1 1947, Doctrine fabuleuse. Orientation
1 eurs fables illustrent les drames réguliers de la vie affective et spirituelle, c’est-à-dire proprement humaine, tandis que
2 1947, Doctrine fabuleuse. Deuxième dialogue sur la carte postale. La beauté physique
2 . Et vos théories sont faites pour vous rendre la vie impossible ! Le mari. C’est peut-être la preuve qu’elles sont vraies
3 les rendent possible la grandeur, alors que notre vie n’est qu’une confusion. Oui, je vous le demande maintenant, quelle es
3 1947, Doctrine fabuleuse. Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même
4 la mort. La mort absolue, celle qui n’est pas une vie nouvelle. La mort dans la transparence glaciale de l’évidence, qui es
4 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
5 bottes de sept lieues ! Désormais il échappe à la vie , au voisinage et au dialogue. Son existence réelle se confond avec to
6 propension à localiser les symboles. Car, pour la vie spirituelle, il n’est pas de lieux séparés ; l’on peut toujours passe
7 use de la métamorphose, qui est l’acte même de la vie . Et pourquoi dire, dès lors : ceci est cause de cela ? Quand l’invers
8 elui-là peut être considéré comme anormal dans sa vie sexuelle.3 » Nous venons de voir que Schlemihl est le type même de l’
9 ramène tout ce qui est vraiment grave dans notre vie  ; et la fameuse question sexuelle ne tire son importance démesurée qu
10 eu en avant de lui-même, là où il peut dominer sa vie et la construire avec tout son instinct à l’image d’une vision de l’e
11 e, ou de la Fable, plus profondément vrais que la vie (plus riches d’enseignements concrets, et d’invites à la métamorphose
12 n bottes de sept lieues qui traverse encore notre vie , n’est-ce pas l’ombre de Chamisso ? Une ombre qui a perdu son homme,
5 1947, Doctrine fabuleuse. Angérone
13 int le connaître, mais limiter sa part dans notre vie , et nul amour ne peut survivre à cette méfiance ou à cette avarice an
14 t la conscience, et le sérieux, et la réalité des vies au jour. Nous sommes deux. Il n’y a que deux philosophies : celle du
6 1947, Doctrine fabuleuse. Contribution à l’étude du coup de foudre
15 ceux qui peuvent supporter un mensonge dans leur vie intime. J’ai tout avoué sans me chercher d’excuse. Et comme elle se t
7 1947, Doctrine fabuleuse. Don Juan
16 t insatiable l’excite, devient une menace pour la vie . En dérivant cette passion vers le plaisir, la société se trouve lui
17 st réfuté ». Que va dire l’Autre ? C’est, dans la vie du Don Juan des vérités, l’heure de l’invitation au Commandeur ! Or D
18 faut qu’une passion se révèle ; ou la mort, ou la vie éternelle. Il faut donc que Don Juan disparaisse (car Don Juan ne gag
19 i donc contraints de gagner dans le temps de leur vie — d’où la tricherie ; ou bien il leur faut nier la fin des temps, le
8 1947, Doctrine fabuleuse. La gloire
20 t. Aussi ne pense-t-elle pas qu’elle a « perdu sa vie  ». Liszt, à la fin d’un concert triomphal, s’incline et prononce à mi
9 1947, Doctrine fabuleuse. Le nœud gordien renoué
21 tensité et de concentration. C’est le temps de sa vie  ! Ce nœud l’attestera. L’innocence du prédestiné et la malice du pays
22 uez-le ! Car il y va de tout, du sens même de nos vies  ! Car vous mourez, nous mourons tous d’ennui, dans un monde où rien n
23 se noue. Car vous mourez, nous mourons tous à la vie spirituelle, la vie précieuse. Elle n’existe que prise au complexe d’
24 ourez, nous mourons tous à la vie spirituelle, la vie précieuse. Elle n’existe que prise au complexe d’une âme, dans les dé
10 1947, Doctrine fabuleuse. Le supplice de Tantale
25 nstant d’abandon ne signifie plus la mort mais la vie et l’héritage de la vie éternelle. J’emprunte à Jean-Paul7 une histoi
26 ifie plus la mort mais la vie et l’héritage de la vie éternelle. J’emprunte à Jean-Paul7 une histoire étrangement paraboliq
27 sintéressé. Toute autre tentative pour mériter la Vie et le Royaume, gratuitement offerts, déclenche irrésistiblement le mé
28 la branche chargée de fruits. Si un homme veut la Vie éternelle par seule crainte de mourir à cette vie temporelle, les eau
29 Vie éternelle par seule crainte de mourir à cette vie temporelle, les eaux vives fuiront ses lèvres ; car il faudrait, pour
11 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
30 our. Vivre est impur, qu’on sache ou non où va la vie , et c’est pourquoi les bonnes raisons n’expliquent pas notre réalité,
31 ’être pensée ; toutefois l’effort entier de notre vie la neutralise. D’où vient alors cette prise de conscience, d’une mena
32 ceux qu’une réalité nouvelle illuminait. Sans la vie , que dire de la mort ? Et sans la Fin, que dire de la durée ? Mais to
33 st plus de conquérir, mais seulement d’assurer la vie du plus grand nombre contre les créations catastrophiques des Héros o
34 effort est contre nature. Il naît au déclin de la vie , et fatalement se retourne contre elle. Nous voulons échapper au temp
35 ouvoir éliminer cette dimension tragique de notre vie , voici qu’un destin ironique se charge de l’approfondir. Non pas le t
36 mourir, et il est vrai qu’elle ne possède pas de vie réelle, et ne peut donc penser sa fin, ni rien. Elle ne peut être en
37 qui, croit-elle, la détourne de la mort. C’est la vie telle que vous la cultivez, qui conduit à la mort et la mérite. Nous
38 l’extrémité de son choix, cria le « terme » de sa vie , la proféra tout entière dans ce cri, réponse unique à l’éternelle so
39 des plus simples. — Témoignez, disait-on, de la vie que vous possédez. Quel est votre plus vrai désir ? Les sages réponda
40 vienne, que celui qui veut prenne de l’eau de la vie , gratuitement. » Car maintenant tout est payé. Tout est gratuit. Et
12 1947, Doctrine fabuleuse. L’eau ou L’esprit de la tempête
41 r l’amertume non par l’eau. C’est la saveur d’une vie nouvelle. 6. — « Vous êtes le sel de la Terre », leur fut-il dit. Mai
42 sible, et où le sel a sa saveur de mort, c’est la vie même de l’Esprit, mort de la vie, et vie de la danse profonde. Puis i
43 e mort, c’est la vie même de l’Esprit, mort de la vie , et vie de la danse profonde. Puis il faut vivre sur la Terre au sel
44 c’est la vie même de l’Esprit, mort de la vie, et vie de la danse profonde. Puis il faut vivre sur la Terre au sel aigu. 8.
13 1947, Doctrine fabuleuse. Antée ou La terre
45 journées de paresse ou de promenade à l’aventure. Vie à l’horaire, chronométrée, sans rien d’impur. Et pourtant il se sent
46 tte hypothèse, après deux ans de travail acharné… Vie des parents normale, je dirai même exemplaire9… Vie sexuelle du patie
47 e des parents normale, je dirai même exemplaire9… Vie sexuelle du patient normale, sauf quelques périodes d’abstinence prol