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nières années de Paris m’avaient appris que cette
ville
, au moins pour la jeunesse sans argent, est la ville des gérants igno
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le, au moins pour la jeunesse sans argent, est la
ville
des gérants ignobles et des concierges, des lieux-sombres-et-populeux
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tion s’expatrient volontiers, ou vont habiter les
villes
.) En été, la petite ville se remplit de baigneurs et l’auditoire du t
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s, ou vont habiter les villes.) En été, la petite
ville
se remplit de baigneurs et l’auditoire du temple est décuplé : cela s
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au goût du souvenir, que trop de téléphones à la
ville
, d’heures de bureau, d’impitoyables rendez-vous, d’indifférence avaie
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pour l’argent. Si vous prenez N. par exemple (la
ville
prochaine sur le continent) ils n’auraient pas idée de ça, au contrai
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rrait être utile de montrer qu’on peut sortir des
villes
où se font les « carrières » sans sortir de la vie véritable ; et qu’
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e m’y forcer utilement. ae. « N’habitez pas les
villes
(Extrait d’un Journal) », La Nouvelle Revue française, Paris, n° 286,