1 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
1 ndu unifier les constitutions ecclésiastiques des villes où il avait une autorité immédiate, Strasbourg et Genève. Le problème
2 e de Genève en pleine période de guerre, dans une ville assiégée. Par contre, on sait que les jésuites, triomphant dans les p
3 de l’Association générale des étudiants de cette ville . 3. Il s’agit de septembre 1938 : « la paix de Munich ». 4. En Suis
2 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
4 t le commerce ont provoqué la brusque création de villes énormes, dix ou cent fois plus grandes que celles qu’on connaissait a
5 iècle, de 25 000 habitants à 4 millions. Dans ces villes , se sont entassées des masses humaines informes et démesurées, là où
6 nce des machines, des capitaux, des armées et des villes , des états énormes qui s’édifiaient — en présence des énormes questio
7 la lutte des classes et le chômage, et la grande ville , cette catastrophe humaine, l’un des désastres moraux de l’Histoire.
8 pices du Leserzirkel Hottingen, et dans plusieurs villes de Hollande. 14. Je tiens à préciser que cette déclaration ne tend n
3 1940, Mission ou démission de la Suisse. Esquisses d’une politique fédéraliste
9 othard. Un réseau compliqué de pactes reliera les villes aux campagnes. Et chaque fois que l’un des cantons voudra prendre la
10 noyau primitif des cantons forestiers s’allie aux villes de Lucerne et Zurich ; puis conquiert avec l’aide de Zurich les pays
11 une double tentative d’hégémonie, de la part des villes et de la part des campagnes. Il se peut que l’union déjà réalisée ent