1
s comme celles qui ont fait la Renaissance, ou de
villes
comme Paris, Vienne, Milan ou Göttingen, considérées en tant que cent
2
poles régionales », prenant pour foyer une grande
ville
ou un ensemble urbain (comme Aix-Marseille-Étang de Berre), et s’effo
3
itadins et nomades, déplacés d’une usine ou d’une
ville
à l’autre par la loi de l’offre et de la demande. Toute une littératu
4
ple — qu’aux génies qui ont illustré cette petite
ville
, et qui ne sont pas nés d’un paysage, mais de la rencontre de maîtres
5
nts, d’influences byzantines orientales, et d’une
ville
aristocratique, puis commerçante, qui passait des commandes et qui ex
6
és suisses se distinguent si nettement de tant de
villes
ayant un nombre comparable d’habitants, dans l’un ou l’autre des pays
7
uts de l’Institut. On peut bâtir ou agrandir une
ville
qui, selon les meilleurs calculs, « rapportera », au mépris de la bea
8
, « rapportera », au mépris de la beauté. Mais la
ville
qui aura gagné en fin de compte, comme les petites cités de la Renais
9
mme les petites cités de la Renaissance, c’est la
ville
qui aura su se rendre bien plus et bien mieux que rentable : mémorabl