1 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Le silence de Goethe
1 ps de cette dialectique, dans un mouvement que sa violence rend unique : c’est qu’ils reviennent tous deux de loin, d’un long ab
2 e ans, sans jamais s’abandonner aux bienheureuses violences de l’orage, au repos de la démesure. On rit de ses allures compassées
3 cela il est romantique, comme tous ceux que leur violence ou leur faiblesse précipitent vers un « au-delà » des conditions de v
4 e part un orgueil assumé, puis renié avec la même violence , — cette violence dont il est écrit qu’elle force les portes du Royau
5 assumé, puis renié avec la même violence, — cette violence dont il est écrit qu’elle force les portes du Royaume des Cieux… Il r
2 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
6 , il se mit à attaquer de front, avec une extrême violence , le christianisme officiel et les évêques qui avaient loué ses premiè
7 artyre. Un vrai martyr n’a jamais eu recours à la violence , il combat à l’aide de son impuissance. Il force les hommes à être at
8 nheur », et qu’il existe d’autres biens que nulle violence ne peut dérober, mais c’est une triste réponse à la révolte de ces pa
3 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Franz Kafka, ou l’aveu de la réalité
9 mmanence pure. Ils s’excluent réciproquement avec violence , et même avec dégoût. Kierkegaard n’avait pas assez de sarcasmes pour
4 1944, Les Personnes du drame. Liberté et fatum — Luther et la liberté de la personne
10 n nous le goût du pittoresque ; l’élan génial, la violence loyale d’une certitude pesante, vraiment « grave », d’une dialectique
5 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
11 gent dans l’humiliation, dans l’effroi ou dans la violence  ? Le temps vient cependant où la métaphysique se posera ou sera niée