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socialisme tous les traits caractéristiques de la
vie
allemande d’aujourd’hui. C’est l’erreur habituelle des reporters qui
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ortions d’une confiscation de capital ; et que la
vie
de famille soit détruite, l’autorité des parents sapée, la religion d
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te pas en Europe de classe plus indifférente à la
vie
politique, plus passive vis-à-vis de l’État, plus lâche devant le fai
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é. Voilà la grande révolution, dans un pays où la
vie
intérieure d’une part, et la séparation des classes de l’autre, étaie
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ectique. Un petit industriel. — Avant 1933, sa
vie
était impossible : grèves, menaces de mort de la part des extrémistes
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le et « profonde », mais à tel point coupée de la
vie
« grossière » des masses qu’elle n’a pas résisté un seul jour au réve
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eurs mauvais gymnaste et vivant à l’écart de « la
vie
» — dont on peut recevoir une certaine somme de « connaissances ». Je
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dans ses derniers retraits, au plus intime de la
vie
intérieure. On ne se contente plus d’une soumission même exemplaire :
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un avocat. Madame se plaint : « Il n’y a plus de
vie
de famille possible, avec ce système. Tous les soirs, deux de mes enf
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ressuscite à tous les foyers, et c’est encore la
vie
de ces foyers qui se répand par les rues marchandes, aux devantures i
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’est que nous avons une conception héroïque de la
vie
. Tout dépend de cela. Moi. — Nous y voilà. Je ne vais pas combattre
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éjugés politiques antédiluviens qui encombrent la
vie
publique et qui empoisonnent la pensée. J’ai à lutter, aussi, contre
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n’est pas humaine, elle n’a aucune valeur pour la
vie
normale de l’homme. Et ils le disent bien ! C’est une mutilation. C’e
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the le premier qui nous apprit à considérer notre
vie
dans une durée biographique et historique où l’instant se relativise.