1
le, imagine que la rive phénicienne représente la
vie
du siècle, tandis que la Crète serait la vie contemplative. Le rapt d
2
e la vie du siècle, tandis que la Crète serait la
vie
contemplative. Le rapt d’Europe symbolise à ses yeux le passage de l’
3
ranée orientale, il se rencontre avec une intense
vie
maritime, une vie de piraterie et de commerce, de conflits et d’échan
4
l se rencontre avec une intense vie maritime, une
vie
de piraterie et de commerce, de conflits et d’échanges, une vie dont
5
ie et de commerce, de conflits et d’échanges, une
vie
dont il se colore à tel point que l’on a longtemps cru facile de l’ex
6
r parfaite entente de toutes les conditions de la
vie
matérielle. Les Romains, de leur côté, après avoir incorporé à leur e
7
et à ployer les plus barbares aux habitudes de la
vie
sociale. Mais dans le reste de la partie habitable, là où le sol de l
8
oduits les meilleurs et les plus nécessaires à la
vie
, et de ses mines les métaux les plus utiles. Restent donc les parfums
9
ésence du Sauveur du monde pendant le cours de sa
vie
mortelle : l’Europe dira que c’est une grâce singulière, à la vérité,
10
s les chroniques en vers ou en prose, et dans les
vies
des saints. L’évangéliste irlandais Colomban, vers l’an 600, s’adress
11
os Europæ omnes tremuere gentes). L’auteur de la
Vie
de Gertrude, parlant de la fille de Pépin de Landen, déclare que tout
12
la gloire de sa race ; tandis que l’auteur de la
Vie
de Landibert écrit : En ce temps-là, Pépin était le prince de nombre
13
ntraire se produit-il, non seulement la fin de la
vie
sociale est perdue, mais la cité elle-même disparaît. Enfin dans un r
14
rentes. La loi est une règle de direction pour la
vie
. Autrement doivent être dirigés les Scythes qui vivent hors le septiè
15
us sommes attaqués et tués.72 Vers la fin de sa
vie
, il avait entrepris la rédaction d’une Cosmographie générale, dont se
16
sser l’infidèle d’Europe. Lorsque, à la fin de sa
vie
, il prie pour le succès des croisés, il dit : Donne-nous la victoire
17
and l’évêque de Rome est fret à exposer sa propre
vie
? Rien n’y fit. À Ancône, où il avait donné rendez-vous aux princes c
18
patrie, c’était l’Europe » (Lange). Par toute sa
vie
et ses travaux, par toutes les fibres de son être, il a bien mérité l
19
uasion, par les bienfaits, et par l’exemple d’une
vie
pure, plutôt que par les armes : cependant, si la guerre est absolume
20
gnes et cités, et privé de leurs biens et de leur
vie
des centaines de milliers d’hommes. Tel fut leur courage tant vanté,
21
ictées, bilans, etc. Les secrétaires racontent sa
vie
au vieux ministre confiné dans son château depuis la mort du roi son
22
d, par la même raison qui incline les hommes à la
vie
sociale, savoir l’amour de la paix et de l’ordre, pour se rencontrer,
23
modérée dans l’éducation de la jeunesse, par une
vie
simple et un labeur convenable. Apprenez-lui la mécanique et la philo
24
aix de l’Europe… En dehors de la perte de tant de
vies
si importantes pour tout gouvernement, aussi bien au point de vue du
25
auxquels l’homme peut aspirer et qui assurent une
vie
heureuse s’y trouvent en abondance, qu’il s’agisse des besoins matéri
26
séché au soleil et pour une cabane de paille. La
vie
sauvage a ses charmes ; ceux qui la prêchent n’ont qu’à donner l’exem
27
gnes qu’il a « occupé et amusé vingt années de sa
vie
» : l’Histoire de la Décadence et de la Chute de l’Empire romain. Son
28
s sociales « par le calcul des probabilités de la
vie
», et le précurseur de la coopération scientifique internationale139.
29
ille natale de Königsberg qu’une seule fois en sa
vie
, mais suivait de près les grands mouvements de l’époque : on sait que
30
e son expérience politique, et, vers la fin de sa
vie
, d’une lassitude désenchantée. Cet homme que le tsar Alexandre avait
31
ette terrible Révolution a fini par contaminer la
vie
politique de l’Europe entière, car elle ne trouvait plus à l’intérieu
32
tions et dans toutes les formes et coutumes de la
vie
courante faisait que nul citoyen de l’Europe ne pouvait se regarder c
33
l’amour de la patrie, sans rapport aucun avec la
vie
civique, commença à animer les citoyens, et même des États entiers. C
34
vie, de nouvelles jouissances et commodités de la
vie
, il n’en subsiste pas moins, en général, une structure de l’État inch
35
du premier empereur des Francs, le passage de la
vie
des anciens Germains à l’état de police, quand les nations contenues
36
e dans tous les États où l’on détruit ainsi toute
vie
partielle, un petit État se forme au centre : dans la capitale s’aggl
37
formité, c’est du mécanisme. La variété, c’est la
vie
: l’uniformité, c’est la mort. L’année même où paraissait la brochur
38
s nous portons tous plutôt mal. Nos conditions de
vie
sont trop artificielles et trop compliquées, notre nourriture et notr
39
p compliquées, notre nourriture et notre genre de
vie
sont trop éloignés de la saine nature et nos relations sociales manqu
40
entièrement détruite, se ranimant, reprenant une
vie
nouvelle, et se manifestant, comme autrefois, sous mille et mille for
41
de cette sublime corporation, d’aller finir leur
vie
dans de pieuses méditations entre les murailles solitaires des monast
42
t un premier amour qui mourut sous le poids de la
vie
temporelle, dont le souvenir fut effacé par des soucis égoïstes et do
43
uivant les mœurs de la nation et les usages de la
vie
; de même qu’ils étaient basés sur des coutumes positives et sur le d
44
emeure chrétiennement parlant unique même dans la
vie
, l’union de la force et de l’esprit peut subsister malgré la division
45
possédait était partout appliqué avec succès à la
vie
et employé avec la raison pratique et le tact propre à cet Occident a
46
osition hostile avec la vraie croyance et avec la
vie
, comme il le fit, d’une manière si arrogante et si dédaigneuse, dans
47
e pluie féconde, pour tomber sur le terrain de la
vie
, continuellement agité dans la guerre et dans la paix, dans les métie
48
’avantage d’être le siège le plus favorable de la
vie
et de la culture de l’Humanité. Cette Europe, libre et riche, n’exist
49
(dérivé du luthéranisme) qui marqua longuement la
vie
de son pays. Poète, théologien, éducateur, et homme politique au surp
50
mme cultivé est victime d’une grave erreur sur la
vie
humaine et sur les conditions de son évolution éclairée, lorsqu’il se
51
e culture doit s’en tenir à ceci : de même que la
vie
s’est développée dès l’origine à partir des deux éléments masculin et
52
uple défend ses particularités, d’autant mieux la
vie
générale peut se déployer dans toutes les directions, et d’autant plu
53
monde devront traverser cette agonie, pour que la
vie
surgisse de la mort et pour qu’à la nationalité païenne succède la fr
54
n’est point là l’agitation de l’Europe, c’est la
vie
. Ce n’est point là incendier le monde, c’est briller de sa place sur
55
désir secret de gagner tout l’univers au style de
vie
et de pensée d’une « nation mère » ? Parlant des « sauvages » de l’em
56
r et de factice, les rauques dialectes reprennent
vie
et redeviennent ces langages indépendants et absolus, créés par les c
57
épendants et absolus, créés par les conditions de
vie
que le genre humain connut à son origine. De Cattaneo à Giuseppe Maz
58
t consacrer leurs bras, leur intelligence et leur
vie
à la sainte cause du progrès des peuples ; Nous étant auparavant cons
59
ul rend nos efforts légitimes, au sentiment de la
Vie
et de sa mission. Elle est dans l’oubli de Dieu, de sa loi d’amour, d
60
ge sans le combat, la justice sans l’échafaud, la
vie
sans le meurtre, la forêt sans le tigre, la charrue sans le glaive, l
61
s-ci une communauté de culture qui détermine leur
vie
spirituelle. Pour cette raison la nationalité politique des Suisses d
62
berté des États, dont dépendent les conditions de
vie
, la sécurité et le développement des peuples. Pour trancher toutes ce
63
n développement de nos races et de notre genre de
vie
: en fait, New York et Lima nous importent davantage que Kiev et Smol
64
Karl Friedrich Marx (1818-1883) partagea toute sa
vie
, avec son premier maître, Hegel, la conviction absolue que l’Europe d
65
individu y jouit de son usufruit, amasse dans la
vie
, sans fatigue, sans travail, ces notions éparses dans la société et e
66
n servir tant bien que mal à nous diriger dans la
vie
? Et remarquez qu’il ne s’agit ici ni d’étude ni de lecture, de rien
67
a chinoise. La civiliser, l’élever, lui donner la
vie
et le pouvoir d’évoluer, ne serait possible que par la médiation d’un
68
une civilisation vraiment russe, expression de la
vie
spirituelle d’une nation instruite, d’une civilisation stable, profon
69
igentzia russe que toute l’histoire récente de la
vie
soviétique illustre et confirme. Les Russes ont témoigné d’une dispo
70
il indiquera aux autres peuples la voie vers une
vie
raisonnable, libre et heureuse, étrangère à l’industrie, aux fabrique
71
ne ressemblant en rien à l’Europe, et doué de sa
vie
propre. L’Europe a peut-être grand tort de se moquer des Russes en le
72
té, mais pour lui des hommes ont donné toute leur
vie
et toutes leurs forces, pour lui sont morts et ont été tués les proph
73
Le passé n’est rien d’autre que l’histoire de la
vie
et des souffrances de l’humanité considérée dans son ensemble. Et cep
74
tant que foyer, à la fois vieux et nouveau, d’une
vie
aux mille aspects, lieu de naissance des plus riches créations, patri
75
itié d’une année, pour les autres la moitié d’une
vie
humaine, selon la rapidité de leurs facultés d’assimilation et de ren
76
bien des efforts et de bien des illusions dans la
vie
des peuples. Savoir laquelle de ses innombrables tendances fut la plu
77
ar lui. Dans l’histoire, ce dont il s’agit est la
vie
, toujours et uniquement la vie, la race, la victoire de la volonté de
78
t il s’agit est la vie, toujours et uniquement la
vie
, la race, la victoire de la volonté de puissance, non celle des vérit
79
e tribunal universel : elle a toujours donné à la
vie
plus forte, plus complète, plus sûre d’elle-même, le droit à l’existe
80
tre vouloir et de notre devoir — hors desquels la
vie
n’a pas de sens — est par là même tracée dans un cercle étroitement c
81
ns qu’une civilisation a la même fragilité qu’une
vie
. Les circonstances qui enverraient les œuvres de Keats et celles de B
82
s il est un Hamlet intellectuel. Il médite sur la
vie
et la mort des vérités. Il a pour fantômes tous les objets de nos con
83
cision fatale, cherche à unir aux bienfaits de la
vie
, les avantages de la mort. Une certaine confusion règne encore, mais
84
n parle très souvent, et ce sont la science et la
vie
. Et l’une et l’autre, je dois avouer, me sont antipathiques. … L’uniq
85
in, et animant l’ensemble de ce grand corps d’une
vie
nouvelle. C’est l’Église catholique qui nous a faits, qui nous a donn
86
onné notre unité et toute notre philosophie de la
vie
, et qui a formé la nature du monde blanc. Ce monde — la chrétienté —
87
a, une fois la tourmente passée, et entra dans la
vie
nouvelle du Moyen Âge, laquelle atteignit son apogée aux xie et xiie
88
tienté ayant disparu et le principe vital dont sa
vie
dépendait ayant été affaibli et dénaturé, notre culture devint une ma
89
rée par le déclin des sciences, des arts et de la
vie
matérielle. L’accroissement de notre savoir extérieur et de notre pou
90
ernes, c’est celle de la fausse philosophie de la
vie
qui pendant un siècle a altéré leur principe vital authentique, et qu
91
que, offrant à l’homme de nouvelles conditions de
vie
; la fin de la culture, ou au contraire le début d’une ère de dévelop
92
té de 1906. 273. Cf. Le Sentiment tragique de la
vie
, 1912. 274. Hilaire Belloc : The Crisis of our Civilization.
93
ouvent sans avoir rien à faire, sans programme de
vie
. Le Gitan s’en vint à confesse. Mais le curé, prudemment, commença pa
94
généralement vacance, fainéantise, vacuité de la
vie
, désolation. Il importerait peu que l’Europe cessât de commander, s’i
95
e active de cette pluralité qui a toujours été la
vie
de l’Occident. Tout le monde perçoit l’urgence d’un nouveau principe
96
monde perçoit l’urgence d’un nouveau principe de
vie
. Mais — comme il arrive toujours en de semblables crises — quelques-u
97
ente et agissante des trois, dans des millions de
vies
intimes. Quant à la source grecque, qui ne peut irriguer que les couc
98
et tout-embrassant, quelque chose qui donne à la
vie
direction, sens et consistance. Le fondement de la culture de l’Europ
99
ien sur le Vésuve en éruption, quitte à perdre la
vie
. C’est l’esprit critique qui s’élève contre la superstition, cet espr
100
« Alors que l’humanité traînait sur la terre une
vie
abjecte, écrasée sous le poids d’une religion dont le visage terrifia
101
clavage. Aussi ont-ils impitoyablement détruit la
vie
spirituelle sous toutes ses formes. Ils ont très cruellement persécut
102
e type de l’économie, de la magistrature et de la
vie
antique et qui a rabaissé en tout cas considérablement la valeur inte
103
que la place que Dante assigne à Virgile dans la
vie
future, ce rôle de guide et de maître jusqu’à la barrière qu’il n’éta
104
rira toute la statue de l’empereur qui consuma sa
vie
dans les camps, les expéditions, et sur les champs de bataille, la pa
105
staure pas dans l’intimité de notre être, dans la
vie
de notre vie et le cœur de notre cœur, comme dit Hamlet à Horatio, al
106
ns l’intimité de notre être, dans la vie de notre
vie
et le cœur de notre cœur, comme dit Hamlet à Horatio, alors l’Europe
107
de dire qu’il est la conception chrétienne de la
vie
politique et sociale, l’ordre qui assure à tous la tranquillité de la
108
urellement, de sorte que, au cours des siècles de
vie
européenne, Socrate est devenu chrétien et le Christ est devenu socra
109
ès ces deux grandes morts auxquelles elle doit la
vie
, mais seulement comme des négations de son être foncier. L’individual
110
vivre en configurant librement son existence, sa
vie
historique, à l’aide d’idées rationnelles et pour des tâches infinies
111
tion. C’est l’antique nation grecque des viie et
vie
siècles avant J.-C. En son sein se manifeste une attitude nouvelle d
112
enant étrangère à son propre sens rationnel de la
vie
, la chute dans la haine contre l’esprit et la barbarie ; ou la renais
113
ibéral lui aussi, elle est « l’essence même de la
vie
». Elle ne serait pas une forme décisive de l’existence si elle n’éta
114
ur suprême de l’inutile… Pour nous, Européens, la
vie
est un processus créateur qui se poursuit avec chaque pulsation de ch
115
, l’individu contribue à donner forme à sa propre
vie
, à choisir son âme, comme dirait Platon. Cette croyance dans la liber
116
ction, sont dès lors les aspects essentiels de la
vie
européenne. Elles expliquent l’abondance, la variété et la richesse h
117
néanmoins les caractéristiques essentielles de la
vie
européenne. Cela est surtout vrai pour la qualité, car la qualité est
118
ité est pour nous Européens, l’essence même de la
vie
. Toute vie est qualitative et c’est pourquoi en Europe, nous devons n
119
r nous Européens, l’essence même de la vie. Toute
vie
est qualitative et c’est pourquoi en Europe, nous devons nous tenir e
120
garde contre les deux dangers qui menacent notre
vie
, les deux antipodes de la qualité : la quantité et l’égalité. Notre r
121
e choix à l’ombre du goût, autant de formes de la
vie
européenne qui échapperont toujours au cadre trop rigide des statisti
122
ent d’un esprit de haute inutilité qui donne à la
vie
son vrai sens, sa poésie, son côté dramatique et sa valeur éternelle.
123
Ceci détermine le rythme particulier de toute la
vie
européenne, dans laquelle la volonté l’emportant sur l’esprit, va dro
124
hme à trois temps est caractéristique du genre de
vie
européen, dans le domaine scientifique aussi bien que politique, dans
125
x phénomènes européens fondamentaux. Ce sont : La
vie
tendue entre deux pôles opposés. La vie aux limites extrêmes. D’abord
126
sont : La vie tendue entre deux pôles opposés. La
vie
aux limites extrêmes. D’abord : la vie tendue entre deux pôles : Pour
127
pposés. La vie aux limites extrêmes. D’abord : la
vie
tendue entre deux pôles : Pour toute prise de position, l’Europe a el
128
les plus reculées : la Bible, ce fondement de la
vie
européenne, cache déjà en elle, d’une façon unique, la tension entre
129
isiblement, son génie créateur. Deuxièmement : la
vie
aux limites extrêmes : Si la liberté coïncide avec la nécessité du vr
130
’éviter dès le début, donne sa signification à la
vie
dans une réconciliation transcendante. La liberté de l’Européen tend
131
otiques et qui pourtant ne font que recomposer la
vie
de l’âme humaine décomposée par l’esprit humain. (D’ailleurs, les rom
132
r eux, c’est l’exemplaire de série… Pour nous, la
vie
résulte d’un conflit permanent, et son but n’est pas le bonheur, mais
133
conscience à n’importe quel prix. Ils veulent la
vie
, nous des raisons de vivre, même mortelles. Voilà pourquoi l’Européen
134
sa mesure, à hauteur d’homme, traduisant dans la
vie
de la culture, comme dans les structures politiques, les mêmes tensio
135
chaque fois qu’un Picasso avance d’un pas dans la
vie
moderne, il avance en même temps d’un pas dans le passé européen… Hor
136
eut faire, c’est de compter les jours restants de
vie
, savoir les mettre à profit, n’en point accélérer le cours et accepte
137
toujours en état de déficience. Il va agencer sa
vie
selon des formes venues du dehors, qui peuvent ou se dessécher par dé
138
mais l’esprit qui unit présent et passé et donne
vie
au futur, comment pourrait-on l’imiter ? » Et cependant cela a été im
139
, les valeurs et les idéaux les plus divers de la
vie
européenne. Sans doute, ne peut-elle pas les porter tous, ni peut-êtr
140
ez pondéré pour englober les différents ordres de
vie
, si diversement développés dans l’expansion du monde contemporain. El
141
ommes l’auront aussi passionnément interrogé leur
vie
durant, dans toutes les dimensions de sa réalité, physiques, traditio
142
ensible pouvoir matériel cherchant à contrôler sa
vie
. Si une véritable civilisation mondiale peut jamais être créée, ce se
143
ole des écrivains : elle a miné et vicié toute la
vie
internationale de l’Europe moderne, elle a trouvé sa revanche dans la
144
dans la guerre européenne, qui a provoqué dans la
vie
de l’Europe un schisme beaucoup plus profond que toutes les guerres p
145
iques qui se posent, mais dans ce que la forme de
vie
publique où doivent se mouvoir les capacités économiques, n’est pas e
146
tincts du domaine économique. Par exemple dans la
vie
intellectuelle. Tout bon intellectuel allemand, anglais ou français s
147
l n’est pas de solution plus juste. Les formes de
vie
commune dans la maison nouvelle seront instaurées par la Constitution
148
es deux sont valables et motivées, et pourtant la
vie
ne saurait être ni totalement disciplinée ni totalement livrée au lib
149
les. En revanche la liberté doit régner là où une
vie
organique plus profonde est à l’œuvre… Doit être organisé d’une maniè
150
limités le domaine de la technique et celui de la
vie
organique. L’État symbole suprême de la technique, jette son filet su
151
re des descendants de Charlemagne actuellement en
vie
! 291. The Making of Europe, 1932. Nous citons d’après l’édition de
152
e la Charte de l’Atlantique, ils affirment que la
vie
des peuples qu’ils représentent doit être fondée sur le respect de la
153
é tout entière et l’épanouissement autonome de la
vie
nationale. Ces buts ne peuvent être atteints que si les divers pays d
154
ermettra la participation du peuple allemand à la
vie
européenne sans qu’il soit un danger pour les autres peuples. Seule u
155
onalistes qui, par deux fois dans le temps de nos
vies
, sont venues briser la paix et obscurcir l’avenir de toute l’humanité
156
r les simples joies et les espoirs qui rendent la
vie
digne d’être vécue. De la conjonction d’une vingtaine de « mouvement
157
tions fondamentales au relèvement du niveau de la
vie
et au progrès des œuvres de paix ; Résolus à substituer aux rivalité