1 vrais moyens de l’unir. Inversement, les donneurs virtuels proposent à des instituts de culture de s’occuper de la « productivit

2 tyrannique, dont souffre en premier lieu l’élite virtuelle . À l’autre extrême, prenons le cas de l’URSS, dont la doctrine d’État

3 e la Nature tout ce qui, sans lui, serait demeuré virtuel , et qui par lui devient le domaine de l’humain ; domaine du sens et d

4 tyrannique, dont souffre en premier lieu l’élite virtuelle . On voulait faire des individus libres, et les amener à la liberté sa

5 De ces deux faits de base résultent des tensions virtuelles , ou actuelles, qui me paraissent appeler d’urgence le dialogue. Bien

6 en, se regardent comme la poule possible et l’œuf virtuel , et chacun dit à l’autre : existe donc d’abord ! J’existerai bien sûr

7 un sens constamment alerté de leurs corrélations virtuelles et de la fécondité de leurs interférences. Ces hommes seront d’abord

8 t menacée d’extinction par la Bombe, et ce danger virtuel d’explosion atomique nous obsède et nous fascine au point de nous fai

9 ’Europe qui décrirait leurs réalités actuelles et virtuelles , recenserait leurs ressources, prendrait la mesure de leurs pôles de

10 t pour les objecteurs politiques et les émigrants virtuels , etc.), l’Europe unie ne sera qu’une malingre chimère. On l’aura suff

11 eu dire, car il s’agit en vérité de quatre causes virtuelles d’apocalypse du genre humain dans un délai relativement bref. L’explo

12 ste, plus fluente, qui est encore en bonne partie virtuelle , et qui appelle des mesures de développement transfrontalières. — le

13 nt parler, du fait de la bi- ou tripartition d’un virtuel ensemble naturel ou ethnique ou économique, par deux ou trois souvera