1 1965, Fédéralisme culturel (1965). I. « Toute culture est création de diversité »
1 s comme celles qui ont fait la Renaissance, ou de villes comme Paris, Vienne, Milan ou Göttingen, considérées en tant que cent
2 poles régionales », prenant pour foyer une grande ville ou un ensemble urbain (comme Aix-Marseille-Étang de Berre), et s’effo
2 1965, Fédéralisme culturel (1965). II. « Devenons nous-mêmes ! »
3 itadins et nomades, déplacés d’une usine ou d’une ville à l’autre par la loi de l’offre et de la demande. Toute une littératu
4 ple — qu’aux génies qui ont illustré cette petite ville , et qui ne sont pas nés d’un paysage, mais de la rencontre de maîtres
5 nts, d’influences byzantines orientales, et d’une ville aristocratique, puis commerçante, qui passait des commandes et qui ex
6 és suisses se distinguent si nettement de tant de villes ayant un nombre comparable d’habitants, dans l’un ou l’autre des pays
7 uts de l’Institut. On peut bâtir ou agrandir une ville qui, selon les meilleurs calculs, « rapportera », au mépris de la bea
8 , « rapportera », au mépris de la beauté. Mais la ville qui aura gagné en fin de compte, comme les petites cités de la Renais
9 mme les petites cités de la Renaissance, c’est la ville qui aura su se rendre bien plus et bien mieux que rentable : mémorabl