1 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Optimistes et pessimistes (19 décembre 1949)
1 ’écrivait Virgil Gheorghiu, l’auteur fameux de la Vingt-Cinquième Heure, mais c’est trop tard, il n’y a plus d’Europe. Les Russes et le
2 t. » Gheorghiu répétait : les jeux sont faits, la vingt-cinquième heure a sonné. Je répondais qu’en réalité il est très tard, qu’il est
2 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Un été orageux (9 septembre 1950)
3 tait la voix de mon ami Gheorghiu, l’auteur de la Vingt-Cinquième Heure. Il évoquait le sort des nations de l’Est européen, qui viennen
3 1951, Les Libertés que nous pouvons perdre (1951). Libertés « formelles » et libertés « réelles »
4 qui ont lu Le Zéro et l’infini de Koestler, ou la Vingt-Cinquième Heure de Gheorghiu, ou simplement les études des physiologistes qui p
4 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). II. Strasbourg : la deuxième table ronde du Conseil de l’Europe (« Promesses du xxe siècle »)
5 eux sessions3. Au début de 1974, pour marquer son vingt-cinquième anniversaire, le Conseil de l’Europe eut l’heureuse idée de réunir un
5 1975, Deux initiatives du CEC : Documents sur l’origine du CERN et de la Fondation européenne de la culture. Note liminaire
6 re européen de la culture célèbre cette année son vingt-cinquième anniversaire. Dans le souvenir et dans l’espoir, comme il se doit lor
6 1976, Articles divers (1974-1977). Histoire et prospective de l’identité européenne (1976)
7 des douze Sages de la table ronde réunie pour le vingt-cinquième anniversaire du Conseil de l’Europe. Ce qui ne prouve d’ailleurs pas