1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
1 e pèlerinages, sanctuaires, lieux et quartiers de ville sacrés ; arbres, fleuves, animaux sacrés ; hommes et femmes en prière
2 re généralement la silhouette des villages et des villes , quelques pèlerinages ou lieux sacrés, quelques centaines de vieux ch
3 eul pèlerinage et pas un vrai château. Plaines et villes immenses, dénudées de mystère, nettoyées de toute trace de religion p
4 e personne ! » Et l’Oriental qui circule dans nos villes songe qu’il n’y voit qu’agitation désordonnée, absence de sens et d’h
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
5 les légats de l’empereur et du pape, font dans la ville choisie des entrées solennelles : la discussion commence par ces démo
6 us vient d’être condamnée, et la population de la ville éclate en transports d’allégresse, acclame les Pères, illumine les qu
7 ctionnaires de toute classe, miliciens, plèbe des villes , tous vivent aux dépens de l’État-providence, dans une fainéantise à
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
8 urope où vivraient encore sous nos yeux, dans nos villes et dans nos campagnes, avec leurs rites et leurs idoles et leurs fidè
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
9 olant » de Vinci devait semer de la neige sur les villes accablées par l’été ; l’avion bombarde nos cités. Les découvertes gén
10 ssion pour l’occulte ne cesse de grandir dans nos villes , occupant rapidement le vide de l’âme créé par le matérialisme87. Bea