1
les provinces de la France. (Tandis que dans les
villes
, les jeunes ménages se ruinent à payer leurs « petits deux-pièces »,
2
voudrais faire toucher. J’ai tenté d’échapper aux
villes
inhumaines. Et j’ai trouvé que la province ne vaut guère mieux, dans
3
drame immense qu’elle trahit. Province morte, et
villes
mortelles ! C’est qu’on ne sait plus y trouver son prochain, mais seu
4
menaces originelles ! On l’avait oubliée dans les
villes
. ⁂ Là où l’on a coutume de placer dans un « journal » des effusions l
5
La nuit ! Je l’avais oubliée à Paris. La nuit des
villes
n’est pas cette mort opaque dont il faut redouter je ne sais quelle i
6
elle invisible et brusque vie tout près. Nuit des
villes
, rouge et circulante, pleine de rumeurs, comparable à la fièvre. Plus
7
omme par convention le mauvais temps. La pluie en
ville
et la pluie « en campagne » sont deux phénomènes bien distincts, auss
8
ment les quartiers ouvriers les plus modernes des
villes
allemandes, je comprends, que dis-je : je vois l’opposition tragique
9
endre — depuis cinq ans que je circule dans cette
ville
, je n’ai jamais été touché, ils sont d’une folle brutalité, mais surp
10
ême, mais par ce procédé l’on pourrait accuser la
ville
de Lyon des méfaits d’un lion du désert, et Malherbe d’avoir consolé