1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
1 un nom et un esprit, et qui va l’arracher par la violence , mais non sans l’aide de Zeus lui-même. Le thème du songe où deux fem
2 ions toujours armées et toujours prêtes à user de violence , à moins pourtant qu’elles ne succombent sous le nombre. Eh bien ! à
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
3 ns excessives, de Fouragemens, des Incendies, des violences , des cruautez, & des meurtres que souffrent tous les jours les ma
4 en dernier ressort, les procez qui naîtront pour violence , ou sur le Commerce, ou autres matières entre les Sujets de divers So
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Évolution : vers le progrès ou vers la décadence ?
5 tte funeste que la passion livre à la passion, la violence à la violence, mais par la douce, persuasive et, en fin de compte, ir
6 e la passion livre à la passion, la violence à la violence , mais par la douce, persuasive et, en fin de compte, irrésistible pui
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Plans d’union européenne contemporains de la Révolution
7 u qui recouvre avec eux toutes les horreurs de la violence . Aux yeux de la raison, il n’y a pas, pour des États entretenant des
8 n et du sens réaliste qu’il défendit avec tant de violence et de généreux paradoxes. Contrairement à Kant, il croit la guerre i
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — L’Europe des adversaires de l’empereur
9 gtemps, et dont l’amalgame a perdu l’odieux de la violence et de la conquête, on voit le patriotisme qui naît des variétés local
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (II)
10 à l’État en épousant certaines de ses formes. La violence extérieure ne pourra jamais servir la cause du vrai et du divin, et l
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
11 le réveil effrayant du géant russe, et alors « la violence mettra fin au règne de la parole » : Une ambition désordonnée, immen
12 use, étrangère à l’industrie, aux fabriques, à la violence et à l’esclavage capitaliste. Telle est sa haute mission historique.
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
13 s fin, si l’on n’admet des prescriptions pour les violences du passé. La Lorraine a fait partie de l’empire germanique, sans aucu
14 i plus funeste. Avec cela, on justifie toutes les violences . Et, d’abord, sont-ce les montagnes ou bien sont-ce les rivières qui
15 tisans de telle ou telle tendance. Étant donné la violence extrême des combats du passé, le désir constant d’anéantir l’ennemi,
16 Georges Sorel (1857-1922). Ses Réflexions sur la Violence passent pour avoir exercé une influence directe sur Lénine et Mussoli
9 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
17 de la culture s’opposent, sur ce sujet, non sans violence , durant la période dite de l’entre-deux-guerres (1919-1939). L’une, o