1 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
1 e et la Prospérité. Sur nos têtes, au ciel de nos villes , de grands oiseaux tournaient avec un bourdonnement sinistre, et ces
2 d’une pilule sédative. Ils s’écrasaient dans des villes exténuantes, chaotiques et sentant mauvais. Partout, on payait moins
3 ruit, j’en perdrai le goût d’être un Européen. La Ville Lumière n’est pas détruite : elle s’est éteinte. Désert de hautes pie
4 onfrontation stupéfiante de cet homme et de cette Ville était peut-être nécessaire pour faire comprendre au monde entier qu’i
2 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
5 « Ils dirent encore : Allons ! bâtissons-nous une ville et une tour dont le sommet touche au ciel, et faisons-nous un nom, af
6 le Temps où l’on meurt. Si nous nous faisons une ville nous resterons unis, se disent les hommes. Ils la font, et c’est là p
7 colère de l’Éternel, qui « descendit pour voir la ville et la tour que bâtissaient les fils des hommes. Et l’Éternel dit : vo
8 t le commerce ont provoqué la brusque création de villes énormes, dix ou cent fois plus grandes que celles qu’on connaissait d
9 u’on connaissait depuis des millénaires. Dans ces villes se sont entassées des masses humaines informes, noyant et dissolvant
10 est que l’invention des étages a permis la grande ville . La grande ville a permis la formation des masses. Avec les masses so
11 on des étages a permis la grande ville. La grande ville a permis la formation des masses. Avec les masses sont nés les grands
12 les métros. Vous ne faites pas deux pas dans une ville sans y trouver quelque allusion. Elle règne sur l’énorme industrie de
13 antise qui ressemble à l’amour véritable comme la ville de Lyon à un lion — a déprimé progressivement dans notre époque le se