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ques des « milieux » dirigeants, pour toute cette
vie
politique sans rapports organiques avec la vie réelle du pays. Elle a
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te vie politique sans rapports organiques avec la
vie
réelle du pays. Elle affirme la plus totale incompétence en ces matiè
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raient vraiment ordonnés au vrai but assigné à la
vie
de l’homme. Le souci des moyens et de leur convenance à l’idéal qu’on
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notre domination et poursuivant, en dehors de nos
vies
personnelles, leur évolution fatale, leur destinée. Autant dire que n
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ins d’entre nous sont prêts à leur sacrifier leur
vie
même. Les noms de ces divinités, vous les connaissez bien : ce sont l
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nt pas fui les risques et qu’ils ont exposé leurs
vies
. Enfin, qu’ils sont animés par une foi constructive que bien des jeun
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erme, la seule chose qui intéresse chacune de nos
vies
—, c’est qu’il y ait parfois, par exemple, un ivrogne qui s’arrête de
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s croire qu’ils aient le droit de disposer de nos
vies
, je suis bien obligé de reconnaître qu’en fait, ils nous dominent. Ne
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sans exagérer, que les journaux disposent de nos
vies
. Sans eux, la préparation des esprits qui prélude à toute guerre mode
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plus d’attention pour les vrais problèmes de nos
vies
. Mais si les journaux disposent de nos vies, l’argent dispose des jou
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e nos vies. Mais si les journaux disposent de nos
vies
, l’argent dispose des journaux. Et voilà le dernier anneau de la chaî
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es miliciens en chemise brune. On nous dit que la
vie
, en Amérique, est impossible, parce que tous les appartements sont pa
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l’homme isolé qui cultivait jalousement sa petite
vie
intérieure, à l’abri de la Déclaration des droits de l’homme, ne méri
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rminisme historique. Il faut croire qu’ils ont la
vie
dure, et que le mieux à faire pour nous, c’est encore de compter avec
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s qui croient très fermement à la mission de leur
vie
: ils l’appellent leur dignité. Ils savent que c’est là ce qu’ils ont
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es s’insèrent naturellement dans le concret de la
vie
, et revêtent par là même une espèce de… régularité. L’Esprit souffle
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l’homme, et nous disons : tant que le minimum de
vie
n’est pas assuré, c’est un leurre que de parler de spiritualité. Comm
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éalité de l’économie, la réalité supérieure de la
vie
« spirituelle ». Par là même, il paraît plus capable que le marxisme
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homme, elles créent des habitudes de pensée et de
vie
entièrement soumise aux lois du nombre et de la matière, pour ne rien
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à cette douteuse distinction entre l’action et la
vie
spirituelle, distinction qui est pour nous l’origine même du désordre
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te question l’article de Louis Febvre, in Foi et
Vie
, n° 58-59 : Capitalisme et Réforme. 21. La publication en France de
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st la démarche paradoxale, « dialectique », de la
vie
chrétienne : elle rejette tout espoir qui ne serait pas le seul espoi
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t pas ce que c’est que la foi. Si l’on entend par
vie
non seulement la vie naturelle, mais l’ensemble des relations humaine
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e la foi. Si l’on entend par vie non seulement la
vie
naturelle, mais l’ensemble des relations humaines, la foi est ce qui
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des relations humaines, la foi est ce qui rend la
vie
impossible (par ses exigences absolues), tandis qu’au contraire la po
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e dépendait de la leur ? Ils ne respectent que la
vie
, ils savent trop bien jouer le jeu commun. Le croyant rit un peu de
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lent être battus et en gémir. Ils n’ont un peu de
vie
que dans le désespoir de la révolte, et c’est ce qu’ils cherchent. Co
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er sérieusement du sort de la cité où s’écoule sa
vie
. Mais c’est là un sérieux subordonné, et le chrétien peut sans cesse
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nsuite parle de la même façon, mais pense à cette
vie
terrestre Kierkegaard (Journal). La volonté de rupture est l’origine
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chacun de nous, une question qui se pose dans la
vie
, que vous vous posiez avant de venir ici, et à laquelle, réellement,
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sujet, cherchons à dégager leur réalité dans nos
vies
. 1. Il nous faut tout de suite dissiper un malentendu : par le terme
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précis, qui désigne une conception générale de la
vie
— politique, économique, éthique — fondée sur la croyance au salut de
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bien de savoir quel sens l’homme veut donner à sa
vie
, comment il doit vivre pour mieux vivre. Mais alors, en quoi les deux
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rétiens, volonté de se soumettre à ce qui juge la
vie
. Chez les humanistes, volonté de vivre par eux-mêmes, de vivre à tout
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vivre à tout prix, le plus possible, comme si la
vie
était le bien absolu. C’est ici que nous entrons dans l’ordre de l’ét
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lui permettra d’assurer ce bien absolu qu’est sa
vie
. Le chrétien cherche à obéir aux ordres de sa foi, fût-ce même au mép
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aux ordres de sa foi, fût-ce même au mépris de sa
vie
: tel est le fondement de l’attitude de service et de sacrifice qui,
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s. Un chrétien qui contracte une assurance sur la
vie
n’est pas plus un chrétien à cet instant et dans cet acte ; il agit e
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dire d’un homme pour qui la valeur absolue est la
vie
, non l’obéissance. Et de même un chrétien qui dit, parlant des autres
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ption philosophique, est une attitude devant la «
vie
pratique » — comme on dit, mais y en a-t-il une autre ? —, une attitu
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ement les modes de vie mais encore les buts de la
vie
humaine, il faut croire à cette doctrine. Y croire, c’est-à-dire s’y
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aine. Et c’est à cette conception totale, à cette
vie
, que je ne puis participer même en imagination, d’une manière efficac
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matériel qui se retrouve à tous les moments de la
vie
chrétienne, le marxiste oppose son idéal d’assurance matérielle. Il d
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voit dans certains cimetières : Le travail fut sa
vie
, est purement païenne. Or, c’est l’épitaphe idéale pour le brigadier
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e fait qu’aggraver l’opposition. En consacrant sa
vie
au service du plan quinquennal, le brigadier de choc travaille pour d
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religions, celle qui concerne le sens total de la
vie
terrestre. Je dis bien le sens, la direction. Le sens de la vie chrét
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Je dis bien le sens, la direction. Le sens de la
vie
chrétienne est vertical, le sens de la vie marxiste est horizontal. L
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de la vie chrétienne est vertical, le sens de la
vie
marxiste est horizontal. Le sens de la vie du chrétien c’est de sorti
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de la vie marxiste est horizontal. Le sens de la
vie
du chrétien c’est de sortir de la vie. C’est la mort à soi-même. Le s
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sens de la vie du chrétien c’est de sortir de la
vie
. C’est la mort à soi-même. Le sens de la vie marxiste, c’est de s’acc
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e la vie. C’est la mort à soi-même. Le sens de la
vie
marxiste, c’est de s’accrocher à sa vie indéfiniment. Mais les chréti
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ens de la vie marxiste, c’est de s’accrocher à sa
vie
indéfiniment. Mais les chrétiens le savent-ils encore ? Savent-ils en
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Que toutes les promesses du Christ concernent la
vie
de celui qui d’abord est mort ? Que non seulement le Royaume ne sera
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e ce monde ? Cette dialectique inconcevable de la
vie
et de la mort, ce commandement que nous avons reçu d’être dans ce mon
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me. Toutes les promesses du Christ concernent une
vie
qui est au-delà de la mort. Toutes ces promesses sont eschatologiques
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le « point de vue mystique » pouvait servir à la
vie
dans le monde, même sans la foi. Nous avons cru que le christianisme
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avons cru que le christianisme était une règle de
vie
, valable en soi et propre à maintenir l’ordre, la prospérité et les r
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ettre. Car c’est le marxisme qui est une règle de
vie
dans le monde, au sens où le christianisme est une règle de mort au m
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d’un régime ne saurait être mesurée au nombre de
vies
d’hommes que ce régime a supprimées pour s’établir. Cherchons plutôt
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n’a pas une conception totale et cohérente de la
vie
humaine. Ou plutôt, il n’est cohérent que dans un domaine restreint.
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appelé « dieu » le principe de cohérence de leur
vie
sociale et privée. Le fascisme aboutit donc nécessairement à la divin
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u étendre par la force, à tous les domaines de la
vie
, un principe de cohérence étroit, pauvre et stérilisant. Toutes les m
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maniaque d’établir l’uniformité aux dépens de la
vie
multiple du pays. Cet exemple est pour nous d’un rude enseignement. T
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nflits d’intérêts. Mais pour nous, entrés dans la
vie
sous le coup d’une menace de faillite planétaire, il ne peut s’agir d
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un acte enfin dans lequel je posséderais toute ma
vie
, d’un seul coup, en la donnant. Je n’ai pas à sauver quoi que ce soit
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uccès du communisme serait-il « de nous rendre la
vie
de caserne acceptable » ? (R. de Pury, dans Hic et Nunc, n° 1). 60.
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nt l’aboutissement fatal serait la ruine de toute
vie
organique et de toute solidarité réelle, comme il était, en régime ca
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faisait pas le besoin qu’on avait créé63. Dans la
vie
de tous les jours, la revendication de l’égalité ne pouvait se tradui
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s réels, et s’hypnotisa sur l’idée du standing de
vie
, défini par comparaison avec « les autres », déterminé par une série
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sont identiques à ceux qui seront à la base de la
vie
sociale quotidienne. Nous n’établissons pas de distinction théorique
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théorique et inopérante entre la vie privée et la
vie
publique. Nous n’avons pas deux morales. Et tout ce que nous disons s
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r morale, crée un abîme entre la vie privée et la
vie
publique.
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hées du marxisme apprenons-nous qu’il conforme sa
vie
à ses récentes opinions ? Allons, ils ne sont pas sérieux. Un chrétie
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ité subsiste. Bien plus, on la voudrait dès cette
vie
. Aussi bien n’en espère-t-on pas d’autre. L’Évangile ne parle jamais
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utre part elles entravent le cours habituel de la
vie
. Elles créent une aigreur permanente, surtout sensible dans la petite
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nalisme est aussi fatal que la continuation de la
vie
. Pas davantage. Qu’est-ce que la continuation de la vie ? C’est la re
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as davantage. Qu’est-ce que la continuation de la
vie
? C’est la renaissance permanente d’une élite, aux dépens de laquelle
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qui lui refusent leur reconnaissance. (Mais si la
vie
s’arrête ? Si les hommes renoncent ? Si le confort moyen imposé par l
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dix ans, comme une première vision d’un style de
vie
personnaliste. Cette jeunesse est pauvre par goût de la force et du r
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elle est en train de se créer un nouveau style de
vie
. Prendre ses responsabilités, c’est renoncer à justifier ses actes pa
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ant la mort, à la mesure de sa violence devant la
vie
. Sobre et prodigue. Grattez un peu le conformisme politique, en Allem
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verez ce visage, cette allure, ce sentiment de la
vie
immédiate que vous voyez grandir dans les nouvelles générations de Fr
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n, dans le travail qu’il fournit pour « gagner sa
vie
», pour assurer sa subsistance matérielle. La dignité du singe alors
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apparaît très supérieure. Les singes gagnent leur
vie
et ne font pas d’histoires. Ils ne font pas tant de publicité et de p
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voulu mettre l’esprit au service du « minimum de
vie
» que n’importe quel animal s’assure à moins de frais. Sinistre farce
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la dignité de l’homme consiste à mettre en jeu sa
vie
, à la risquer jusqu’à la perdre si la mesure de notre acte nous dépas
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stes partent de la nécessité du gain, — gagner sa
vie
. Nous partons de la liberté du risque, — c’est peut-être perdre sa vi
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la liberté du risque, — c’est peut-être perdre sa
vie
. Cette opposition est tellement radicale, tellement fondamentale, qu’
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’on limite à la nécessité d’assurer le minimum de
vie
se trouve condamné par là même à ne jamais suffire à cette nécessité.
90
le travail-nécessité frappe toutes les règles de
vie
que l’homme essaie de se donner pour justifier à ses propres yeux, vo