1 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
1 euve jaune, entre les deux façades longues que la ville présente au couchant, dans ce corridor de lumière où elle accueille l
2 roche la nuit. Nous nous sommes retournés vers la ville . Fleurs de lumières sur les champs sombres du ciel de l’est, et une
3 t on ne voudrait plus guérir… Mais nous voyons la ville debout dans ses lumières. Architectures ! langage des dieux, ô joies
4 s des coups un son qui nous évoqua les rumeurs de villes d’usines. Il y avait la vie des hommes pour demain, et il était beau
5 e qui va peut-être composer tous les bruits de la ville en un chant immense. Il passe une possibilité de bonheur par personne
2 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
6 vert au vent glacial, crée autour du centre de la ville une insécurité qui fait songer à la Russie et au sifflement des balle
7 tive à se passionner pour quoi que ce soit. Cette ville , qui est toute caresses, a peur de l’étreinte… C’est d’ailleurs une c
8 te, comme elles le sont presque toutes dans cette ville , — du type que Gérard et Théo nommaient « biondo et grassotto », et q
9 un ton rêveur et malicieux. Mais l’ombre de cette ville illusoire est la plus douce à mes vagabondages sans but. Vous savez,
3 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
10 s cette paresse de jour férié, les clochers de la ville sonnent deux heures. Allons. Un de ces corridors de vieille maison so
11 es questions naïves.) Lui aussi a vécu dans cette ville , tout semblable à ces théologiens aux yeux voilés, aux pantalons trop