1
erfs, serfs des syndicats et des capitalistes des
villes
. Mais dans une de ces provinces du Midi où le souvenir des luttes rel
2
n sans romantisme, dans le détail de la vie d’une
ville
. Il sait qu’un grand mouvement est la résultante de millions de petit
3
ie moderne un décor utile et beau. Or « la grande
ville
, phénomène de force en mouvement, est aujourd’hui une catastrophe men
4
l arrête 1000 chevaux-vapeurs ». Et pourtant « la
ville
est une image puissante qui actionne notre esprit » après avoir été c
5
ruire le cadre de notre existence… construire les
villes
de notre temps ». Et je déplie ce plan d’une « ville contemporaine ».
6
es de notre temps ». Et je déplie ce plan d’une «
ville
contemporaine ». Pures géométries de verre et de ciment blanc, flambo
7
le silence de l’azur au-dessus des rumeurs de la
ville
. Puis s’étendent les quartiers de résidence ; les jardins suspendus à
8
ains de jeux et des parcs, la nature annexée à la
ville
. « C’est un spectacle organisé par l’Architecture avec les ressources
9
éalisation de ce phénomène de haute poésie — la «
ville
contemporaine ». Un labeur précis et anonyme concourt obscurément à c
10
la plus haute échoue. La tristesse règne sur nos
villes
. (Neurasthénie, ce mal de l’Occident.) Et notre vertu suprême, aussi,
11
e sont de belles syllabes sereines, et dans cette
ville
, Éluard est le plus séduisant, le plus dangereusement gracieux des no
12
lution de rues, ou la palpitation inquiétante des
villes
chinoises, Malraux fait preuve d’un art du détail où se révèle le vra
13
t cette naturalisation il continue de protéger la
ville
(en collaboration avec saint Gellert, dont la statue colossale, sur u
14
es sociales, pareils aux chauffeurs de toutes les
villes
, conduisent dans la cour d’honneur ces reliques incroyables et les en
15
mythologique. Nous sortons ensemble de la petite
ville
aux rues de terre brûlante, aux maisons jaunes basses, ville sans omb
16
ues de terre brûlante, aux maisons jaunes basses,
ville
sans ombre, sans arbres, et nous montons vers la maison du poète, sur
17
anube gris-jaune, brillant, sans rides, la petite
ville
juste au-dessous de soi, et la basilique sur son rocher. Fraîches, se
18
pose pas de morceaux choisis16. Il y a une grande
ville
, un grand lac, une plaine et une seule vigne de véritable Tokay. Et p
19
terrasses de Debrecen. Debrecen est une sorte de
ville
indescriptible, à demi mêlée aux sables de la plaine du Hortobágy, au
20
rande personne. On me l’a dit, c’est vrai : cette
ville
historique est aussi l’autre « Rome protestante ». Mais d’avoir vu se
21
n désordre de maisons basses, les dernières de la
ville
de Debrecen, au bord de la Grande Plaine encore rougeâtre de soleil c