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tralisés — se révèlent trop grands pour animer la
vie
économique, culturelle et surtout civique de leurs régions : celles-c
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ntaux respectueux du réel et des conditions de la
vie
, qui sont : antinomies, oppositions, lutte des contraires « d’où proc
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communication avec les autres. 3. Au niveau de la
vie
civique et politique, tout le problème revient à concilier les besoin
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s espaces communs, de participation efficace à la
vie
d’un groupe concret et d’horizons ouverts, d’adhésion à des communaut
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e l’homme qui veut à la fois sa vie privée et une
vie
sociale est homologue à la situation de la région qui veut à la fois
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diversités, des conditions contradictoires de la
vie
, comme la liberté des personnes et la force de la communauté ? L’anal
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élimitée par tous les bâtiments symboliques de la
vie
communautaire, églises, mairie, marchés, cafés, lieu de rencontres, d
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sibilité physique et morale de participation à la
vie
communale dépend de tels aménagements. Les dimensions d’ailleurs, peu
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versité fut une commune libre au Moyen Âge. Toute
vie
civique, depuis la cité grecque, est communale d’abord, municipale. C
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munale d’abord, municipale. C’est au niveau de la
vie
civique et politique — c’est le même mot, selon l’étymologie — que no
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lorsqu’il relevait que « le fédéralisme vit d’une
vie
que la forme institutionnelle dénommée État ne suffit pas à qualifier
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et peut-être plus encore, un des grands styles de
vie
et de civilisation capable, au même titre que le libéralisme, le soci