1 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
1  ; les jeunes gens n’ont plus goût à y vivre. Les villes se congestionnent et la jeunesse y traîne une misère fiévreuse. Et, c
2 n devenu flagrant. Il promène par les rues de nos villes européennes de grands panneaux-réclame qui parlent un langage clair.
2 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
3 dre secret et fraternel au milieu de la foule des villes , je le vois grouper lentement des hommes qui se reconnaissent à ce si
3 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
4 ndu unifier les constitutions ecclésiastiques des villes où il avait une autorité immédiate, Strasbourg et Genève. Le problème
5 e de Genève en pleine période de guerre, dans une ville assiégée. Par contre, on sait que les jésuites, triomphant dans les p
6 de l’Association générale des étudiants de cette ville . 64. En Suisse, Emil Brunner (Der Mensch im Widerspruch) et Gonzague
4 1946, Politique de la personne (1946). Préface pour l’édition de 1946
7 mais qui relève en fin de compte du calembour. La ville de Lyon n’est pas tenue pour responsable des méfaits perpétrés par un