1 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
1 Je vins à Vienne pour fuir l’Amérique. Mais les Viennois avaient fui dans les opérettes de Strauss, qu’on ne trouve plus nulle
2 noncé à certaine idée que j’avais d’un romantisme viennois , je fus conduit, par une sorte de compromis sentimental, à l’Opéra où
3 aisse le fameux homard enrubanné. « Cela vexe les Viennois , me dit-il, parce qu’ils y voient une façon de me moquer de leurs pet
4 ces sortes de scènes. On reparla de l’inconstance viennoise . Gérard l’attribuait à une certaine anémie des sentiments, à un manqu
5 ne œuvre d’art qui demande un long effort, et les Viennois sont, par nature et par attitude, des gens fatigués. — Pour moi, dit
6 d’imprévu, la seule chose contraire à la coutume viennoise . L’enfant était charmante, comme elles le sont presque toutes dans ce
7 t qu’avec mes amis nous devions baptiser en style viennois « Mehlspeis-Schlagobers »10. Heureusement qu’au Moulin-Rouge, souterr