’à sa mort la
vie
d’un pieux laïque et non d’un moine, parfois même suspecté par l’Égli
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grande sagesse pratique et participe si bien à la
vie
de son peuple que le simple message qu’il transmettra aux députés, lo
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te fondateur de l’Église de Saint-Gall, décrit la
vie
de Nicolas dans un ouvrage sur la Vie monacale. Il insiste sur le fai
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, décrit la vie de Nicolas dans un ouvrage sur la
Vie
monacale. Il insiste sur le fait que l’ermite n’a nullement rompu ses
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Car, enfin, l’élément le plus spectaculaire de la
vie
de Nicolas réside dans son intervention politique. Or c’est préciséme
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« Nicolas de Flue et la tradition réformée », La
Vie
protestante, Genève, 1er septembre 1939, p. 8.
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itement intactes. c. « De Luther à Hitler », La
Vie
protestante, Genève, 15 mars 1940, p. 1.
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’ils résistent. d. « “Dieu premier servi” », La
Vie
protestante, Genève, 26 avril 1940, p. 1.
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uvent une grosse sottise. e. « Neutralité », La
Vie
protestante, Genève, 3 mai 1940, p. 1.
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. « Perspectives d’avenir du protestantisme », La
Vie
protestante, Genève, 2 janvier 1942, p. 4.
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s tours du diable I : “Je ne suis personne” », La
Vie
protestante, Genève, 15 octobre 1943, p. 1. Le texte est précédé de l
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senter l’écrivain neuchâtelois aux lecteurs de la
Vie
protestante. La qualité de sa pensée et l’autorité de son jugement so
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h. « Les tours du diable II : Le menteur », La
Vie
protestante, Genève, 22 octobre 1943, p. 2.
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« Les tours du diable III : diable et sexe », La
Vie
protestante, Genève, 29 octobre 1943, p. 2.
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j. « Les tours du diable IV : L’accusateur », La
Vie
protestante, Genève, 5 novembre 1943, p. 2.
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e pécheurs dans l’histoire, ou de péchés dans une
vie
, que le mal finira par exister en soi, apparence encore, mais active,
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k. « Les tours du diable V : Le tentateur », La
Vie
protestante, Genève, 12 novembre 1943, p. 2.
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lle manières. Tout concourt, dans le cadre de nos
vies
, à nous priver du sentiment d’être une personne responsable. Nous viv
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articipons tous, de plus en plus, à des formes de
vie
étrangères à notre sort particulier et à nos aptitudes normales. Au c
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urs chefs. Tout cela contribue à l’arracher de sa
vie
propre, où il ne se passerait jamais rien de semblable. Quant aux inc
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le. Quant aux inconvénients et à l’ennui de cette
vie
propre, autrefois jugés normaux, ils apparaissent de plus en plus ina
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une part l’individu moderne est incité à juger sa
vie
mesquine, et à la fuir ; d’autre part il est aspiré par les grandes é
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: Le mal du siècle : la dépersonnalisation », La
Vie
protestante, Genève, 19 novembre 1943, p. 2.
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ses nouvelles. Voilà le diable à l’œuvre dans nos
vies
! Il est l’essence même de la Cinquième Colonne au siècle des siècles
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tours du diable VII : La cinquième colonne », La
Vie
protestante, Genève, 26 novembre 1943, p. 2.
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u très vite que ce mal avait des racines dans nos
vies
aussi, et que d’une certaine manière, nous l’aimions ! Voilà le grand
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que des armées. Elle oppose des conceptions de la
vie
. C’est une espèce de guerre civile mondiale. Elle sera perdue si nous
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tours du diable VIII : Le diable démocrate », La
Vie
protestante, Genève, 3 décembre 1943, p. 2.
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du diable IX : “Nous sommes tous coupables” », La
Vie
protestante, Genève, 10 décembre 1943, p. 2.
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oïsme « bien compris ». La fonction normale de la
vie
mondaine serait de maintenir et d’illustrer un certain nombre de devi
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ours du diable X : Le diable homme du monde », La
Vie
protestante, Genève, 17 décembre 1943, p. 2.
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urs du diable XI : Le diable dans nos dieux », La
Vie
protestante, Genève, 24 décembre 1943, p. 2.
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pourrait multiplier par trois les standards de la
vie
matérielle. Terre promise Paix, liberté, prospérité, tels ont é
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radiodiffusé.) r. « Printemps de l’Europe », La
Vie
protestante, Genève, n° 17, 29 avril 1949, p. 1.
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vons adresser nos vœux. t. « Bilan simple », La
Vie
protestante, Genève, 29 décembre 1961, p. 1.
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re “Ecclesia reformata semper reformanda” ? », La
Vie
protestante, Genève, n° 40, 29 octobre 1965, p. 1. Le texte est intro
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e ? u. « La lune, ce n’est pas le paradis », La
Vie
protestante, Genève, n° 28, 1er août 1969, p. 1-2. Propos recueillis
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érance. C’est une volonté, un désir éperdu que la
vie
continue. Je ne sais pas si c’est une espérance chrétienne, c’est que
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17). Il est question là d’un développement de la
vie
de l’humanité vers la plénitude, qui est une divinisation de l’homme
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s gens. Si on vient leur parler de menaces sur la
vie
physique de l’humanité, ça les embête, ça leur fait peur — comme à to
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rit un article sur les mémoires de Henry Ford, Ma
Vie
, publiés en français. L’article était intitulé « Le péril Ford » et s
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mptait que quelques milliers de lecteurs ( Foi et
Vie
), cela n’a eu aucun effet, sauf sur moi. Le fait est que dès ce mome
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» peuvent se révéler dans certains secteurs de la
vie
du pays : le nucléaire ? Le nucléaire ! Il y a pour la Suisse, dès 18
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ts de fonds, et l’intervention croissante dans la
vie
de tous les jours de la police. Finalement, toute cette évolution poi
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v. « Bof ! disent les jeunes, pourquoi ? », La
Vie
protestante, Genève, n° 44, 1er décembre 1978, p. 1-2.