1 La journée d’un couple bourgeois, dans une grande ville américaine, ménage peu de contacts entre mari et femme, et sans doute

2 , l’Université de Harvard, au milieu de la petite ville de Cambridge qui n’est plus qu’un faubourg de Boston. Le premier soir

3 s. Je n’en ai pas de plus charmants dans toute la ville , et je les ai vus presque chaque jour le mois dernier. Mais ce soir-l

4 matin j’annonce subitement que je dois rentrer en ville pour une affaire pressante. En vérité, j’ignorais quelle affaire, mai

5 s longuement, les visiteurs qui passent par cette ville de nulle part. Et j’ai songé à cette autre retraite, la maison rose d

6 w York, 2 septembre 1942 Quoi de plus sale qu’une ville dont la foule transpire ? Il faut être fou pour rentrer… Mais à l’Off

7 ar nous, dans l’exil… 6. Quartier du bas de la ville où habitent beaucoup d’écrivains et surtout de peintres. 7. Il s’agi

8 , elle ne ferait pas deux pas toute seule dans la ville . Je la félicitai sur le beau titre de son premier roman qui venait de

9 pensée et d’art que j’aie trouvé dans une grande ville de ce pays. Et puis leur nomadisme habituel les a repris. Un an plus

10 de 15 ans, qui cherche la musique dans sa petite ville , et repère une à une les maisons où la radio choisit les symphonies q

11 noir ? Ou simplement la description d’une petite ville pauvre du Sud ? Ou bien toutes ces choses à la fois ? Je me demandais