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entifique ; censure politique ; étatisation de la
vie
intellectuelle dans un tiers des pays de l’Europe. Devant cette situa
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u européen. Les renouveaux de la culture et de la
vie
politique en Europe sont produits par l’action imprévue de facteurs e
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st la Question du siècle : Quel est le sens de ma
vie
dans cette société qui n’en est pas une, puisqu’elle n’est plus une c
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a justice, la santé, la liberté, la qualité de la
vie
, l’utilité sociale, se voient sacrifiées sans merci sur l’autel du Pr
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ventait est la tâche singulière de chacune de nos
vies
. La tyrannie se définit alors par rapport à la seule personne, comme
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ment de l’ouvrier d’usine, dont les conditions de
vie
, de dignité, de santé et de loisirs sont à peu près les mêmes à l’Est
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inconscient, de substituer dans le cadre de notre
vie
le minéral, pratiquement immortel (métal, verre, plastique et béton)
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sons-nous l’inertie minérale, l’inanimé contre la
vie
toujours mortelle. Le Progrès vénéré par le xixe siècle et réputé ir
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u’il peut relier des hommes de toute la terre, la
vie
communautaire concrète est proximiste, c’est-à-dire communale, locale
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l’Europe. Mon livre terminé, pensais-je alors, la
vie
s’ouvrirait devant moi, et Venise signifie vacances. Au surplus, une
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assure leur indépendance — fût-ce au prix de leur
vie
ou de leurs libertés — et qui affirme sa souveraineté quoi qu’il puis
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té. En revanche, il est trop grand pour animer la
vie
civique et l’économie de ses régions, pour en promouvoir les activité
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t le respect des complexités qui caractérisent la
vie
même. Et voilà qui désigne assez clairement les petites unités de bas
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ologies nationalistes qui ne sauraient nourrir sa
vie
intérieure et privée, en même temps frustré dans son besoin de commun
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villes devient spectateur, non plus acteur de la
vie
publique, habitué du cirque (aujourd’hui de la TV) et non plus du for