1 1941, Articles divers (1941-1946). Trois paraboles (1er octobre 1941)
1 ne cachent plus que les abords désertiques de la ville , ils se sont vus ! Le jour naît dans la pluie. Le Palais disparu, les
2 1942, Articles divers (1941-1946). La leçon de l’armée suisse (4 mars 1942)
2 s et chargés d’expérience que la vie paisible des villes ou des villages ne leur aurait pas donné en dix ans. Ces 3 mois sont
3 centres de résistance qu’il y a de cantons ou de villes , autant de bases de défense qu’il y a de défilés et de montagnes. Cha
3 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
4 ’était pourtant l’heure ! » 14 mai 1939 La grande ville traversée dans la fatigue d’un soir pluvieux. Paris, souffrance des v
5 claquants et ses rues débouchant sur le ciel, la ville aux sept collines oublie la guerre, oublie l’Europe. Dans quatre jour
4 1944, Articles divers (1941-1946). L’attitude personnaliste (octobre 1944)
6 clubs de presse ». Dans chaque quartier de grande ville , dans chaque commune, des correspondants devaient grouper un auditoir
5 1946, Articles divers (1941-1946). « Selon Denis de Rougemont, le centre de gravité du monde s’est déplacé d’Europe en Amérique » (16 mai 1946)
7 appartement avec salle de bains. Dans les grandes villes , on remarque de la misère. Certains quartiers sont très tristes. La c
6 1946, Articles divers (1941-1946). L’Américain croit à la vie, le Français aux raisons de vivre (19 juillet 1946)
8 les résidences luxueuses de la campagne ou de la ville sont régulièrement — sauf dans le Sud — de style Tudor, de style Rena
7 1946, Articles divers (1941-1946). En 1940, j’ai vu chanceler une civilisation : ce que l’on entendait sur le paquebot entre Lisbonne et New York (21 septembre 1946)
9 x claquant et ses rues débouchant sur le ciel, la ville aux sent collines renie la guerre, oublie l’Europe. Dans quelques heu
8 1946, Articles divers (1941-1946). Contribution à l’étude du coup de foudre (1946)
10 ntent sur les flancs d’un énorme rocher en pleine ville , que domine la statue de saint Geller, les bras en croix. Elle arrête
11 . Je la rejoins. Alors d’un geste elle désigne la ville à nos pieds : « — Mon mari m’a demandé de vous montrer Budapest. Voil
12 . Nous remontons en voiture et descendons vers la ville . Soudain, je me suis décidé et j’articule : « — Vous n’avez rien mang