1 1947, Vivre en Amérique. Prologue. Sentiment de l’Amérique
1 s Le Corbusier, promené pendant une heure dans la ville par des journalistes, et finalement interrogé sur ses impressions d’a
2 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
2 Hollywood déserté, une ghost town pareille à ces villes éphémères que fit surgir dans le Colorado la ruée vers l’or, et qui n
3 nue à tous » qu’elles plantent à l’entrée de leur ville , et qui promettent des jeux de loto le mardi soir et de la danse le s
3 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
4 La journée d’un couple bourgeois, dans une grande ville américaine, ménage peu de contacts entre mari et femme, et sans doute
4 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
5 es possèdent en commun. De fait, New York est une ville de contrastes violents, de population composite à l’extrême, répartie
6 rés puritains ; la jeunesse et la bourgeoisie des villes , au contraire, ne connaissent plus aucun tabou. Ni les uns ni les aut
7 les résidences luxueuses de la campagne ou de la ville sont régulièrement — sauf dans le Sud — de style Tudor, de style Rena
8 14.Comment on y devient fou Dans les grandes villes , et à New York surtout, vous prenez une telle habitude de n’être pas
9 s quelques mois d’Amérique, précisons : de grande ville américaine. Les mesures ont changé autour d’eux. Les cadres sociaux n
5 1947, Vivre en Amérique. Épilogue. La route américaine
10 vaincrait la distance par le charme, attirant les villes à soi et déplaçant de vastes paysages au gré d’une curiosité rêveuse.
11 tre de New York de Washington, en traversant deux villes énormes : Philadelphie et Baltimore. La vitesse rétrécit l’espace amé