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nier mot et que ce pourrait être aux dépens de la
vie
même, non seulement de la vie végétale, mais de la vie animale et don
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re aux dépens de la vie même, non seulement de la
vie
végétale, mais de la vie animale et donc humaine aussi. Jusqu’à nos j
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ême, non seulement de la vie végétale, mais de la
vie
animale et donc humaine aussi. Jusqu’à nos jours, depuis le singe ou
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us survivra, puisqu’il n’y aura peut-être plus de
vie
à la surface de la Terre. Mais qu’elle durera sans nous, au-delà de t
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. Mais qu’elle durera sans nous, au-delà de toute
vie
. Et en même temps nous découvrons que le Progrès ne peut pas être « i
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opulation et donc une diminution de la qualité de
vie
. Telle élévation du niveau de vie par un effort d’industrialisation s
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n tour entraînera une diminution de la qualité de
vie
, puis une mortalité accrue, et ainsi de suite. Il convient donc aujou
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s, ressources naturelles, pollution et qualité de
vie
. (Ce dernier paramètre étant dérivé à la fois du niveau de vie matéri
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trois derniers facteurs. Quant à la « qualité de
vie
», elle a atteint son maximum vers 1960, puis se met à décroître auss
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cédent dans l’histoire ; après quoi la qualité de
vie
, qui était tombée très bas, fait une remontée en flèche pour les 2 mi
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talité 30 % Production d’aliments (« qualité de
vie
») 20 % Ces conditions — évidemment draconiennes — seront-elles acc
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r. Tout d’abord, sa définition de la « qualité de
vie
» comme résultante de l’alimentation, du niveau de vie matérielle et
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sespoir et à la révolte une pénurie de sens de la
vie
au milieu de la surabondance des machines, des objets offerts et des
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cteur qu’elle fasse diminuer, c’est la qualité de
vie
. Si bien qu’on peut se demander si le dogme de la croissance industri
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que de déterminer les conditions d’une qualité de
vie
meilleure, d’un meilleur équilibre vivant. Cependant, l’évidence aveu