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1 soit 1400 habitants au km2 (densité des grandes
villes
actuelles, étendue à toutes les terres émergées), 3 habitants au m2 e
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autre la croissance de la pollution, de l’air des
villes
, de l’eau des lacs et des océans, de la végétation et du monde animal
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es inexorablement aux succès de la croissance des
villes
, des mégalopoles infinies où 80 % de l’humanité va vivre, ou plutôt s
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ée de partir au hasard dans la campagne, loin des
villes
détestées, sur une machine de roule n’obéissant qu’à ses humeurs. L’a
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e du 4 km à l’heure dans le centre de nos grandes
villes
, qu’elle asphyxie. Elle devait révéler la campagne et la solitude, el
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onde, en quelques dizaines d’années, et voici nos
villes
invivables, le bétonnage universel, la nature défigurée, la morale qu
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le gallo qui va jusqu’à Rennes et jusqu’à Nantes,
villes
qui sont indispensables, du point de vue économique, à la vie de cett
8
et de l’exode rural ? Cela va ensemble. Mais les
villes
n’existent plus guère : ce sont des faubourgs, des banlieues. Des agg
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meeting public. Cette place n’existant plus, les
villes
n’ayant plus de structures, ayant drainé les campagnards sans les res
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s ont changé, ont quitté leur région, quitté leur
ville
… En Suisse, qui donne toujours l’idée d’une grande stabilité, vue de
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d’origine. Presque tous sont déplacés. Prenez la
ville
de Genève, vous avez une minorité de Genevois, je crois 27 %, et 44 %
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xistait à la fin du monde hellénistique quand les
villes
sont devenues trop grandes. Les villes de la période classique grecqu
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quand les villes sont devenues trop grandes. Les
villes
de la période classique grecque — la polis où s’est formé le sentimen
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s ces normes ont été délaissées, et on a bâti des
villes
énormes, comme Antioche où il y avait 25 km de rues éclairées toute l
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venu impossible de se promener sans armes. Et ces
villes
naturellement n’étaient plus des communes. Il n’y avait plus l’agora
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n hellénistique. Simplement c’est plus grave, les
villes
sont plus grandes, il y a des moyens d’action beaucoup plus dangereux
17
s communales. On ne peut pas détruire les énormes
villes
. Il y a une ville aux États-Unis qui va de Boston à Washington. On ne
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peut pas détruire les énormes villes. Il y a une
ville
aux États-Unis qui va de Boston à Washington. On ne peut pas la détru
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que tout tient à la forme et aux dimensions de la
ville
. Les formes de l’architecture expriment certaines réalités politiques
20
es et en interdisent d’autres. Si l’on prenait la
ville
communale au Moyen Âge c’est autour d’une grande place, où il y a l’é
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lution communaliste, à l’esprit des communes. Les
villes
du xixe siècle sont des villes en étoile avec de très larges avenues
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des communes. Les villes du xixe siècle sont des
villes
en étoile avec de très larges avenues qui servent au défilé des troup
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très bien à repérer, d’après l’architecture d’une
ville
, quel est le système politique qu’elle représente. Dans le développe
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-nous inventer collectivement ? Il faut faire des
villes
petites, et très nombreuses. Mais une chose très curieuse, c’est que
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hiffre qu’Aristote et Platon pour l’optimum d’une
ville
. C’est 50 000 habitants. Dès que vous dépassez ces limites, vous tomb
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re que c’est la loi économique qui a fait que ces
villes
se sont agrandies démesurément et que notre économie a secrété certai
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aine concentration et conduit à faire des grandes
villes
. Je mets cela en question. L’économie n’a rien à exiger, l’économie e
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Si on vous dit que les dimensions optimums d’une
ville
exigent une économie décentralisée, l’économie doit se décentraliser.
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gion nouvelle Les surréalistes ont célébré les
villes
modernes. Breton aimait-il New York ? Pour eux, la ville moderne, c’é
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odernes. Breton aimait-il New York ? Pour eux, la
ville
moderne, c’était Paris, si curieux que cela paraisse. Breton détestai
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taires. On y décrirait le désert surpeuplé de nos
villes
hantées par l’immense foule des solitaires ; l’alignement des esprits
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s dimensions mêmes de nos États-nations et de nos
villes
les font échapper à nos prises, et rendent vaine notre idée de partic
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né dans Neuchâtel, librairie Delachaux, « tour de
ville
», et tout d’un coup, vers cinq heures, la certitude qu’il faut rentr
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ration tout empirique de communes forestières, de
villes
d’empire et de cités-États (comme Berne, Bâle, Zurich, Genève), de pa
35
t une commune libre ; la Nuremberg de Dürer ; les
villes
libres de la Hanse et la République de Venise, mais aussi la Mantoue
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chasse et qu’il faisait tomber des bombes sur les
villes
, il était libre, considéré, décoré même. Depuis qu’il a pris le parti
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tler, ou voler au secours de Budapest, — de cette
ville
justement où Barth, vingt ans plus tôt, accusait ses compatriotes d’ê
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nes de travail ou horaires, nées avec les grandes
villes
au premier tiers du xixe siècle ; la production quantitative, symbol
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curcissent, en plein midi, le ciel de nos grandes
villes
. Mais voici qui est encore plus fou : elle jette l’économie de nos dé
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rmés, comme on l’a bien vu au Vietnam. Enfin, les
villes
: les mégalopoles du xxe siècle ne sont plus administrables, ni en f
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gradation des relations humaines, née des grandes
villes
, devrait à mon sens faire l’objet d’un nouveau rapport dramatique au
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du comté de Toulouse, puis chez les artisans des
villes
du Midi. Le catharisme prêche l’abstention des relations charnelles p
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bien plus souvent de femmes « prises » (comme une
ville
après un siège en règle). Mais ces femmes ne sont plus objets d’adora
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passagers de l’échelle de coupée au centre de la
ville
par hélicoptère ou métro. 3. On me dit qu’arrêter la fabrication de C
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sévères palais communaux de Pérouse, des grandes
villes
cossues de la plaine de Hollande derrière leurs digues aux petites pl
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ofondément complexe et découpé que délimitent ces
villes
ouvertes vers cinq mers, j’imagine maintenant que s’élève une vaste r
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Besançon jusqu’à Lyon, vous ferait traverser dix
villes
de festivals et boucler le voyage à Lucerne en moins de 2000 km par l
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saisons, faute des subventions escomptées. Quelle
ville
de nos pays, grande ou moyenne, n’a-t-elle pas essayé de lancer son f
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nt ruiné et disloqué essayait de reconstruire ses
villes
et une économie de paix, on vit aussi renaître dans tous nos pays d’u
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aines musicales » d’été organisées par une grande
ville
comme Berlin, Vienne ou même Zurich, capable de puiser dans les nombr
51
des cours de palais, ou sur des places de petites
villes
dont les ruelles servent de coulisses, Mireille aux Baux, et L’Enlève
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d’eux correspond à une communauté réelle, dont la
ville
où ils se jouent forme le foyer rayonnant. Chacun d’eux tente d’expri
53
inces de Neuchâtel jusqu’en 1848. Au sud, Genève,
ville
d’Empire, donc République indépendante, promue par Calvin au rang de
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ar exemple, a fait de la « Rome protestante » une
ville
à très nette majorité catholique, cependant que la proportion des pro
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in-d’œuvre, d’environ 40 km de rayon autour de la
ville
. Par suite des accords passés entre Genève et Paris et de la rétroces
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d’industries pharmaceutiques), par les égouts des
villes
vaudoises et par les rivières savoyardes non épurées. Avec l’aéroport
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estin et des destins de la cité. Dans les énormes
villes
d’aujourd’hui, on assiste à une dramatique dégradation des relations
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matérielle. Aristote voulait que la taille d’une
ville
soit calculée de telle manière que le rayon de la ville soit à la por
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soit calculée de telle manière que le rayon de la
ville
soit à la portée de voix d’un homme criant sur l’agora. C’était très
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dium ou de plutonium qui iront se balader sur des
villes
comme c’est déjà arrivé sans qu’on nous le dise. On les a arrêtés au
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Washington, par exemple, ou quelque autre grande
ville
du monde. La situation actuelle facilite l’escalade de la violence et
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ageurs par hélicoptère de l’avion au centre de la
ville
. Trois heures de gagnées au moins ! Quant aux sages, ils préféreront
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us vivre comme la « foule solitaire » des grandes
villes
. J’ai une certaine confiance, car j’observe qu’une immense révolution
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dit : « il faut faire quelque chose ». Vastes
villes
trop peuplées, inhumaines Il se met à la tâche. Pendant quatre ans
65
e sentiment de responsabilité et donc sa liberté.
Villes
trop vastes, trop peuplées, inhumaines. Nous sommes loin des cités gr
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arrivé à la fin de sa vie à la conclusion que la
ville
idéale ne doit pas dépasser 50 000 habitants. C’est fantastique, vous
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rande idée des Grecs. Ils savaient eux que si les
villes
dépassaient 100 000 habitants, elles ne seraient plus gouvernées par
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ns être livrés. Ford a donné un tel essor que les
villes
se sont développées en fonction de l’automobile. On a dépassé les lim
69
La fonction et la structure de la
ville
future (décembre 1977)bi 1. Origine et fins de la ville Créat
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e (décembre 1977)bi 1. Origine et fins de la
ville
Création de l’ère néolithique, la ville n’a guère plus de 9000 ans
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de la ville Création de l’ère néolithique, la
ville
n’a guère plus de 9000 ans d’âge : de Jéricho à Manhattan et Brasilia
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Babel, mythe illustrant au mieux le destin de nos
villes
: les dimensions excessives de l’œuvre, exigeant des équipes de plus
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Les hommes ne cesseront pourtant pas de bâtir des
villes
, d’abord modestes et mesurées : la polis grecque, la cité du Moyen Âg
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ais (après la chute de « Babylone », modèle de la
ville
dé-mesurée) comme la transfiguration de la ville à « mesure d’homme »
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ville dé-mesurée) comme la transfiguration de la
ville
à « mesure d’homme » qui devient « mesure d’ange » (Apoc – 21,17.) C’
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poc – 21,17.) C’est la « nouvelle Jérusalem », la
ville
sainte gui descend du Ciel « préparée comme une épouse », et qui n’a
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e réalisée dans la communauté. 2. Pourquoi des
villes
? Parce que les hommes ont besoin de vivre ensemble et tendent ver
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entre le logis et l’usine, ont fait surgir les «
villes
tentaculaires », dix fois ou cent fois plus peuplées que les capitale
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cinquièmes de l’humanité s’entasseraient dans des
villes
de plus de 5 millions d’habitants. 3. Crise et réaction actuelles
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cent ou quatre-vingts ans après la naissance des
villes
industrielles (Midlands, puis Ruhr, puis Grands Lacs), soixante ans a
81
e (New York dès 1976, mais aussi les plus grandes
villes
françaises, et Londres, etc.). 2. Les grandes villes sont des exemple
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les françaises, et Londres, etc.). 2. Les grandes
villes
sont des exemples de contre-productivité. (Plus il y a de véhicules,
83
s la possibilité d’être responsables, les grandes
villes
sont devenues des milieux d’agressivité généralisée, de délinquance e
84
uctions). 6. Pour toutes ces raisons, les grandes
villes
sont aujourd’hui des machines à dissocier toute communauté vivante po
85
ui permettre de se ranimer civiquement ? 5. La
ville
de demain La ville de demain n’aura plus à répondre aux « impérati
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imer civiquement ? 5. La ville de demain La
ville
de demain n’aura plus à répondre aux « impératifs techniques » des pr
87
t il faut composer dans les quartiers des grandes
villes
l’équivalent moderne de la place, par les systèmes de vidéo en circui
88
rte progression démographique, créer de nouvelles
villes
de 50 à 100 000 habitants selon le nombre proposé par Platon, repris
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. Poser comme principe de méthode que refaire des
villes
viables et vivables, ce n’est pas une question d’architecture ni de t
90
e pratique du civisme. Nous avons aujourd’hui les
villes
que leurs habitants ont subies, qui ont été faites pour le profit de
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mon vœu, et celui de ce congrès je l’espère — les
villes
que leurs citoyens actifs auront voulues et mesurées pour le mieux-êt
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et de femmes, devenant plus responsables de leur
ville
, y soient par conséquent plus libres. bi. « La fonction et la stru
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ibres. bi. « La fonction et la structure de la
ville
future : la ville demain — principes et méthodes », Actes du congrès
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fonction et la structure de la ville future : la
ville
demain — principes et méthodes », Actes du congrès de la Fédération d
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. Dévoué aux œuvres sociales et religieuses de la
ville
où il exerce son métier d’avocat, Metz, Schuman, sur les instances de