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sé les traces d’une coutume ancestrale : dans les
villes
. Mais ce que l’homme ne fait pas pour l’homme, le diable le fait à sa
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afka naquit à Prague en 1883. Il passa dans cette
ville
la plus grande partie de sa vie. Docteur en droit, il travailla d’abo
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té et en plein automatisme (exemple : les grandes
villes
). Le progrès scientifique accroît sans cesse ce risque d’automatisme,
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nières années de Paris m’avaient appris que cette
ville
, au moins pour la jeunesse sans argent, est la ville des gérants igno
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le, au moins pour la jeunesse sans argent, est la
ville
des gérants ignobles et des concierges, des lieux-sombres-et-populeux
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de la vallée, la rivière et la plaine. La petite
ville
reste invisible, massée au pied des rochers, en retrait sur notre gau
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est certain, nous saurons tout sur les gens de la
ville
… 5 octobre 1934 Petite cité tassée à la base d’une paroi de rocher et
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s mal que la population des faubourgs des grandes
villes
. Le goût de « la vie saine » et du grand air, vous ne le trouverez qu
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bien y a-t-il de classes entre la bourgeoisie des
villes
et le prolétariat ? L’opposition que veulent voir les marxistes entre
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es cas concrets, dès que je sors des très grandes
villes
et de leur caricature de société. — Simard, le jardinier, est à demi
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est en ruines, — tout le centre. On croirait une
ville
bombardée, 2300 habitants. Cent personnes au culte. Dans la campagne
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que les gens s’en vont d’ici pour travailler à la
ville
. C’est comme partout. Bon. Alors les catholiques descendent de la mon
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pprouve la jeunesse qui délaisse la terre pour la
ville
. (« C’est mort, ici ! » — phrase entendue un peu partout dans la prov
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s — si jamais ils en ont assez de se plaindre des
villes
, où ils s’incrustent — la province deviendra vivable. La révolution s
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a vitrine, je vois le vieux port de cette vieille
ville
, la plus proche de notre île, et où nous devons encore passer deux he
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voyait parcourir les rues les plus animées de la
ville
, parlant, riant et discutant avec les bourgeois, avec des jeunes fill
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tombait d’épuisement au cours d’une promenade en
ville
. On le transporta à l’hôpital où il mourut paisiblement en disant à s
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La nuit ! Je l’avais oubliée à Paris. La nuit des
villes
n’est pas cette mort opaque dont il faut redouter je ne sais quelle i
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elle invisible et brusque vie tout près. Nuit des
villes
, rouge et circulante, pleine de rumeurs, comparable à la fièvre. Plus