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e et la Prospérité. Sur nos têtes, au ciel de nos
villes
, de grands oiseaux tournaient avec un bourdonnement sinistre, et ces
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d’une pilule sédative. Ils s’écrasaient dans des
villes
exténuantes, chaotiques et sentant mauvais. Partout, on payait moins
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ruit, j’en perdrai le goût d’être un Européen. La
Ville
Lumière n’est pas détruite : elle s’est éteinte. Désert de hautes pie
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onfrontation stupéfiante de cet homme et de cette
Ville
était peut-être nécessaire pour faire comprendre au monde entier qu’i
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« Ils dirent encore : Allons ! bâtissons-nous une
ville
et une tour dont le sommet touche au ciel, et faisons-nous un nom, af
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le Temps où l’on meurt. Si nous nous faisons une
ville
nous resterons unis, se disent les hommes. Ils la font, et c’est là p
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colère de l’Éternel, qui « descendit pour voir la
ville
et la tour que bâtissaient les fils des hommes. Et l’Éternel dit : vo
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t le commerce ont provoqué la brusque création de
villes
énormes, dix ou cent fois plus grandes que celles qu’on connaissait d
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u’on connaissait depuis des millénaires. Dans ces
villes
se sont entassées des masses humaines informes, noyant et dissolvant
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est que l’invention des étages a permis la grande
ville
. La grande ville a permis la formation des masses. Avec les masses so
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on des étages a permis la grande ville. La grande
ville
a permis la formation des masses. Avec les masses sont nés les grands
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les métros. Vous ne faites pas deux pas dans une
ville
sans y trouver quelque allusion. Elle règne sur l’énorme industrie de
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antise qui ressemble à l’amour véritable comme la
ville
de Lyon à un lion — a déprimé progressivement dans notre époque le se