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uer ceux qui servent les sacrements. Mais dans la
vie
de l’esprit, qui n’est pas collective, l’Esprit seul peut montrer la
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misses indiscutées à l’échelle des réalités de la
vie
courante. De même un homme peut découvrir dans l’orthodoxie qui l’édu
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as il ne peut pas mourir ; ou bien il signifie la
Vie
, l’Éternité, le Total, l’Être en soi, l’Inconnaissable, et, dans ce c
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l’Évangile), et cela dans le détail intime de sa
vie
, le Dieu que tant de milliards d’humains souffrants ou méditants, gén
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ment croyable mais indiscutable au sens de chaque
vie
, dès que le regard se tourne vers l’homme, vers un homme bien détermi
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même d’une destruction des éléments sacrés de la
vie
publique et privée. Cette profanation générale résulte de nombreuses
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aines. Fallait-il en tirer une condamnation de la
vie
urbaine et des machines, et déclarer que la vie rurale est seule conf
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a vie urbaine et des machines, et déclarer que la
vie
rurale est seule conforme à l’ordre divin de la Création ? Ou au cont
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Moyen Âge a reconstitué une notion sacrale de la
vie
. Et c’est ainsi que les révolutions modernes ont été amenées, comme p
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éj. L’homme est devenu le seul but de l’homme, la
vie
le seul but de la vie, et le temps le seul but du temps. Il en résult
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le seul but de l’homme, la vie le seul but de la
vie
, et le temps le seul but du temps. Il en résulte des conséquences déc
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conséquences décisives, dans tous les plans de la
vie
humaine, sans exception. Je m’en tiendrai à trois illustrations, l’un
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s que le christianisme est le meilleur système de
vie
dans le siècle, celui qui peut empêcher les grèves, maintenir la sant
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anière imperceptible, d’habitudes de pensée et de
vie
de moins en moins conformes aux lois spirituelles : sans le savoir, s
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e s’est reconnue impuissante à donner des buts de
vie
, des idéaux, une morale, plus efficace que le christianisme. C’est un
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esque » est la différence entre honneur et honte,
vie
et mort.) Et que trouvent aujourd’hui les peuples devant eux ? Battus
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ets — les richesses par exemple — on arrangera la
vie
… D’autres enfin, faisant la théorie de leur faiblesse, formulent des
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souvent utiles, mais qui ne sont jamais règles de
vie
. Je voudrais une sociologie chrétienne pour le siècle. 2° Que l’Églis
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n pas ce qui retient en arrière des risques de la
vie
. 4° Que l’Église affirme avec force, dans le domaine politique, la Tr
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ent catholique (embrassant tous les aspects de la
vie
), l’abîme s’élargira entre le monde religieux et la culture. Cette de
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lte de ces valeurs que l’on dit « appartenir à la
vie
», création de nouveaux nationalismes religieux et virulents. Mais si
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ans son culte une structure plus efficace pour la
vie
spirituelle, une discipline plus organique pour les fidèles. C’est ce
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Bourgogne, près de l’ancienne abbaye de Cluny. La
vie
liturgique y tient une place sans cesse croissante. Ce sont là des si
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us nues, qui vont indiquer la voie d’une nouvelle
vie
liturgique. Deux raisons principales m’incitent à le croire. Ces Égli
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sa mission. » Nous ne savons rien du reste de sa
vie
, et n’avons nul besoin d’en rien connaître pour reconnaître la portée
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i seule l’élève, l’assemble et donne un sens à la
vie
de chacun. Ce peuple errait sans « fin » dans le désert, sans but jus
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de leur bouche les règles de la conduite de notre
vie
, et que toutes nos actions doivent avoir pour objet de plaire à Dieu.
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inventions négligées, méprisées ! Nous adorons la
vie
et le progrès, le foisonnement et la diversité, et toute mesure ne se
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harmonie dans le dynamisme, le sens général de la
vie
. Si l’on admet que la destination de toute culture, c’est de concentr
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eux par les peuples qui croient que le sens de la
vie
, la crainte de la mort, l’angoisse devant le pouvoir sacré, sont des
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beauté, mais qu’il est le chemin, la vérité et la
vie
. Ce chemin n’est pas beau, mais rocailleux, et douloureux. Cette véri
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e vérité n’est pas belle, mais libératrice. Cette
vie
ne s’épanouit pas en belles harmonies, mais passe par la porte étroit
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’est de rendre attentif au sens du monde et de la
vie
. Bien entendu, ce que l’artiste arrive à signifier n’a nul besoin d’ê
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ment, qu’apparaît la faiblesse de cette vue de la
vie
. Si l’on admet avec tous les romans, les chansons populaires, les fil
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u mariage, du point de vue de la famille et de la
vie
en société. On peut donc affirmer que dans l’état présent de nos mœur
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s formes du bonheur terrestre, et finalement à la
vie
même. « Höchste Lust ! », joie suprême, s’écrie l’Isolde de Wagner en
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nts de la fidélité véritable : la durée « pour la
vie
» et le sens d’un destin assumé (ou subi) « advienne que pourra ». La
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nt que nos contemporains sont convaincus que « la
vie
va ainsi », qu’elle l’a toujours été et le restera toujours. Croyance
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gard de l’historien des mœurs. Car primo, si « la
vie
est ainsi », c’est qu’à partir du xiie siècle, les Occidentaux ont a
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Et secundo, il est fort peu probable que si « la
vie
est ainsi » elle le restera toujours, car aucune société humaine ne s
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ne profession, c’est-à-dire bien tangiblement une
vie
à elle, oblige l’homme à la considérer comme un être réel et autonome
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’éducation, d’aptitudes, de caractère, de buts de
vie
, etc., que la romance croyait pouvoir surmonter en les négligeant d’e
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société, de la morale, et plus profondément de la
vie
en soi. Mais la passion perd son ressort intime lorsqu’elle est adver
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convergentes de la psychanalyse vulgarisée, de la
vie
dans les grandes cités, de la révolte contre la bourgeoisie et de la
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met en cause la stabilité du mariage, base de la
vie
de la famille. Vers une alliance des égaux Il faut s’y résoudr
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s’ennuieront. Ils éprouveront un manque dans leur
vie
, un vide dans leur cœur. Pour « nous modernes », il faut bien l’avoue
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uer, gens de petite foi et de peu de religion, la
vie
sentimentale figure encore une espèce d’idéal ou d’évasion de choix,
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n reste, sera perdre autant que gagner. Seule une
vie
spirituelle intense serait capable de combler l’absence du « tourment
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fondement du mariage. Épouser quelqu’un « pour la
vie
» à cause d’une fièvre de deux mois n’est pas un acte de courage mais
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tures séculières de la révolution chrétienne.) La
vie
et la pensée chrétiennes, en effet, se réfèrent à chaque instant à ce
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reconnaît du même coup l’origine et le but de sa
vie
: il connaît dès lors son péché, tout ce qui l’écartait de sa voie. M
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, du sens même de son action, de sa pensée, de sa
vie
corporelle ! Précisons, car nous ne parlons pas de vérités « purement
53
’homme, tel que le voit le chrétien, de sauver sa
vie
matérielle et morale, d’échapper à la guerre, à la misère, à l’oppres
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es à s’entendre et à vivre heureux ? « Changer la
vie
», criait l’enfant Rimbaud ! Et les intellectuels de gauche reprennen
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leur ôte toute liberté, et bientôt leur ôtera la
vie
! Ne faut-il pas « aller au plus pressé », sauver d’abord sa peau, re
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que l’intérieur importe seul, et que le « pain de
vie
» suffit à nourrir l’homme ! Peut-être suffit-il à vous nourrir, pers
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dans de lui. Cet homme n’est plus le maître de sa
vie
. Il est l’agent d’une vocation venue d’ailleurs, mais pour lui seul e
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trêve la déviation spiritualiste qui menace notre
vie
chrétienne, et qui est la cause certaine des succès du marxisme. Tant
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e ou soviétique : c’est la « mise au pas » de nos
vies
et de tous les aspects de nos vies, tant spirituels que matériels, au
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u pas » de nos vies et de tous les aspects de nos
vies
, tant spirituels que matériels, au service de l’État déifié. Cette si
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réaliser l’Évangile dans tous les domaines de la
vie
. La seule lutte efficace contre le matérialisme, c’est la lutte qu’il
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exte initialement paru en français : « Changer la
vie
ou changer l’homme ? », Le Communisme et les chrétiens, Paris, Plon,
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t et encore plus. Les gens voulaient la garder en
vie
, ils aimaient leur baleine, mais ils ne savaient plus comment la sati
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elà même de notre angoisse fondamentale devant la
vie
, le monde et l’inconnu. Et c’est pourquoi sa faim était inextinguible
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sacrée et intangible réglant chaque détail de la
vie
, à l’ordre total et définitif décrétés par le roi-prêtre ou par le di
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de ses loisirs, qui deviendront l’essentiel de sa
vie
? Problème immense et tout nouveau, qui viendra se substituer aux pro
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milliers d’ouvriers et d’ingénieurs gagnent leur
vie
, des paquebots traversent l’Océan, d’énormes capitaux s’amassent. 4
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es n’est pas une imperfection de l’union, mais sa
vie
même. Un deuxième trait, complémentaire d’ailleurs, doit être au moin
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ps souffre dans son chef et dans ses membres ! La
vie
normale du corps dépend de la vitalité de chacun de ses membres, et l
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nd de la vitalité de chacun de ses membres, et la
vie
d’un membre dépend de son harmonie avec les autres membres, assurée p
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, reconnaît que les diversités régionales sont la
vie
même de l’Union. Mais par l’organe central qui lie toutes les régions
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n français (« Fédéralisme et œcuménisme », Foi et
Vie
, Paris, n° 6, septembre-octobre 1946, p. 621-639). Nous avons repris
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de revendiquer et d’imposer un sens positif à la
vie
, niée par Kafka, s’est attestée dans le soulèvement des écrivains uni
74
ers le triomphe du plan total, ordonnant toute la
vie
au service de l’État. Un certain déterminisme historique faisait prév
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règne des robots ». Les machines envahissent nos
vies
, nous allons devenir leurs esclaves. Elles asservissent déjà nos corp
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re, et donc fautive. Les machines envahissent nos
vies
? Si seulement ! Car elles sont très chères. Mais jamais une Talbot n
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provoqué la destruction de plusieurs millions de
vies
humaines. C’est ici qu’il convient de rappeler le décalage de la cons
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roblème de la liberté. Le problème du sens de nos
vies
… Je propose à nos philosophes du déclin de la bourgeoisie, du déclin
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phes à venir de l’organisation scientifique de la
vie
n’élimineront pas les besoins religieux de l’immense majorité des hom
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onne humaine, les sciences de la matière et de la
vie
, la technique et l’esprit de recherche à tous risques. Et je ne dis p
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onsciemment, vers une attitude générale devant la
vie
, la société et la nature dont seul le christianisme occidental peut e
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gènes, et qui appellent donc une conception de la
vie
soit dérivée du christianisme, soit chrétienne : nouvel aspect de l’o
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des formes de culture, c’est-à-dire de pensée, de
vie
et d’organisations sociales devenues périmées ou trop régionales, que