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ntassement de constructions disparates de petites
villes
comme Vevey, cette vigneronne du lac — hier encore si gentiment trous
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ibres, possédant un statut comparable à celui des
villes
d’Empire. Les premières libertés des Suisses sont donc nées d’une mis
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ord de la nécessité d’englober dans leur pacte la
ville
de Lucerne. Celle-ci commandait en effet les débouchés nord et ouest
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tre cantons. Il ne tarda guère à s’allier avec la
ville
impériale de Zurich, et à conquérir les vallées de Glaris et de Zoug,
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aris et de Zoug, puis à conclure un pacte avec la
ville
de Berne, qui de son côté venait de nouer des liens avec Zurich, et a
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igue des « Cantons forestiers » renforcée par les
villes
, s’adjoignirent au cours des xive et xve siècles trois autres résea
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cantons souverains, flanqués de nombreux alliés,
villes
libres, abbayes, vallées et pays sujets. La transformation des bailli
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ent empirique et non rationnel, assurait à chaque
ville
ou vallée un rôle particulier dans la Ligue, respectait les intérêts
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e toute tentative d’hégémonie, qu’elle vînt d’une
ville
plus riche que les campagnes, ou d’un groupe de cantons aux intérêts
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rangère sera désormais interdite aux cantons, les
villes
de Soleure et Fribourg sont reçues dans les Ligues, et les liens fédé
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cantonaux, se réunissait selon l’urgence dans une
ville
ou une autre, et ne possédait pas de pouvoirs nettement définis. C’ét
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ne, Soleure, Berne, Bâle, Fribourg, ainsi que les
villes
alliées de Neuchâtel et de Genève, devinrent des républiques oligarch
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sans dans leur village, ou boutiquiers dans leurs
villes
, ils racontaient leurs souvenirs sous le tilleul de la place publique
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rte pas le titre de capitale, mais seulement de «
ville
fédérale ». Elle est en même temps le chef-lieu du canton auquel elle
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. On aurait vu l’oppression des campagnes par les
villes
, des catholiques par les protestants, des Romands et des Italiens par
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de cheminées d’usines, luxueuse illumination des
villes
. Les campagnes elles-mêmes participent largement à la distribution :
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il, comme ailleurs, l’état de larges quartiers de
villes
ou sections de la population. Les voyageurs qui traversent le pays la
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ble du pays tombe à 1,48 si l’on ne prend que les
villes
de plus de 25 000 habitants. Si l’on compare deux demi-cantons contig
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x) enfants : 0 1 2 3 4 5 6 7 Et plus
Ville
de Zurich 225 000 protestants 80 000 catholiques 20 000 divers 343 2
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s 25 divers 143 125 124 123 107 82 71 225 4,1
Ville
de Genève 70 000 protestants 50 000 catholiques 6000 divers 406 277
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r 1000 femmes mariées, nombre de divorces :
Ville
de Zurich 8,2 Appenzell Rh.-Int. 0,9 Ville de Genève 9,4 Pour l
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Ville de Zurich 8,2 Appenzell Rh.-Int. 0,9
Ville
de Genève 9,4 Pour l’ensemble de la Suisse, en 1940, l’indice des d
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r une large proportion, se recrutent dans la même
ville
ou le même canton, parlent avec le même accent, et appartiennent aux
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guerres civiles religieuses. Et ce sont les deux
villes
soumises à son influence, Zurich et Berne, qui prendront la tête du p
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tie par l’attraction qu’exercent les plus grandes
villes
, autrefois toutes protestantes, cependant que les petits cantons rura
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tis centralisateurs se recrutent surtout dans les
villes
protestantes — l’Église catholique est « fédéraliste » pour des raiso
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de « défenseurs du Saint-Siège », de même que les
villes
de Calvin, de Zwingli et d’Œcolampade avaient été les « citadelles de