1 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. L’énergie
1 er une politique de transports en commun dans les villes et dans les campagnes. 6. Mettre à l’étude de toute urgence — en pool
2 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. L’environnement
2 art des cas, coûts irréels de la restauration des villes et des cultures irradiées — que l’humanité entière pourrait en être m
3 contaminés, qui nourrissent 45 % de l’humanité ; villes de l’Europe de l’Ouest balayées par les nuages de plutonium en aéroso
4 ffer, cependant qu’il permet aux habitants de nos villes de lire distraitement leur journal, fait d’arbres sacrifiés. Les qua
5 niveau des mers suffisante pour noyer toutes les villes portuaires. 3. La protection de la couche d’ozone, par interdiction d
6 veloppement d’allure cancéreuse des mégalopoles. ( Villes nouvelles de 50000 habitants préconisées par C. Doxiadis et par nombr
7 ures conservatoires de l’homme, de la Nature, des villes , et de leurs interrelations équilibrées, excluent absolument le recou
3 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. La défense de l’Europe
8 e, car l’extrême densité de sa population, de ses villes , de ses usines, de ses trésors et monuments, de ses réseaux de commun
9 par nature inaptes à défendre nos campagnes, nos villes , nos populations, nos soldats aux prises avec l’envahisseur, et en gé
4 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. L’Europe et le tiers-monde
10 le ; et qu’il ne sera jamais responsable dans les villes énormes et les collectivités gigantesques. Ils veulent donc de petite