1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
1 heures du matin. Premiers appels d’autos dans la ville , mais il me semble que toutes choses s’éloignent de moi vertigineusem
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
2 onflent leur tête jusqu’à éclater, tandis que des villes passent au fond à toute vitesse. Rigueur voluptueuse d’une colonnade,
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
3 mps. Les rues riaient. Le ciel descendait dans la ville , on marchait dans le bleu. Je sortis avec cette femme, qui m’aimait,
4 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
4 i je me méfie ; se promener seul la nuit dans une ville étrangère, n’est-ce point la définition même de la luxure ? Quand je
5 oujours envie de crâner. L’esplanade d’une petite ville de l’Allemagne du Sud, un soir de mai. Il y a dans les marronniers no
5 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
6 s de l’Oracle qui lui avait dit d’aller bâtir une ville là où il trouverait la pluie et le beau temps, il rencontra en Italie
7 courtisane qui pleurait ; et en ce lieu bâtit la ville de Crotone. Sonnette. — J’aime vos histoires, Lord Artur. (Un temps
6 1968, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Hölderlin dans le souvenir des noms splendides (1968)
8 n (« Et à l’aurore… nous entrerons aux splendides villes  »), Apollinaire hante la marge d’émotion entre le souvenir de naguère