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mon chrétien arpentait les portiques d’une de ces
villes
du Quattrocento, où tout était bâti à la mesure de l’homme, où tout,
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ir d’une vocation peut s’exercer. Je voyais cette
ville
, où tout portait les marques des pensées qu’agitait cet homme ; cette
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marques des pensées qu’agitait cet homme ; cette
ville
habitée et gouvernée par des chrétiens ; cette cité où le clerc, le m
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ement, me semblèrent soudain, dans la réalité des
villes
modernes, privés de toute espèce de commune mesure. L’un devenait tou
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ue dans le quartier le plus mal famé de la grande
ville
de Kobé, et se met à prêcher l’Évangile. Mais son activité ne se born
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al des slums ou bas-fonds de Kobé et de plusieurs
villes
japonaises, à la création d’importantes œuvres sociales, enfin à la c