1 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. II. Le mythe de l’enlèvement d’Europe
1 le, imagine que la rive phénicienne représente la vie du siècle, tandis que la Crète serait la vie contemplative. Le rapt d
2 e la vie du siècle, tandis que la Crète serait la vie contemplative. Le rapt d’Europe symbolise à ses yeux le passage de l’
3 ranée orientale, il se rencontre avec une intense vie maritime, une vie de piraterie et de commerce, de conflits et d’échan
4 l se rencontre avec une intense vie maritime, une vie de piraterie et de commerce, de conflits et d’échanges, une vie dont
5 ie et de commerce, de conflits et d’échanges, une vie dont il se colore à tel point que l’on a longtemps cru facile de l’ex
2 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VI. Le concept géographique
6 r parfaite entente de toutes les conditions de la vie matérielle. Les Romains, de leur côté, après avoir incorporé à leur e
7 et à ployer les plus barbares aux habitudes de la vie sociale. Mais dans le reste de la partie habitable, là où le sol de l
8 oduits les meilleurs et les plus nécessaires à la vie , et de ses mines les métaux les plus utiles. Restent donc les parfums
9 ésence du Sauveur du monde pendant le cours de sa vie mortelle : l’Europe dira que c’est une grâce singulière, à la vérité,
3 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VII. De la géographie à l’histoire
10 s les chroniques en vers ou en prose, et dans les vies des saints. L’évangéliste irlandais Colomban, vers l’an 600, s’adress
11 s Europae omnes tremuere gentes.) L’auteur de la Vie de Gertrude, parlant de la fille de Pépin de Landen, déclare que tout
12 la gloire de sa race ; tandis que l’auteur de la Vie de Landibert écrit : En ce temps-là, Pépin était le prince de nombre