1 illes ? —, il n’a pas hésité, même à la fin de sa vie , à inspirer, guider et illustrer, l’action des verts, sans en approuv

2 assumant, en se faisant porter par elles. Dans la vie collective, comme dans la vie individuelle, les crises, au sens mineu

3 par elles. Dans la vie collective, comme dans la vie individuelle, les crises, au sens mineur, par l’énergie qui s’en déga

4 tous les secteurs et toutes les dimensions de la vie sociétale : elle contraint ainsi à l’Umwertung aller Werte, à la révi

5 inement difficile, aventureux et créateur ; d’une vie bien remplie ; d’un destin. Sans avoir aucunement une telle prétentio

6 e, à rechercher, non seulement la vérité, mais la vie  ; non seulement la connaissance, mais l’action. Conscient de son gran

7 naliste européen. Certes, il fut attaché toute sa vie à sa patrie ou, plus exactement, à ses patries, petites ou grandes, a

8 s des contradictions de notre culture et de notre vie , sachant les assumer sans jamais les détruire. On connaît Denis de Ro

9 es communautés de manière plus générale. Toute la vie de l’homme du Moyen Âge est faite dans et par des communautés, dont l

10 isions civiques qui vont influencer, à travers la vie de la cité et de la nation, sa vie personnelle. On peut voir donc des

11 , à travers la vie de la cité et de la nation, sa vie personnelle. On peut voir donc des correspondances extrêmement précis

12 il n’est pas seulement un citoyen engagé dans la vie civique, il doit aussi être libre, et pouvoir manifester cette libert

13 est évident que personne ne peut participer à la vie d’une commune comme celle de New York, qui groupe huit à neuf million

14 de la ville, c’est-à-dire de la rencontre, de la vie commune. Dans les banlieues, chacun vit pour soi, dans son coin, dans

15 tassements de solitudes, où vous ne trouvez ni la vie communautaire des petites cités, ni le grand air, l’espace, sauf, que

16 s primitive sont nées toutes les catégories de la vie politique qui sont encore les nôtres. Autour de l’agora se dressent t

17 importants qui symbolisent les composantes de la vie publique. L’agora est généralement un espace rectangulaire, autour du

18 dans le Sénat. La place est donc le centre de la vie politique, c’est là que se forme l’opinion et que se font les décisio

19 mocratie réelle, de participation du citoyen à la vie des institutions, alors que la place a disparu et que même la rue ne

20 non. 26 novembre 1965 Toutes les tensions dans la vie sociale et civique européenne se manifestaient autour de la place et

21 tous les auteurs anciens), rôle important dans la vie des cités grecques et romaines, lieu de conversations politiques, de

22 munes à coopérer. Les questions d’électricité, la vie culturelle, la vie des écoles supérieures, la formation professionnel

23 es questions d’électricité, la vie culturelle, la vie des écoles supérieures, la formation professionnelle, les théâtres, d

24 villes, correspond exactement la décadence de la vie communale et l’extension d’un étatisme toujours plus rigide, toujours

25 11 novembre 1966 Si on pense que le but de la vie d’un homme est de participer à la puissance et à la grandeur de sa na

26 anvier 1969 Les deux instruments principaux de la vie politique nationale en France, sous la IIIe République, sont devenus

27 1968 Bonaparte, après s’être fait élire consul à vie , prend, en 1804, le titre d’empereur. C’est beaucoup plus un titre d’

28 s dans les empires, mais qui, pendant leur longue vie latente dans l’empire, se sont pénétrées de l’idée qu’elles avaient c

29 d pour animer vraiment l’économie, la culture, la vie de ses régions. L’État-nation est donc, aujourd’hui, à la fois trop g

30 tous les cinq ans, ce n’est pas l’exercice d’une vie civique. De même, on peut dire que l’université n’existe plus quand o

31 pation civique, animer l’économie, la culture, la vie des régions. La souveraineté nationale ne reste efficace que négative

32 jugement, de valeurs morales, de conception de la vie , de sentiment des choses, d’approche des situations. J’ai montré que

33 tre, mais le plus de saveur, le plus de sens à la vie . 26 juin 1970 Donner comme but à la Cité européenne la liberté, non l

34 muniste à la mise en question du sens même de nos vies et des vrais buts de nos activités communautaires et personnelles. Si

35 , mais surtout reste un besoin très profond de la vie politique et civique des Occidentaux. Le troisième motif, qu’on trouv

36 ateur qui perd ses prises sur la complexité de la vie moderne ! Tandis que le fédéralisme, avec son respect des diversités,

37 la contradiction de ces éléments que résultent la vie et le mouvement de l’univers. 9 novembre 1970 Les falsifications coïn

38 a contradiction toujours ouverte, le moteur de la vie et du mouvement. Les livres d’histoire nationale projettent sur les r

39 s les plus communes et les plus importantes de la vie allaient de soi, c’est-à-dire ne posaient pas de problèmes fondamenta

40 mes de classe, des traditions religieuses dans la vie sociale, la démocratisation et l’étatisation du pouvoir, l’individu m

41 bre dans la plupart des domaines importants de la vie . 9 février 1968 C’est à nous, c’est-à-dire que c’est à tous et à chac

42 les richesses ou bien chercher plus de sens à la vie . Ou encore : vouloir la puissance de l’État-nation ou la fécondité de

43 e, et donc en position, de choisir ce que sera sa vie . Cela pose, au niveau individuel et au niveau collectif, un problème

44 de la coutume que du profit : celle du sens de ma vie , du sens de la société, et du sens de ma participation — ou non — à c

45 tif ? croissance ou équilibre ? PNB ou qualité de vie  ? etc. Et nous voyons bien que les premiers termes sont collectifs et

46 le sens de cette société, quel est le sens de ma vie dans cette société qui n’en est pas une, qui n’est pas une communauté

47 nom du profit ou de la rentabilité, et pas de la vie . 12 novembre 1971 Aux problèmes vitaux que posent l’épuisement de l’o

48 calculé aussi en bonheur, en santé, en qualité de vie et en justice sociale ou communautaire. 29 octobre 1971 L’écart entre

49 es prolongent simplement quelques traits de notre vie actuelle. Or, les changements qui se produiront d’ici vingt ans ou ce

50 elle et lancinante question : celle du sens de la vie , du sens de la société dans laquelle on vit, du sens de la part de ch

51 isage d’une politique : loin de se cantonner à la vie politicienne, les choix politiques sont globalement une affaire d’adé

52 ciles qui se sont passés pendant les ive , ve et vie siècles, a consisté à fixer les grandes catégories de la personne, d

53 fruit des débats des grands conciles (ive , ve , vie siècles). Ces débats vont trouver de multiples prolongements dans l’

54 a correspondu aussi une notion du civisme, de la vie politique, de la vie commune, qui traduisait bien cette notion de l’i

55 une notion du civisme, de la vie politique, de la vie commune, qui traduisait bien cette notion de l’individu. Dans le mond

56 ducation pour l’autonomie ; dans le domaine de la vie intellectuelle, de la culture et des universités, les couples étaient

57 e série de couples nouveaux, celui que forment la vie personnelle, ou familiale, protégée, et la vie sociale possible, la j

58 la vie personnelle, ou familiale, protégée, et la vie sociale possible, la justice assurée ; ou encore, l’agrandissement in

59 es dimensions de la cité et la participation à la vie civique des habitants de cette cité. 3 février 1972 Dans la plupart d

60 lle harmonie selon Héraclite, principe même de la vie biologique qui, de la cellule à l’organe et des organes au corps, est

61 nces : l’équilibre en tension (formule même de la vie ), par opposition à des cadres contraignants et des géométries placées

62 i, c’est-à-dire le manque de sens général pour la vie des hommes. 4. De la personne à la fédération 4 mars 1977 Le tr

63 icipation de tout l’homme à un sens général de la vie , l’acquisition de structures mentales résultant de connexions établie

64 rs spécialisés. De même, la participation dans la vie civique sera la participation de la personne complète — individu plus

65 , que le terme de personne a joué un rôle dans la vie civique et dans la vie politique, et que la notion qu’il représente e

66 nne a joué un rôle dans la vie civique et dans la vie politique, et que la notion qu’il représente est devenue l’un des fon

67 , est ce que toute une école de philosophes de la vie politique entre les deux guerres mondiales a défini comme étant la pe

68 toyens en tant qu’ils participent réellement à la vie de la cité et en tant que la politique est soumise à une certaine mor

69 s la cité, conformément à une certaine idée de la vie humaine et de la destination de l’homme, on voit qu’il y a eu, qu’il

70 a toujours été le cas, mais je pense que dans la vie publique et politique d’aujourd’hui, c’est plus vrai que jamais. Le r

71 population, l’accroissement de la production, la vie intellectuelle, l’intensité du rayonnement. C’est un foyer, alors que

72 e en vidant les communes et les provinces de leur vie propre, autonome). Elle est trop petite pour les tâches international

73 elles d’une part, aptes à permettre et animer la vie sociale et culturelle, donc la participation civique d’autre part ? L

74 tale, elle fera voir les problèmes concrets de la vie publique et les moyens d’y participer à tous les étages décisionnels.

75 enne de chaque sujet du royaume, non seulement la vie sociale, mais la vie privée et la conscience (comme le démontrent la