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e la Nature tout ce qui, sans lui, serait demeuré
virtuel
, et qui par lui devient le domaine de l’humain ; domaine du sens et d
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un sens constamment alerté de leurs corrélations
virtuelles
et de la fécondité de leurs interférences. Ces hommes seront d’abord
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sans leur expliquer les dangers et les bienfaits
virtuels
, conditionnels, de notre apport. Nous leur donnerons des drogues sans
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Siècle. Le problème est posé par le fait que nos
virtuels
mécènes à l’ancienne mode ne sont plus en mesure — sauf de rares exce