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îne l’Occident ? Cris dans le désert. Déserts des
villes
fiévreuses où le fracas des machines couvre déjà la plainte humaine.
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de envergure, commencées dans les bas-fonds de la
ville
de Kobé et peu à peu élargies à tout ce vaste empire moderne si rapid
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; les jeunes gens n’ont plus goût à y vivre. Les
villes
se congestionnent et la jeunesse y traîne une misère fiévreuse. Et, c
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n devenu flagrant. Il promène par les rues de nos
villes
européennes de grands panneaux-réclame qui parlent un langage clair.
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n le voyait parcourir la rue la plus animée de la
ville
, parler, rire et discuter avec des bourgeois, des jeunes filles, des
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atteignent enfin La Paz, capitale de la Bolivie,
ville
étrange, perdue à 4000 mètres d’altitude dans un désert glacé, dominé
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oite de Dieu, et non pas sur la terre, dans telle
ville
, ou dans tels écrits, ou dans tel prophète local. Certes, aucune égli
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comme l’individu se trouve isolé dans une grande
ville
moderne ou dans un vaste État centralisé. D’autre part, on n’est pas
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ntin Doxiadis, « Œcumenopolis ou la forêt dans la
ville
», Preuves , Paris, n° 8, 1971. 76. Politique de la personne , Pa