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eurs fables illustrent les drames réguliers de la
vie
affective et spirituelle, c’est-à-dire proprement humaine, tandis que
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. Et vos théories sont faites pour vous rendre la
vie
impossible ! Le mari. C’est peut-être la preuve qu’elles sont vraies
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les rendent possible la grandeur, alors que notre
vie
n’est qu’une confusion. Oui, je vous le demande maintenant, quelle es
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la mort. La mort absolue, celle qui n’est pas une
vie
nouvelle. La mort dans la transparence glaciale de l’évidence, qui es
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bottes de sept lieues ! Désormais il échappe à la
vie
, au voisinage et au dialogue. Son existence réelle se confond avec to
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propension à localiser les symboles. Car, pour la
vie
spirituelle, il n’est pas de lieux séparés ; l’on peut toujours passe
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use de la métamorphose, qui est l’acte même de la
vie
. Et pourquoi dire, dès lors : ceci est cause de cela ? Quand l’invers
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elui-là peut être considéré comme anormal dans sa
vie
sexuelle.3 » Nous venons de voir que Schlemihl est le type même de l’
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ramène tout ce qui est vraiment grave dans notre
vie
; et la fameuse question sexuelle ne tire son importance démesurée qu
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eu en avant de lui-même, là où il peut dominer sa
vie
et la construire avec tout son instinct à l’image d’une vision de l’e
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e, ou de la Fable, plus profondément vrais que la
vie
(plus riches d’enseignements concrets, et d’invites à la métamorphose
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n bottes de sept lieues qui traverse encore notre
vie
, n’est-ce pas l’ombre de Chamisso ? Une ombre qui a perdu son homme,
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int le connaître, mais limiter sa part dans notre
vie
, et nul amour ne peut survivre à cette méfiance ou à cette avarice an
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t la conscience, et le sérieux, et la réalité des
vies
au jour. Nous sommes deux. Il n’y a que deux philosophies : celle du
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ceux qui peuvent supporter un mensonge dans leur
vie
intime. J’ai tout avoué sans me chercher d’excuse. Et comme elle se t
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t insatiable l’excite, devient une menace pour la
vie
. En dérivant cette passion vers le plaisir, la société se trouve lui
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st réfuté ». Que va dire l’Autre ? C’est, dans la
vie
du Don Juan des vérités, l’heure de l’invitation au Commandeur ! Or D
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faut qu’une passion se révèle ; ou la mort, ou la
vie
éternelle. Il faut donc que Don Juan disparaisse (car Don Juan ne gag
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i donc contraints de gagner dans le temps de leur
vie
— d’où la tricherie ; ou bien il leur faut nier la fin des temps, le
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t. Aussi ne pense-t-elle pas qu’elle a « perdu sa
vie
». Liszt, à la fin d’un concert triomphal, s’incline et prononce à mi
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tensité et de concentration. C’est le temps de sa
vie
! Ce nœud l’attestera. L’innocence du prédestiné et la malice du pays
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uez-le ! Car il y va de tout, du sens même de nos
vies
! Car vous mourez, nous mourons tous d’ennui, dans un monde où rien n
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se noue. Car vous mourez, nous mourons tous à la
vie
spirituelle, la vie précieuse. Elle n’existe que prise au complexe d’
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ourez, nous mourons tous à la vie spirituelle, la
vie
précieuse. Elle n’existe que prise au complexe d’une âme, dans les dé
25
nstant d’abandon ne signifie plus la mort mais la
vie
et l’héritage de la vie éternelle. J’emprunte à Jean-Paul7 une histoi
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ifie plus la mort mais la vie et l’héritage de la
vie
éternelle. J’emprunte à Jean-Paul7 une histoire étrangement paraboliq
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sintéressé. Toute autre tentative pour mériter la
Vie
et le Royaume, gratuitement offerts, déclenche irrésistiblement le mé
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la branche chargée de fruits. Si un homme veut la
Vie
éternelle par seule crainte de mourir à cette vie temporelle, les eau
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Vie éternelle par seule crainte de mourir à cette
vie
temporelle, les eaux vives fuiront ses lèvres ; car il faudrait, pour
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our. Vivre est impur, qu’on sache ou non où va la
vie
, et c’est pourquoi les bonnes raisons n’expliquent pas notre réalité,
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’être pensée ; toutefois l’effort entier de notre
vie
la neutralise. D’où vient alors cette prise de conscience, d’une mena
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ceux qu’une réalité nouvelle illuminait. Sans la
vie
, que dire de la mort ? Et sans la Fin, que dire de la durée ? Mais to
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st plus de conquérir, mais seulement d’assurer la
vie
du plus grand nombre contre les créations catastrophiques des Héros o
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effort est contre nature. Il naît au déclin de la
vie
, et fatalement se retourne contre elle. Nous voulons échapper au temp
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ouvoir éliminer cette dimension tragique de notre
vie
, voici qu’un destin ironique se charge de l’approfondir. Non pas le t
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mourir, et il est vrai qu’elle ne possède pas de
vie
réelle, et ne peut donc penser sa fin, ni rien. Elle ne peut être en
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qui, croit-elle, la détourne de la mort. C’est la
vie
telle que vous la cultivez, qui conduit à la mort et la mérite. Nous
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l’extrémité de son choix, cria le « terme » de sa
vie
, la proféra tout entière dans ce cri, réponse unique à l’éternelle so
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des plus simples. — Témoignez, disait-on, de la
vie
que vous possédez. Quel est votre plus vrai désir ? Les sages réponda
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vienne, que celui qui veut prenne de l’eau de la
vie
, gratuitement. » Car maintenant tout est payé. Tout est gratuit. Et
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r l’amertume non par l’eau. C’est la saveur d’une
vie
nouvelle. 6. — « Vous êtes le sel de la Terre », leur fut-il dit. Mai
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sible, et où le sel a sa saveur de mort, c’est la
vie
même de l’Esprit, mort de la vie, et vie de la danse profonde. Puis i
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e mort, c’est la vie même de l’Esprit, mort de la
vie
, et vie de la danse profonde. Puis il faut vivre sur la Terre au sel
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c’est la vie même de l’Esprit, mort de la vie, et
vie
de la danse profonde. Puis il faut vivre sur la Terre au sel aigu. 8.
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journées de paresse ou de promenade à l’aventure.
Vie
à l’horaire, chronométrée, sans rien d’impur. Et pourtant il se sent
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tte hypothèse, après deux ans de travail acharné…
Vie
des parents normale, je dirai même exemplaire9… Vie sexuelle du patie
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e des parents normale, je dirai même exemplaire9…
Vie
sexuelle du patient normale, sauf quelques périodes d’abstinence prol