1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Lucien Fabre, Le Tarramagnou (septembre 1925)
1 erfs, serfs des syndicats et des capitalistes des villes . Mais dans une de ces provinces du Midi où le souvenir des luttes rel
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hugh Walpole, La Cité secrète (décembre 1925)
2 n sans romantisme, dans le détail de la vie d’une ville . Il sait qu’un grand mouvement est la résultante de millions de petit
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Le Corbusier, Urbanisme (juin 1926)
3 ie moderne un décor utile et beau. Or « la grande ville , phénomène de force en mouvement, est aujourd’hui une catastrophe men
4 l arrête 1000 chevaux-vapeurs ». Et pourtant « la ville est une image puissante qui actionne notre esprit » après avoir été c
5 ruire le cadre de notre existence… construire les villes de notre temps ». Et je déplie ce plan d’une « ville contemporaine ».
6 es de notre temps ». Et je déplie ce plan d’une «  ville contemporaine ». Pures géométries de verre et de ciment blanc, flambo
7 le silence de l’azur au-dessus des rumeurs de la ville . Puis s’étendent les quartiers de résidence ; les jardins suspendus à
8 ains de jeux et des parcs, la nature annexée à la ville . « C’est un spectacle organisé par l’Architecture avec les ressources
9 éalisation de ce phénomène de haute poésie — la «  ville contemporaine ». Un labeur précis et anonyme concourt obscurément à c
4 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Malraux, La Tentation de l’Occident (décembre 1926)
10 la plus haute échoue. La tristesse règne sur nos villes . (Neurasthénie, ce mal de l’Occident.) Et notre vertu suprême, aussi,
5 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Paul Éluard, Capitale de la douleur (mai 1927)
11 e sont de belles syllabes sereines, et dans cette ville , Éluard est le plus séduisant, le plus dangereusement gracieux des no
6 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Malraux, Les Conquérants (décembre 1928)
12 lution de rues, ou la palpitation inquiétante des villes chinoises, Malraux fait preuve d’un art du détail où se révèle le vra
7 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
13 t cette naturalisation il continue de protéger la ville (en collaboration avec saint Gellert, dont la statue colossale, sur u
14 es sociales, pareils aux chauffeurs de toutes les villes , conduisent dans la cour d’honneur ces reliques incroyables et les en
15 mythologique. Nous sortons ensemble de la petite ville aux rues de terre brûlante, aux maisons jaunes basses, ville sans omb
16 ues de terre brûlante, aux maisons jaunes basses, ville sans ombre, sans arbres, et nous montons vers la maison du poète, sur
17 anube gris-jaune, brillant, sans rides, la petite ville juste au-dessous de soi, et la basilique sur son rocher. Fraîches, se
8 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
18 pose pas de morceaux choisis16. Il y a une grande ville , un grand lac, une plaine et une seule vigne de véritable Tokay. Et p
19 terrasses de Debrecen. Debrecen est une sorte de ville indescriptible, à demi mêlée aux sables de la plaine du Hortobágy, au
20 rande personne. On me l’a dit, c’est vrai : cette ville historique est aussi l’autre « Rome protestante ». Mais d’avoir vu se
21 n désordre de maisons basses, les dernières de la ville de Debrecen, au bord de la Grande Plaine encore rougeâtre de soleil c